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Béatrice, Béa, Bee. La belle abeille. Seule dans sa ruche ni ouvrière ni reine, la monotonie d'un couple où Angel ne la touche plus depuis des années. Les toiles d'araignée se tissent dans son triangle du plaisir qui a encore ce besoin de se sentir vivre, aimer et caresser. Pourquoi Angel ne la regarde plus ?

Alors, maintenant, il y a internet. Créer un profil sur un site de rencontre, croiser le regard de Vanessa, Vaness, van qui lui demande si elle est bi. Mais derrière ce pseudo ne se cache pas forcément une amie, une rencontre, mais juste un pervers ou un vieux. Et puis il y a cet inconnu. Marié, des enfants. La donne change. Ou pas. Une attente, une rencontre, des échanges. Des billets de train. L'amour sur un quai de gare. Cette première rencontre, je sens que je vais apprécier l'histoire, un scénario simple d'adultère mais si derrière ce geste d'amour ou de désespoir, une renaissance surviendra peut-être. Je me fais déjà le film, on se fait tous un film dans la tête.

Le jour J a sonné au réveil de Béa, ce matin. Se préparer devant le miroir de la salle de bain, se lisser les cheveux, se parfumer le triangle oublié, se faire belle – miroir, ô mon beau miroir – quelle robe, quel string, quelle couleur de rouge à lèvres ? Démarrer la voiture et aller le chercher à la gare, aller à sa rencontre et lui proposer un sourire sur un quai de gare où le vent s'engouffre, faisant voler sa longue crinière brune. Un CD dans la voiture, surtout éviter les bouchons, tourner en rond pour trouver une place de parking et se refaire à nouveau le film, de ces échanges nocturnes, de ces envies réciproques, ces désirs de deux corps laissés à l'abandon depuis trop longtemps. L'amour et sa fièvre.

Une nuit à l'hôtel, plaisir intense de capter la chaleur de l'autre, de s'enivrer de son parfum, de suer de plaisir dans des draps maculés de son suc vaginal mélangé au sperme de l'inconnu. Pas de coq pour réveiller ces deux âmes, mais un réveil dans la réalité. Je sens un désarroi chez Beeeee. Elle ne bourdonne plus ce matin, perdue qu'elle est dans cet acte adultérin comme si elle regrettait son geste alors qu'entre Angel et elle il ne se passait plus grand-chose, surtout sous les draps.

Je découvre ainsi la plume d'Eva Almassy, que je ne connaissais pas avant d'ouvrir les pages de cette histoire intense de passion, de désir et d'adultère. Une jolie écriture, tantôt poétique, parfois directe qui balance les vérités comme une pluie battante venant fouetter le visage de deux êtres pudiques sur un quai illuminé de gare. Un homme ébloui par le sourire d'une femme, une femme attiré par le silence d'un homme.

« Il y a vingt ans, complètement éblouie par Angel, elle voulait capter dans ses doigts le rayon solaire de son urine, sentir comme c'est chaud, avant ou après l'amour, horloge d'eau, émission de fièvre. »
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Au moment même ou un article de l'Obs proposait trois livres consacrés à des rencontres initiées sur le Web, j'accrochais à mes lectures un roman aux éditions de l'Olivier daté d'août 2013, récit d'une liaison nouée sur le Web.


Vous avez dit novateurs ?
Ont-ils lu la prose si efficace d'Eva Almassy, cette romancière bien connue des amateurs de l'émission les papous dans la tête. Leurs facéties autour d'un Jean-Bernard Pouy dit le poulpe, d'un Serge Joncour, Loup de mer, ou de l'Oulipo Hervé le Tellier, qui ont souvent épinglé les espaces numérisés dans leurs délicieuses parodies.


Quoi de plus anonyme qu'un message numérique, quoi de plus virtuel que ces mots échangés, si faciles à effacer, sans un grattoir, ni une gomme.
Comment qualifier ce roman "l'Accomplissement de l'amour", dont l'auteur la romancière, Eva Almassy en a monté les mailles, au fil des mois, pour Béa à la recherche du bonheur, explorant seule l'espace numérique, sans savoir à quel avenir ce jeu, à deux ou à trois la mènerait. 

Béa l'appelle page11: où êtes-vous ? Je désespère !
Lui : je ne suis pas parti.
Béa : pourquoi ? Mais pourquoi ! Pourquoi!


Ce livre est pour moi autant un canular, qu'un défi littéraire lancé à ses compagnons, les Papous sur France Culture.
Elle pouvait en rester là, me faire rire, nos amuser comme rarement un livre pouvait nous amuser, à tel point que nous saluons aujourd'hui non seulement l'article de l'Obs, et 3 auteurs, mais surtout le prix Inter 2019 attribué à Emmanuelle Bayamack-Tam - Arcadie (P.O.L.)
.

