Confier au privé, c'est-à-dire à des "mercenaires", la défense nationale et la sécurité publique, est-ce, pour l'État, abdiquer et renoncer à la souveraineté ? Ou bien est-ce donner aux forces de l'ordre et aux forces armées les moyens optimaux de mener à bien les missions que leur a confiées le pouvoir politique ? Et comment contrôler un processus si complexe et risqué ?
Tandis que les débats sur la privatisation de la guerre et de la sécurité se limitent, au...
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