Angleterre, début du XIXe siècle : Cecilia, la troisième de la fratrie, s'est elle aussi enfuie de chez son père, le rigoriste pasteur, et s'est réfugiée auprès de sa tante… qui tient une maison close. Mais les choses tournent mal, un associé de sa tante veut la forcer à vendre sa virginité à un riche client et Cecilia finit par être accusée du vol d'un bijou précieux, peut-être même de meurtre. Sa tante l'envoie se cacher chez un vieil ami, baron de son état. Mais celui-ci meurt de vieillesse au bout de quelques semaines, puis son neveu et héritier Quinn arrive. Il ne comprend pas très bien ce que Cecilia fait là, ni pourquoi elle est couchée sur le testament de son oncle.
Alors que Cecilia est terrifiée à l'idée d'être découverte par ceux qui la recherchent à Londres pour le vol, elle essaie de rester le plus longtemps possible cachée au manoir et compose divers personnages pour s'allier la sympathie de Quinn, en se souvenant des leçons des pensionnaires prostituées de sa tante. Quinn commence à penser que Cecilia n'est pas la jeune fille qu'elle prétend être.
L'intrigue se termine dans un festival d'actions, mais j'ai trouvé que certaines décisions des deux héros manquaient de cohérence et de crédibilité avec la mentalité de l'époque, à tel point qu'il est difficile de s'attacher à ce couple. C'est dommage, car l'histoire démarrait bien.
Cette romance se lit quand même facilement, mais les exagérations nuisent un peu à l'ensemble.
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