Quelle prémonition pour un livre qui est passé en 2013 sans doute inaperçu. L'incursion du personnage, Vanessa 85, est une trouvaille de plus, une concurrente qui révèle un homme déchiré, dont les selfies montrent toute l'ampleur des drames du web, et toutes les subtilités qui sont à découvrir dans "l'Accomplissement de l'amour" de Eva Almassy. Beau pied de nez à la France Inter qui imaginait cueillir une première.


Heureux les paranoïaques qui s'imaginent qu'on les observe, écrit-elle page 17.

Faut-il parler de cruauté quand les mots de Béa ne décrivent plus une lune de miel, ni une béatitude mais ce projet absurde de créer ensemble une petite société anonyme. Elle ajoutait qu'elle essaya de le mémoriser pour la journée, et de lui donner une permanence provisoire comme si elle retenait ni plus ni moins les traits d'une personne qu'elle devait interviewer.


À ce moment-là du livre on bascule d'un jeu au combien sombre, triste et amer, vers un trip artificiel où les événements se déroulent selon une convention prédéterminée de ce qu'il faut faire. Les événements deviennent mécaniques, il faudra coucher, la réalité se passe de vous et Béa est une complice à son insu.


Plus loin encore elle décrit, "la robe noire, la robe de satin qui l'entourait comme si elle avait mis sa tête sous l'immense cloche d'une église, pas la cloche elle-même mais sa lourde résonance, les profondes vibrations, les impitoyables battements trop forts pour elle."


Non ! Cette rencontre passe à côté de ce qu'elle cherche vraiment car elle s'habille d'un sourire, un grand sourire d'excuse.Toutes ces années elle allait partout seule, enfermée dans le halo d'un Angel absent qu'il la téléguidait depuis la maison, Béa emprisonnée dans la bulle d'un pouvoir qu'elle n'avait pas eu le courage de faire éclater.

Cette aventure signe définitivement l'ampleur du manque, du vide. Elle voit s'en aller tout le bonheur possible de cette matinée, qu'il est en train de tuer, car il n'y a plus de partage, elle ne peut plus repasser de l'autre côté du côté de la vie.
Dans le vide d'après, le vide de l'après, tout ira bien, Béatrice a toujours su faire çà, s'occuper silencieusement à ne rien faire.
La puissance évocatrice de Eva Almassy trouve le terroir propice à surligner la cruauté du virtuel, comme notre cruauté à créer l'illusion.


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N¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤oO7OO¤¤O6OO¤¤O5OO¤¤O4OO¤¤O3OO¤¤O2OO¤¤O1OO¤¤O0OO¤¤us avons vécu des choses
Séparément
Puis ensemble.

Nous avons été seuls
Séparément
Puis ensemble.

Béa et Angel vivent l'un à côté de l'autre ; plus rien ... rien non plus sous les draps ...

"Un conjoint vous prend votre temps, il le prend pour le sien, il vit dans votre temps, il s'y promène, il nage dans votre journée ... et c'est vous qui n'avez plus pied, qui vous noyez".

Un autre, oui, pour se sentir revivre, pour que le désir refasse surface. Vivre intensément un jour, une nuit .

"L'après diffère de l'avant, comme sont bleus les oeufs de rouge-gorge".

Deux étrangers et pourtant !

J'aimerais vous serrer dans mes bras, juste une fois.

"Quoi qu'il advienne cet inconnu sera l'homme au singulier.
Il ressemble à un phare et Béa à la mer ; elle observe ce qui se passe en elle à des milliers de kilomètres à la ronde".

Enfin se sentir vivante !
Et puis .....

Tout retombe comme un "soufflé" raté.

Tant de vérités, assénées, sans appel, comme un couperet.

Ce livre est profondément bouleversant et désenchanté.

Une illusion pleine de vide.

Aimer à tout prix, Aimer jusqu'à l'imprévisible , Aimer jusqu'à l'impossible !
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« Mais c'est inimaginable. »
Mais qu'avez-¤¤¤¤¤¤oO2OO¤¤O1OO¤¤O0OO¤¤us fait Angel ? Et vous... l'inconnu, l'homme d'une nuit ? Comment tout le monde a pu laisser Béa partir seule, sombrer dans cette froideur ? Béa, impuissante face à son envie, son désir de retrouver son corps et des sensations oubliées depuis si longtemps -Angel, son compagnon, préférant et ce depuis des années, perturber les rares moments de quiétude de Béa dans son bain, par un jet d'urine (ou de l'inconvénient de toilettes installées dans les salles de bains... ça, je le savais !) plutôt que de la toucher.
Tout est froid autour d'elle, même les instruments de son médecin. Alors elle se lance dans des messages anonymes sur le net espérant trouver du côté féminin un peu de chaleur.. Mais voilà, les faux profils sont monnaie courante et elle -naïve, qui se met à nue- découvre les tromperies d'un autre genre. Elle retourne malgré tout quelques semaines plus tard sur le site. La pêche est meilleure, un homme la désire. Au fond elle ne désire rien d'autre. Mais entre ce qu'il désire et ce qu'il dit désirer, un gouffre. Et Béa ne s'en rend pas compte à temps...

