La saga n'est pas exempte de défauts, je les avais soulignés dans mes précédentes chroniques, malgré tout, j'ai ouvert le tome 4 (l'avant-dernier) afin de savoir ce qui allait se passer. La curiosité est un vilain défaut et lorsque je commence une saga, j'aime la terminer.
Une fois de plus, les flash-back viendront nous en apprendre un peu plus sur le passé de "La Venin." Il s'étoffe de plus en plus et nous montre ce qui l'a décidée à assouvir sa vengeance.
Les dessins et les couleurs sont agréables pour les yeux, on passe des froides neiges de New-York au sable chaud de l'Arizona, donc, gaffe aux modifications brutale des températures. le choc thermique est assez violent.
L'action est présente, sans être à toutes les pages. On alterne entre les moments du passé et ceux du présent où notre Venin continue la traque des hommes qui ont foutu en l'air sa vie.
Pour l'instant, c'est mon album préféré. On s'est éloigné de la vengeance pure et dure du départ, on a appris des tas de détails importants au fil des albums, on avait déjà eu une fameuse révélation dans le tome 3 et le scénario devient plus profond qu'il ne l'était au départ.
Comme quoi, j'ai eu raison de poursuivre avec "La Venin".
En espérant maintenant que le dernier tome sera à la hauteur de toutes les révélations et que le final ne fasse pas pchiiiittttt...
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Emily, dite la venin, est arrivée à New York pour y trouver sa prochaine victime. C'est un certain Stanley et il est architecte. En attendant d'entrer en contact avec lui elle va se faire embaucher comme danseuse de revue à Broadway.
L'histoire de vengeance en plein Far West devient plus complexe qu'il n'y paraît. Dans cette ville en plein développement, loin des plaines quelle a connues, Emily va faire face à des chamboulements dans sa détermination. Tout d'abord sa mère serait vivante, mais aussi sa victime n'est pas aussi cruelle qu'elle ne l'a imaginé. Il a même plutôt du charme...
Ce tome est tout aussi rythmé et dynamique que les précédents mais on a un côté fleur bleue beaucoup plus présent. J'avoue avoir trouvé que l'histoire d'amour entre Emily et Stanley sonnait faux. Au-delà d'une différence d'âge, qui ne saute pas franchement aux yeux sur le dessins, mais il était déjà un homme mûr 15 ans auparavant... C'est surtout que j'ai eu du mal à coller l'image romantique sur le caractère indépendant et déterminé d'Emily. Et puis il y a toutes ses retrouvailles entre filles qui semblent un peu trop faciles.
Par contre le mystère entourant sa mère, le fameux William, l'indien et l'oncle commence à tracer quelque chose d'intéressant et j'ai hâte d'avoir le prochain et dernier tome en main pour voir comment cela va se terminer.
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Ca se complique.
Jusque là l'histoire était assez simple, sans rebondissement, la logique suivait son cours. Et tout à coup, il y a quelques chose de mystérieux qui remet en cause tout ce que javais cru comprendre.
La solution au dernier tome évidemment. Ce qui a le don de m'agacer. je fini cette lecture frustrée
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