Bof ! Cela se lit très vite mais je n'ai pas été touchée par ce récit de la disparition de Venise. L'écriture d'I. Autissier me laisse indifférente ; je n'ai pas ressenti de véritable émotion, que ce soit pour la protection de Venise et plus largement pour la nature, ou que ce soit par rapport au délitement des relations entre les membres de la famille Malegatti.
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