Une écriture assez puissante mais qui ne me touche pas vraiment. Malgré tout, je trouve que le style choisi colle parfaitement au tempo donné dans ce court roman. Il est en accord avec les pensées de la protagoniste principale. On ressent parfaitement les émotions contradictoires, la femme perdue, la femme qui voit renaitre le désir en elle, la femme en plein questionnement, la femme troublée ou désabusée.
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Des années qu'Angel ne la t¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤oO2OO¤¤O1OO¤¤O0OO¤¤O2OO¤¤O1OO¤¤O0OO¤¤uche plus, ne l'honore plus. Ils se voient mais ne se regardent pas, ils se parlent mais ne s'écoutent plus. Ils cohabitent, se déchirent dans un désert aride d'amour et de sentiments. Un renoncement morbide de soi et de son corps.

Alors quand Béatrice croise au hasard le sourire d'un inconnu, c'est un tsunami dans tout son Être. Elle veut aimer et être aimée, se sentir à nouveau exister dans le regard de l'autre. Après cette misère d'amour et de caresse, son corps réclame et crie l'agonie. Béatrice veut que tout son corps transpire l'amour et le désir.

Ils correspondent d'abord, puis s'apprennent et s'apprivoisent peu à peu. Ils échangent leurs maux, leurs vies, leurs attentes. le manque se fait ressentir et ils deviennent rapidement avide l'un de l'autre. de lui, nous saurons peu de chose mise à part qu'il est marié et père de trois enfants.

Et puis vient enfin la rencontre tant attendue, une ardente patience à peine supportable. Mais quand l'instant si désiré arrive, le cheminement tortueux de Béatrice me perd en chemin. Je ne la comprends plus, ne la suis plus dans son raisonnement et le déroulement de cette rencontre. Elle hésite, avance, recule, perdue entre ses désirs et ses choix. Un malaise permanent entre ses deux Êtres que tout réunis. L'inconnu est spectateur, proche du désarroi tandis que Béatrice frôle la névrose, zigzagant entre passion et incompréhension de l'autre, entre plaisirs retenus et flashback permanent de l'emprise d'Angel.

Est-ce moi qui ai mal perçu cette confusion de sentiments qui se manigance dans sa tête ? Peut-être… Une frustration de ne pouvoir me glisser dans l'histoire et d'insuffler à cette femme pourtant décidée et sûre d'elle, l'envie de profiter de l'instant présent.

Malgré un agacement envers cette femme rebelle et passionnée, j'étais en totale immersion dans ce roman. Une histoire d'infidélité, en somme banale, mais portée par la force d'écriture d'Eva Almassy. Une découverte, un vrai régal et une puissance verbale qui me donne l'envie de découvrir d'autres romans de l'auteure. Elle jongle avec les mots, nous balance de belles métaphores. Une plume divine qui bouscule notre âme et nous renvoie naturellement vers une certaine réflexion sur soi et le couple. le jeu d'écriture m'a fait pensé à celle d'Emmanuèle Bernheim mais avec une brise émotionnelle et poétique en plus. Elle a cette façon unique de marier les opposés pour donner cette puissance vertigineuse à la passion et à l'amour, qu'elle veut nous transmettre.

L'accomplissement de l'amour ou quand Aimer intensifie notre sensation d'exister!


Lien : http://marque-pages-buvard-p..
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Béa va rej¤¤oO0OO¤¤indre un inconnu. Un homme marié, père de trois enfants, qu'elle a croisé le temps d'un après-midi. Un homme avec lequel elle échange depuis des semaines par mail. Un homme dont le train va arriver en gare. La nuit d'hôtel est réservée. le reste… difficile à imaginer. Mais Béa veut se sentir vivante. Elle ne supporte plus sa vie de couple. Comment peut-on d'ailleurs appeler cela un couple. Angel ne l'a pas touchée depuis des années, même pas embrassée. « Elle avait réussi une séparation, mais l'homme était revenu, un poids mort, toujours à la maison. »

« Avec Angel, pas d'amour, pas d'enfants, pas d'accouchement, pas de lait, ni sein, ni biberon, et finalement plus de femme dans le couple (le sexe de Béatrice neutralisé). On avait piégé son être, son avenir, sa descendance, son bonheur, elle aurait dû se scier le poignet, le bras, se ronger cette patte qui était prise, partir comme les renardes, en saignant dans la neige, courir jusqu'à ce que le danger - que le passé - s'éloigne. » Mais l'inconnu est-il la solution à tous ses maux ? Ne serait-il pas simplement une parenthèse ? Ou une chimère ?

