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Trois tomes (6, 7 et 8) complètement explosifs. Ils sont riches, bourrés d'actions, de révélations et d'émotions ; un pur concentré d'aventures que j'ai adoré lire. Il y a évidemment des longueurs, c'est d'ailleurs le seul point négatif que je peux donner, c'est parfois long à mettre en place. Seulement, à côté de toutes ces belles histoires et ces découvertes sympathiques, j'ai pris plaisir à poursuivre mon périple Tara Duncan.

Les surprises sont toujours aussi nombreuses. Il faut avouer que l'important monde créé par l'auteure justifie tous ces détails croustillants, ces intrigues complexes et tout ce concentré loufoque et survitaminé. Que dire, il y a tellement de choses en trois tomes de plus 400 pages chacun... Côté univers, on découvre la contrée des dragons, leur mode de vie, leur politique ; on fait un tour chez les trolls, je remercie l'auteure pour ne pas en être resté au cliché du troll idiot et de les avoir fait vivre en symbiose avec la nature ; les vampyrs sont également présents, les démons avec les Limbes, on revoit même une vieille connaissance là-bas. On apprend à mieux cerner le passé de Magister, la magie et surtout les objets démoniaques, on va même jusqu'à faire revenir des fantômes ! Côté univers, depuis le premier tome je suis emballée par ce travail de titan et je reste campée sur ma position, c'est passionnant d'apprendre toutes ces choses sur les autres peuples d'AutreMonde.

Les intrigues, j'irais au plus succinct, c'est mieux de découvrir par vous-même les nombreuses trouvailles de l'auteure. Tara doit aider les vampyrs et les dragons sans tomber le piège de Magister et sans risquer d'incidents diplomatiques. Parce que des coups d'État sont si vite arriver, par ailleurs, je crois pouvoir dire que le pouvoir trouve une grande place dans ce trio de tome. L'ambition et le pouvoir. On le voit avec les intrigants, la prise de possession de l'impératrice d'Omois, la soif de connaissance de Fabrice... ou même la première apparition de la Reine Noire, la partie obscure de Tara. Notre héroïne va devoir puiser en elle-même la force nécessaire pour sauver son monde de l'invasion des fantômes, s'alliant ainsi avec Angelica. Elle fera la rencontre de Sylver, elle va également s'exiler et faire ami avec son pire ennemi pour contrecarrer les plans de l'Impératrice maléfique...

En trois tomes, je viens juste de vous les grandes lignes, mais il se passe beaucoup d'autres événements que je ne raconterais pas, ils sont riches en émotions, en informations capitales ou ils sont trop drôles pour être mis ici. En tout cas, j'ai eu un gros coup de coeur pour les tomes 7 et 8, surtout le huitième, il m'a tellement scotchée que je l'ai lu en à peine deux jours. Il est vrai que les ingrédients employés par Sophie Audouin-Mamikonian sont bien exploités pour nous tenir en haleine. Elle garde complet l'identité de Magister, mais elle laisse passer des petites idées captivantes. Elle nous conte de beaux voyages à travers AutreMonde et OutreMonde, elle sait manier les combats, avec la politique, l'amour et la famille, l'adolescence, la mort, la magie.

Et ce avec une plume étonnante. Fluide, agréable à lire et simple tellement elle nous prend du début à la fin du récit. Les dernières lignes sont toujours aussi bien ciselées, le final de chaque tome est très réussi, il donne aussitôt envie de lire le tome suivant. L'humour, le peps incroyable qu'elle donne à travers son écriture, c'est bien écrit, parce que c'est vivant, moderne et entraînant. On est enthousiaste et l'imagination débridée fait tellement du bien. J'adore les descriptions comme les dialogues.

