Les quatre filles du docteur March

DNF.
J'ai voulu donner une seconde chance à ce livre, mais c'est vraiment trop mièvre. C'est pétris de bons sentiments, des bonnes morales, les péripéties sont plates. C'est vraiment un livre initiatique pour les bonnes filles de bonnes familles du 19ème, il faut aller contre ses défauts et blablabla.

J'aurais aimé continuer à suivre un peu les aventures de Jo, mais c'est vraiment devenu pénible à lire. J'ai persévéré jusqu'à après le mariage, pensant qu'enfin ca décollerait un peu, mais non.

Je n'ai pas passé un bon moment en lisant ce livre. Voilà c'est dit.
Ça commence par le titre : Les 4 filles du Docteur March. Déjà si j'ai bien compris, il n'est pas docteur mais en plus il est le grand absent du roman. Mais si ce n'était que ça... L'histoire est d'une platitude, les personnages pas attachants (désolée mais Joe est insupportable à mon sens...) et l'aspect moralisateur perpétuel a fini de m'achever.

Comme tout le monde, je connais cette histoire grâce aux innombrables diffusions télé qui reviennent tous les ans au moment de Noel. Mais je n'avais jamais lu ce classique et je me disais qu'il fallait absolument que je comble ce manque.
Malheureusement, ça n'a pas été une réussite.
J'ai trouvé ce livre mièvre et dégoulinant de guimauve. Tout le monde est beau et gentil. Un petit défaut chez une personne ? Mais non, regardez, il a vite disparu.
Le Papa est à la guerre ? On lache quelques larmes et on est fier parce qu'il fait son devoir.
Tout passe comme ça dans ce monde là. Mais au lieu de trouver ça apaisant, cela m'a lassée. La vertu, c'est chi... quand il n'y a pas son opposé pour la mettre en valeur.
Bref, une lecture décevante pour moi mais je pense que je ne l'ai pas lu au bon moment. Si je l'avais lu plus jeune, peut-être que cela serait passé.

Pioche de février 2022 choisie par Myriam3

J'avais hâte de découvrir cet ouvrage mais cela a été une déception.
Roman beaucoup trop moralisateur. J'ai trouvé cela tellement présent que je me suis arrêtée au bout de 150 pages.
Oui il date de 1868 mais d'autres romans de cette époque ne sont pas aussi "donneurs de leçon".
Pas pour moi mais j'aurais essayé 🙂

Une lecture au coin du feu, que j'ai lu en automne,saison qui me semble appropriée à la lecture des classiques.
Mais cet autonne n'as pas été très fructueux. J'avais beaucoup d'attente dans ce livre, sûrement trop. Je me suis lassé de cette histoire et je ne prenais plus plaisir à ouvrir le livre. Mauvaise nouvelle. Je dirai que c'est le contexte historique qui m'as freiner. Je n'étais pas à l'aise avec l'époque et le cadre ne se posait pas dans ma tête. Je ne remets pas en doute son statut de classique, mais pour moi il restera un de ces livres à avoir lu au moins une fois dans sa vie.

C'est en discutant avec mes collègues de travail que mon envie de découvrir ce classique s'est réveillée. En effet, elles savent que je lis beaucoup et étaient très surprises que je ne connaisse pas ce titre. Alors forcément, je connaissais  de nom mais sans plus. du coup, j'ai voulu découvrir ce titre.

Me voilà donc plongée dans l'histoire des Quatre filles du Docteur March:  Meg, Jo, Beth et Amy. Leur père, le fameux docteur, est absent du foyer familial car il est à la guerre et et les jeunes femmes sont donc obligées de subvenir elles mêmes à leurs besoins. Je ne vais pas vous mentir, je ne me suis pas franchement passionnée pour cette histoire dans laquelle il ne se passe pas grand chose.

