AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur L'homme des bois (40)

Je m’accrochais à cette idée qu’il était mort dans les bois comme un marin meurt en mer. La forêt qui prend l’homme. Mon père cet aventurier.
Commenter  J’apprécie          202
Il vénérait le livre comme objet, comme symbole, parce que des livres, il n'y en avait pas chez ses parents. Il adorait visiter les maisons d'écrivains (...)
Quand il visitait une maison d'écrivain, de même qu'un grand musée ou une exposition rétrospective, il avait toujours besoin de s'identifier, comme un adolescent face à un film de super-héros. (p. 98)
Commenter  J’apprécie          190
Si je suis au volant de ma 307 immatriculée 69 , je suis pris pour un type qui n’est pas d’ici, et alors j’ai envie de descendre pour lui dire : mais si, je suis né là, j’ai grandi là, j’ai vécu vingt ans dans le Jura, ne me prenez pas pour un touriste, s’il vous plait, je suis des vôtres. Tandis que dans la Seat Ibiza de mon père, immatriculée 39, je suis peinard. J’ai même le droit de pester après un touriste égaré et de le klaxonner en tapant sur le volant. (p16)
Commenter  J’apprécie          180
Il vénérait le livre comme objet, comme symbole, parce que des livres, il n'y en avait pas chez ses parents. Il adorait visiter les maisons d'écrivains.
Commenter  J’apprécie          140
"Au début je me disais que j'allais faire une ou deux découvertes, un petit trésor, quelques secrets, mais plus j'avance dans ma tâche et plus je suis frappé par la cohérence de son personnage. [...] Tout lui ressemble. »
Commenter  J’apprécie          140
Mon père n’était pas le premier à être enterré sur du Ferré. Il appartient peut-être à la dernière génération de personnes qui le seront.
Commenter  J’apprécie          130
Trente ans de célibat, ça laisse du temps d'essayer un paquet de trucs. (p. 96)
Commenter  J’apprécie          133
Mon père a commencé à travailler à dix-sept ans, il est mort à soixante et un ans. Les dernières années, il ne parlait que de ça, cette putain de retraite qui se rapprochait, qui lui tendait les bras, et qui l'inquiétait sans doute un peu mais sur laquelle il n'aurait pas craché, ça non, sûrement pas. Il ne supportait plus le boulot, son chef et ses collègues en savaient quelque chose. Il est mort trois mois avant la fin.
(p. 30)
Commenter  J’apprécie          120
Ce que je voulais dire c'est que c'était un endroit qu'il (père de l'auteur) aimait, que c'était une forêt où il se sentait bien, et précisément pour son côté sombre et rude et inhospitalier. Je voulais dire que c'était une forêt qui lui ressemblait, et qu'elle était à son image, de type solitaire, un peu sauvage. (p; 41)
Commenter  J’apprécie          120
A cette époque, il commençait à être considéré comme un original, surtout
dans sa famille. Ce qu'il avait de particulier pour eux, sans doute un fond
revêche, rebelle, qui s'est traduit par une nécessité de marquer une différence et de s'entourer de personnes nouvelles. Un besoin d'émancipation qui a trouvé toutes sortes d'échos dans la société du moment (p. 35)
Commenter  J’apprécie          100






    Lecteurs (303) Voir plus



    Quiz Voir plus

    QUIZ LIBRE (titres à compléter)

    John Irving : "Liberté pour les ......................"

    ours
    buveurs d'eau

    12 questions
    288 lecteurs ont répondu
    Thèmes : roman , littérature , témoignageCréer un quiz sur ce livre

    {* *}