On arrive ainsi à la partie sur les protagonistes. En parler, ce serait trop long, vous vous retrouverez avec une chronique bien trop longue et puis je n'ai pas envie de retirer le plaisir qu'on éprouve devant certaines révélations ou ce qui peut arriver à certains personnages. Tara est toujours aussi sympathique, disons que j'aime son esprit vif et combatif, sa loyauté même si je l'apprécie moyennement, elle reste une héroïne atypique. du Magicgang, il faut retenir Fabrice, très surprenant, ce qui lui arrive m'a vraiment intéressée, il est devenu passionnant à suivre durant ces trois opus. Cal est égal à lui-même, lui aussi connaît une belle histoire, j'aime sa famille, ses répliques, c'est vraiment un super personnage, mon favori depuis son apparition dans la série. Moineau et Fafnir sont toujours aussi géniales, la première est toute en intelligence, en sagesse et bienveillance, tandis que la seconde est plus tranchante, forte et honnête. J'admets que Robin, je n'y adhère toujours pas, sa personnalité est un vrai point d'interrogation, je pense que c'est lié au phénomène de double identité, elfe et humain, il est trop tiraillé et il m'a parfois déçue dans ses réactions. Sinon, j'adore Mara, Jar, Magister, Kyla, Manitou, Isabella... Chem évidemment ! Charm ou Xandiar... Ils sont tous importants et apportent quelque chose au récit, ils ne laissent pas indifférents. Je crois avouer que la palme des super personnages revient aux deux nouveaux introduits, Sylver et Mourmur. le premier, parce qu'il est vraiment extraordinaire, dans son histoire, sa personnalité, ses répliques ; le second parce que les inventeurs un peu fous, j'adore !

En conclusion, ce sont trois tomes explosifs, je ne suis pas déçue de cette suite. Malgré quelques longueurs qui m'auront parfois ennuyée, j'avoue la richesse de l'univers, la plume dynamique et le charme des personnages me tiennent éveillée et émerveillée. Chaque tome voit son lot de péripéties, d'émotion et de petites révélations. C'est agréable à lire, drôle, une vraie parenthèse pour l'imagination avec une bonne humeur ravageuse ; la série continue de me faire plaisir et de tenir en haleine avec ses intrigues aussi nombreuses que captivantes.
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Décevant. Un passage éclair sur les sentiments, tout concentré sur une intrigue dont on finit, plus rapidement que de coutume sur un livre de Sophie Audouin-Mamikonian, par se lasser. Et c'est en tant que fidèle Taraddict, modératrice des blogus et soutenant chaque année de très très loin SAM que je parle ainsi. On a mis en relief, dès le premier tome, Selena qu'on aime bien, très gentille, très douce, faiblarde et affectueuse, un peu malheureuse et puis trop trop belle, elle se révolte soudain comme ça ce qui lui fait perdre d'un seul coup toute sa considération et sa véracité et sa chair, le passage de "au secours je suis atteinte d'un sort qui me rend parfaite aux yeux de tout le monde", était légèrement bébé, frôlant PRESQUE le pathétique, et puis Selena meurt d'une attaque et puis voilà, même pas un pincement au coeur, un véritable ratage ce coup-ci. Bon.
Arrive l'intrigue principale, le passage dans les Limbes démoniaques de Tara, ou tout se croche avec Robin... L'autrechose avec une jumelle de Tara, et le "je te faisais confiance". Cliché, très décevant.
Et puis enfin, le retour de Tara à Autremonde. Très bon moment, quand même, sur le coup, qui fit ressortir tout le talent de SAM, sorte d'explosion qu'on attendait dès le début, qui tarde, se fait légèrement trop attendre, mais c'est comme toutes les stars et se fit se mériter à ce tome ses 3 étoiles.
BrEf. Ce tome est sûrement mon moins aimé des 9 (Neuf, déjà! Plus que 3 avant le dévoilement de Magister, hihi), mais SAM étant SAM... On regrette pas les dernières heures passées.
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**En ouvrant un Tara Duncan, j'ai toujours cette impression d'un joyeux fouillis... qui n'est jamais démentie jusqu'à la fin. C'est un plaisir de retrouver tous ces personnages autant attachants les uns que les autres, cette faune et flore complètement loufoque et bizarre. L'humour est toujours aussi présent que dans les autres tomes, peut-être même encore plus dans ce tome-ci. Un humour ciblé très ado, mais on le comprend aisément quand on voit les échanges entre l'auteure et ses fans au travers de son blog (-> http://www.taraduncan.com/blog/).
Quand à cette nouvelle mouture, ce n'est qu'aventure, rebondissements en tous genres, amours contrariées et d'autres naissantes. Pas de temps mort et on est presque essoufflé en reposant le livre.