Au- delà, de l'intrigue, j'ai également trouvé les personnages antipathiques. La seule qui a grâce à mes yeux est Jo. Cette dernière a un caractère bien trempé et cela donne un peu de relief à cette histoire bien morne. Pour les autres personnages, j'ai eu l'impression qu'ils étaient plus stéréotypés les uns que les autres.

Le style de l'auteure est très classique et colle parfaitement au style de l'époque où il a été écrit. L'ensemble est plein de leçons de morales et de bons sentiments. Avec du recul, je pense tout simplement que j'ai passé l'âge de ce genre de lecture. Ce roman aurait pu me séduire il y a quelques années mais ici, il n'a fait que m'agacer.

Bref, je n'ai pas été séduite par ce classique
Lien : https://aufildesplumesblog.w..

J'ai eu du mal à comprendre le début de l'histoire avec toutes les filles directement présentes et sans réelle présentation de chacun. Je n'ai pas su distinguer qui était qui et c'est tres dérangeant pour entrer dans l'histoire! Et la suite n'était pas mieux: le style d'écriture fort ancien m'a parfois perdue dans la compréhension de l'histoire! Bref, ce ne fut pas un plaisir de lire ce livre!

C'est clairement ce genre du livre donnés en cours de français qui dégoûtent les jeunes de la lecture. Je peux comprendre que certaines personnes aiment ce genre de livres mais le donner à peine en 5ème à lire .. non merci... très clairement j'ai lu ce livre enfin lu... 80 pages à peine .. c'est je pense la toute première fois que je ne lis pas un livre en entier lors d'un cours.
Cela fait longtemps et pourtant je m'en souviens .... Je peut le conseiller aux grands lecteurs mais clairement pas à des jeunes non habitués aux romans.

J'ai voulu relire ce livre qui m'avait tant plu dans ma jeunesse.
Je ne retrouve absolument pas le plaisir de lecture que j'avais éprouvé alors.
Ce qui me conforte dans mon opinion.
Inutile de relire un livre qui a plu, tout ce qu'on risque, c'est d'être déçu.
Toutefois, je lui laisse 4 étoiles, pour le souvenir que j'en garde.

J'ai voulu découvrir ce livre à partir du moment où j'ai vu un certain nombre de critiques dire que ce n'est pas une histoire nunuche, que c'est un grand classique, et d'autres remarques positives du genre.
Je ai donc écouté l'histoire et me suis un peu renseignée.

Comme les toutes premières critiques que j'avais lues, j'ai effectivement eu cette impression de "nunuche", avec en tête, le générique du manga du même titre que je regardais petite.

Pourquoi ?, me suis-je demandé.

Il se passe pourtant des choses importantes et parfois graves dans cette famille. le père est parti à la guerre. Il tombe gravement malade. Quand la maman se rend à son chevet, c'est une des filles qui contracte la scarlatine et personne n'est sûr qu'elle survivra. On assiste à des premiers émois amoureux, un choix de mariage etc.
Finalement, je pense que c'est le ton du narrateur qui m'a donné cette impression de « nunuche ». On ne sent pas cette gravité. Les événements surviennent et on les vit dans une sorte de bulle de gaieté générale. Oui, par moment, on se fâche, on pleure un peu mais les émotions négatives ne durent qu'un court instant. Je n'ai pas senti les transitions entre ces émotions ni comment les personnages les gèrent. Elles sont là, puis elles passent et tout fini bien.

Puis j'ai lu dans un commentaire de cette page que les traductions jouent beaucoup et que bien des scènes ont été « polies » et « lissées », ce qui pour moi renforce encore cette impression de texte niais. Ici, j'ai eu l'adaptation de Simon Rémi. (Voir commentaire de Femi, que je remercie en passant, et son lien très intéressant : http://www.erudit.org/revue/meta/2003/v48/n1-2/006957ar.html)

Aucun regret pour cette lecture. Plein de choses à apprendre, à comprendre, à décortiquer…