"Le voyage des morts" : il y a dans ce livre toute une mentalité, autant de candeur que de férocité orientées vers les astres, une irrémédiable sauvagerie ; je me suis parfois demandé qui pourrait aimer ça, quand je rencontrai la solitude, le silence et la mort.
J'ouvris mes carnets, mon écriture semblait n'être parfois qu'un scheme, celui de la terreur et de la joie, une écriture hantée, que j'aimais ; un ordre des mots plus qu'un récit.