Lien : http://lecture-addict.blogsp..
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j'ai beau essayer d'attaquer la lecture, à chaque fois, je m'ennuie. Pourtant, il y a de l'humour, mais je crois que Tara Duncan n'est pas fait pour moi!
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je ne sais pas pourquoi je continue de lire cette série, l'écriture n'est pas géniale, le suspense éventé, l'humour un peu trop lourd, les références transparentes, les héros à baffer mais bon, çà détend. voilà, rien de plus
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Le propre d'une bonne saga, c'est de donner le sentiment au lecteur que chaque tome est encore meilleur que le précédent, de réussir à sans cesse le surprendre au moment même où il a l'impression qu'il ne pourra plus être surpris. Ce qui explique d'ailleurs pourquoi, la plupart du temps, les bonnes sagas sont plutôt courtes : difficile de continuer à surpasser les attentes du lecteur au bout de six, huit, dix, douze tomes ou plus ! Mais, indiscutablement, du moins à mes yeux (et à mon coeur), Tara Duncan fait partis des exceptions qui confirment la règle : j'ai le sentiment que ça fait déjà sept fois que je vous dis que « ce tome est encore plus follement palpitant, captivant, surprenant que le précédent » ! C'est peut-être dû au fait qu'autant je connais quasiment par coeur les quatre ou cinq premiers tomes, que j'ai relu le plus souvent, autant j'ai plus le sentiment de véritablement « redécouvrir » la suite comme si c'était la première fois … Et peut-être aussi que j'aime tout particulièrement ce huitième tome car c'est mon seul tome dédicacé, celui qui me rappelle ce jour incroyable où j'ai eu l'occasion de rencontrer, pour de vrai, l'autrice et d'autres lecteurs. Ce jour où ma timidité maladive a été vaincue par la joie d'entendre Sophie dire « mais oui, Aria qui lit plus vite que son ombre ! », d'aider les autres membres du forum à ranger toutes les bannières qui encombraient la librairie … de faire, l'espace de quelques heures, partie d'un grand tout qui me dépassait sans m'écraser.

Pour avoir mis AutreMonde entier à feu et à sang en ouvrant la porte à une horde de fantômes avides de se réincarner, la jeune Tara Duncan se devait d'être sévèrement punie. Mais pour avoir sauvé AutreMonde de ce même fléau, elle méritait une certaine indulgence : c'est pourquoi la peine capitale a été transformée en exil définitif sur Terre, à chasser les sortceliers renégats sous la supervision de son implacable grand-mère (car c'est une chose de punir la fautive, c'en est une autre de gâcher un potentiel magique aussi important). Malheureuse comme la pierre, Tara souffre tout particulièrement de ne plus avoir la moindre nouvelle de ses fidèles amis : Fabrice, Moineau, Cal et Fafnir lui manquent terriblement, sans parler de Robin, son petit ami. Elle donnerait absolument n'importe quoi pour les avoir à ses côtés le jour de son anniversaire … A croire qu'elle n'a toujours pas retenue la leçon : ne jamais faire ce genre de voeu, il risquerait de se réaliser. En effet, le jour même de ses seize ans, les parents de tous ses amis sont attaqués simultanément par des Sangraves, obligeant tout le monde à se replier sur Terre … Pendant ce temps, le Manoir subit lui aussi une attaque de soldats masqués beaucoup trop armés. Après des mois de silence, le terrible Magister semble prendre sa vengeance très à coeur … C'est du moins ce que pensait Tara, avant de découvrir que la vérité est toute autre, et assurément plus terrible encore : bannie ou non, elle doit absolument retourner sur AutreMonde, avant que le pire ne se produise !

Ce que j'admire le plus chez Sophie, c'est que loin de se laisser abattre par les critiques et les attaques à l'encontre de ses livres (et parfois d'elle-même, ce que je trouve plus déplorable : on peut ne pas apprécier un roman sans insulter son auteur), elle a pris le parti de les prendre à contre-pieds. Très habilement, elle montre qu'elle a parfaitement conscience de ce qui est reproché par certains à ses ouvrages, tout en prouvant qu'elle garde envers et contre tout sa ligne de conduite, refusant de se laisser dicter quoi que ce soit juste pour satisfaire quelques rageux qui ne seront de toute façon jamais satisfaits. Et plus que jamais, dans ce tome, Sophie assume parfaitement ses idées et son style : certains passages sont tout simplement excellents, parmi les plus cocasses de toute la saga (mentions spéciales à l'arrivée de Belzébuth et aux moeurs amoureux des nains), et l'intrigue elle-même renoue pleinement avec l'ambiance à la fois sombre et déjantée qui fait toute la saveur unique de cette saga. Loin de s'engluer dans une intrigue monotone, la saga connait ici un véritable renouveau, un tournant des plus inattendus … mais des plus bienvenus ! Rien ne nous permettait de deviner ce qui attendait notre « joyeuse » petite troupe (tout de même bien marquée par de terribles révélations et de plus terribles encore pertes) dans ce tome, et le moins que l'on puisse dire, c'est que cela promet quelque chose de vraiment extraordinaire pour la suite. Certains diront sans doute que ça part dans tous les sens, mais c'est justement cela qui est incroyable !