Un petit bouquin trouvé sur la table des nouveautés de la médiathèque. Emprunté sans même lire la 4ème de couv. C'est un jeu auquel je me livre parfois. En général ce sont toujours de mauvaises pioches. Rentré à la maison je découvre que j'ai mis la main sur une histoire de femme en souffrance, de femme qui se cherche. Après avoir été refroidi par le dernier Kasichke et « Trembler te va si bien », qui donnaient dans le même créneau, je me dis que je vais le ramener sans même le lire. Je me lance quand même dans la première page, puis la seconde et j'en avale la moitié d'une traite. L'histoire de cette femme me parle. Elle me touche.

« Un acte d'infidélité peut-il renforcer l'amour exclusif qui lie un couple ? ». L'accomplissement de l'amour reprend le titre et le thème d'une longue nouvelle de Robert Musil écrite en 1910. Une réécriture 100 ans après, avec une femme du 21ème siècle, à une époque où les façons d'aimer ont bien changé.

Béa se cherche, donc. Béa est perdue. J'ai été bouleversé par sa faiblesse, sa résignation, son manque de confiance en elle. Autant de choses qui d'habitude m'agacent au plus haut point. Étrange. Mon petit coeur de pierre a fondu. Je n'arrive pas à me l'expliquer. Peut-être est-ce l'écriture d'Eva Almassy, sensible et pleine de charme. En tout cas je constate avec plaisir que je suis capable de « recevoir » des textes féminins aussi intimes. Je pensais que c'était totalement impossible. Comme quoi...


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voilà un roman très bref, dont la lecture m'a pris aussi peu de temps qu'elle me restera en mémoire par la suite... une histoire de rencontre charnelle avec un inconnu après des échanges épistolaires mais on est ici loin de quand souffle le vent du nord...ici tout parait froid, superficiel, vaguement prétentieux et malheureusement on ne croit ni aux personnages ni aux situations...dommage!!
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Qu'est-ce que 24 heures dans la vie d'une femme? Tellement court mais ces quelques pages sont empreintes de la lourdeur des 20 ans d'histoire de Bé-Bee-Béa qui plombe cet "accomplissement" tant souhaité, désiré...

Ligne droite... Cercles...
Ca tourne, ça saoule !
De la quadrature du cercle à l'envie de prendre la tangente...

Roman assez monotone, sans réelle énergie ni même une once de positif... Ça se lit mais cette lecture m'a laissée ni grande impression ni plaisir si ce n'est celui de l'avoir terminée. Heureusement de nouvelles découvertes sûrement plus séduisantes nous attendent !
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Dans ce très court roman, une femme décrit tous ses faits et gestes, ses sentiments et ses pensées, à un moment crucial de sa vie. Depuis longtemps, elle vit avec un mari présent mais devenu indifférent à elle; elle ressent une grande frustration sur le plan sentimental et sexuel. Elle a commencé à faire des rencontres sur Internet. Son premier essai l'avait mise en rapport avec une certaine Vanessa qui, en fait, n'est peut-être pas une femme. A présent, elle a un vrai rendez-vous avec un homme marié dont elle ne sait presque rien et elle veut aller jusqu'au bout avec lui. Une brève histoire d'adultère, donc, mais le sexe n'a pas la place dominante. Même si l'héroïne est animée par un fort désir inspiré par ses manques conjugaux, presque tout vient de sa tête. Cet inconnu, elle ne le connait pas et ne veut pas vraiment le connaitre. Il est pour elle un instrument. Avec lui, elle est en quête d'une oasis dans son désert, elle cherche fugitivement de la chaleur et elle s'offre une petite vengeance contre son mari. Il n'y a donc pas de vraie rencontre; cette femme est narcissique – mais… à peine plus que nous autres, hypocrites lecteurs. Ce livre montre bien à quel point l'amour est un sentiment très flou, trouble et rien moins qu'altruiste (il me semble que Lacan a écrit un aphorisme cynique mais lucide à ce sujet...). En somme, ce qu'Eva Almassy décrit, ici, c'est... l'exact contraire de ce que suggère le titre ! Je n'ai pas beaucoup vibré en lisant ce roman. Toutefois je reconnais qu'il a une vraie profondeur et que l'auteure a une écriture intéressante.
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Un roman court et fort, bien écrit, ancré dans ce qui se passe aujourd'hui, genre Meetic ou.... Babelio. Rencontres, échanges et plus si affinités. Des Affinités électives ? Une écriture élitiste, pour lecteurs avertis, cultivés. Il serait intéressant de comparer avec le texte de Robert Musil mis en exergue par Eva Almassy.
Lien : http://www.sudouest.fr/2013/..
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