Ainsi que je le disais, tout commence plutôt mal pour Tara et ses compagnons : après des mois à n'avoir pour seule compagnie que sa sévère grand-mère et son haineux petit frère, Tara découvre que tout ce qu'elle tenait pour acquis (le coup de foudre entre sa mère et son père, l'amour de son petit ami) n'est que poudre aux yeux … et voilà que tout dégénère soudainement : des attaques de partout, des blessés, et même une mort, sans doute la plus atroce qui soit pour une jeune fille déjà fragile. Et Tara n'a même pas le temps de faire son deuil, même pas le temps de pleurer, car le devoir l'appelle : d'une façon ou d'une autre, elle est responsable de tout ce chaos, et doit donc tout faire pour y mettre fin. Tout, y compris s'allier à son pire ennemi. Tout, y compris se rendre là où aucun sortcelier sain d'esprit ne poserait ne serait-ce qu'un orteil. Accompagnée de ses amis, qui incarnent le sens même du mot « loyauté », notre pauvre héroïne va une fois de plus faire l'amère expérience qu'avec la magie, rien ne se passe jamais comme prévu. Et surtout que les apparences sont définitivement trompeuses, que l'habit ne fait pas le moine (ni l'auréole l'ange), et que rien n'est plus dangereux que l'eau qui dort … ou le démon, plus précisément. Ce tome, c'est vraiment l'occasion d'explorer de nouveaux territoires, et le moins que l'on puisse dire, c'est que le dépaysement est complet. Idéal pour s'occuper l'esprit et tenter de se remettre de son premier vrai et gros chagrin d'amour.

Vous le savez, je suis généralement la première à gémir de dépit lorsque les amourettes prennent un peu trop le dessus sur l'intrigue … et pourtant, une fois n'est pas coutume, je trouve que dans ce tome-ci, ça apporte quelque chose. Ça apporte la fragilité dont Tara avait besoin pour ne pas être seulement « celle qui sauve tout le monde en toutes circonstances », mais la véritable héroïne de cette histoire. On peut s'attacher à elle, maintenant que son armure est fissurée, maintenant qu'elle a pleinement pris conscience qu'elle peut perdre. Non pas la bataille, non pas même la vie … mais ceux qu'elle aime. Ceux auxquels elle tient plus que tout au monde, plus que sa propre vie. Avant, elle fonçait dans le tas, et même si elle souffrait sur le moment, tout redevenait rapidement comme avant. Maintenant, elle a conscience que ce n'est pas le cas. Que certaines choses sont irréversibles. Quoi qu'elle fasse. Et cela la fait souffrir, d'autant plus que ce n'est pas sa faute. Qu'elle est victime et non coupable. L'injustice est quelque chose qui me fait grincer les dents, et croyez-moi, même si je peux comprendre le désarroi de Robin, j'aimerai beaucoup être face à lui pour lui donner quelques baffes et tenter de lui remettre les idées en place ! Ce tome, c'est finalement celui où la dynamique du groupe prend vraiment un nouveau tournant, où les liens entre eux se modifient irrémédiablement, et ça apporte une saveur bien plus « humaine » à toutes ces histoires de complots, de pouvoirs, de guerres imminentes et autres joyeusetés Autremondiennes !

En bref, vous l'aurez bien compris : j'aime vraiment tout particulièrement ce tome ! J'y ressens vraiment ce même petit frisson d'exaltation qui m'a secouée le jour où j'ai ouvert le premier tome pour la toute première fois, le sentiment inexplicable de pénétrer dans un monde absolument incroyable dans lequel les aventures les plus folles sont possibles. J'y retrouve également l'humour décapant à souhait de Sophie, qui arrive à nous faire exploser de rire même au moment et à l'endroit où l'on s'y attend le moins, par des situations ubuesques au possible, par des dialogues des plus cocasses et par ces notes de bas de pages follement hilarantes. Et à côté de cela, on tremble, parce que certains passages sont emprunts d'une tension inouïe, on pleure aussi, parce qu'on ressent le même déchirement que nos jeunes héros, on soupire de soulagement, parce qu'on vient de retenir notre respiration pendant toute une page en pensant que cette fois-ci, ça y est, ils allaient tous y passer, et nous y compris. La plus grande force de cette saga, c'est qu'à partir du moment où on lâche la bride, où on accepte de se laisser porter, on est comme embarqué pour de bon dans les mésaventures de cette jeune sortcelière peut-être trop puissante pour être honnête, peut-être trop chanceuse également, mais pourtant irrésistiblement attachante. Et je ne parle même pas de ses amis : si quelqu'un connait la formule magique pour faire sortir Cal du roman, je suis prête à la tester, même si c'est un prototype !
Lien : http://lesmotsetaientlivres...
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Je ne l'ai pas tant aimé que ça celui-là.J'ai trouvé l'intrigue pompée sur le Seigneur des Anneaux comme c'est pas permis,et j'ai trouvé sa rupture niaise et énervante.Il fait parti de ceux qui font que la saga est trop longue et que les tomes s'enchaînent comme si ils étaient presque indépendants les uns des autres.
De plus,l'histoire du sort,je suis d'accord que c'est pas mal,parce que c'est vraiment inattendu.
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Comme toujours, beaucoup d'humour, d'amour et de suspense... le côté humoristique est vraiment un point fort de cette série, qui est d'autant plus 100 % française !
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Le tome 8, le tome "charnière"...
Je trouve qu'à partir de ce tome, l'histoire a remarquablement baissé en qualité. L'humour est omniprésent, lourd, trop lourd, et enlève le plaisir de la lecture et beaucoup de crédibilité.
Ne parlons pas des histoires d'amour sans queue ni tête, à l'image des best sellers américains... L'histoire est on ne peut plus invraisemblable.
Je ne dirais pas que Tara Duncan est devenu "nul", car Sophie Audoin-Mamikonian reste une auteur de talent. Seulement, elle nous avait habitués à mieux avec le début de la série...
Comme par hasard, ces changements s'opèrent au moment où apparaissent des produits dérivés de Tara Duncan, BD, CD, romans bonus... Sophie se laisserait-elle emporter par la fièvre de la célébrité et les clichés américains ?
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J'ai attendu longtemps après sa sortie pour lire ce huitième tome, afin de pouvoir le lire et d'enchainer avec le tome 9. Une PAL immense et deux volumes d'Indiana Teller aident à patienter.
J'apprécie toujours autant la capacité de Sophie Audouin-Mamikonian à renouveler les péripéties d'un tome à l'autre tout en réexploitant des faits qui se sont passés dans les tomes précédents. Elle tisse ainsi une intrigue où les rebondissements ne manquent pas, qu'ils soient tragiques ou franchement comiques.
Le comique est nécessaire. Tout comme l'impératrice maléfique, la tonalité est très noire, et Tara devra affonter bien pire que ce qu'elle a déjà enduré - et elle a déjà enduré beaucoup. Message codé : ne ratez pas l'apparition de Bel.
Alors que lire la cartographie d'Autremonde est déjà très compliquée pour moi, Tara est amenée à visiter la planète des démons, ou plutôt devrais-je dire l'une de leur planète car elle découvre à sa grande stupéfaction l'existence de plusieurs mondes. Cette planète est en pleine mutation puisque les démons l'ont terraformée dans un but que je vous laisse découvrir. Ils sont devenus très beaux, ces démons, puisqu'ils ont décidé d'adopter une apparence humaine. Oui, adopter une apparence elfique est tout de même un peu gros, et personne ne s'y est essayé.
Parlons-en, des elfes, ou plutôt de l'elfe de coeur de Tara, Robin. le pauvre. Il n'est pas très bien remis de ses précédentes aventures, et le dénouement me laisse à penser qu'il aura du mal à se remettre de celles-ci. Ce n'est pas maître Chem, trop rare dans ce volume (j'aimais beaucoup ce personnage) ou Mourmur Duncan, savant fou quasiment sous contrôle qui me diront le contraire.
J'ai un regrêt, cependant : Magister est devenu bien pâlichon, ce n'est plus vraiment le méchant à abattre des précédents volumes. Il n'est pas devenu plus humain, il aurait pu, non, il est juste devenu terne. J'espère que le tome suivant me fera changer d'avis.
Lien : http://le.blog.de.sharon.ove..
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