Citations sur Agatha Raisin enquête, tome 3 : Pas de pot pour la jard.. (75)
- Elle était très jalouse de vous.
- Pourquoi ? À cause de vous, de moi, de notre amitié ?
- Un peu, mais surtout à cause de votre popularité dans le village.
- De ma quoi ?
- Vous êtes très populaire, Agatha.
- Ah ! » répondit-elle dans ton bourru. Elle fxa l'écran, hébétée, sans vraiment voir les mots. Agatha Raisin, populaire ! Elle était stupéfaite de bonheur et de gratitude. Mais cette éphémère sensation d'euphorie s'évanouit pour laisser place à l'effroi.
Et me voilà de nouveau, se dit Agatha avec une tristesse mêlée d'humour, à battre la campagne avec James. Sauf que cette fois, tout ça ne semble rien avoir ... d'extraordinaire. Et elle se felicita de son nouveau détachement.
L'un des hommes se gratte à la tête, puis déclara : « vous êtes une femme comme je les aime, Mrs Raisin. Moi non plus, je ne supporte pas le jardinage. Mais pourquoi une clôture aussi haute ? Il y a une section supérieur, je vois, qui pourrait être enlevée pour laisser entrer un peu de soleil.
- Je n'aime pas les voisins trop curieux, répondit-elle d'un ton de défi.
Comme j'aurais été contente, il y a seulement quelques jours ! pense à Agatha après avoir accepté l'invitation et suivi James dans son séjour tapisser de livres. Avant que la révélation de sa liaison avec Mary réduisent à néant l'innocence de mes espoirs ridicules.
[...]
À sa grande surprise, Agatha répondit : « Vous avez bien raison. À tout à l'heure ! », puis elle prit son sac à main est parti. Autrefois, il aurait eu beau essayer de lui faire comprendre qu'il était temps qu'elle s'en aille, elle serait resté le plus longtemps possible.
Elle rentra chez elle avec le sentiment d'avoir remporté une victoire sur ses émotions immatures coin mais son exultation suis de courte durée : sur le seuil l'attendait Bill Wong et un groupe de policiers.
« Votre ami, Bill Wong, m'a pris en aparté et demandé de faire en sorte que vous ne vous méliez pas de l'enquête.
- vu le succès que j'ai eu dans le passé... que nous avons eu dans le passé, ajouta-t-elle, charitable, je trouve que c'est un peu culottée de sa part.
- c'est parce qu'il a de l'affection pour vous, il ne veux pas que vous vous retrouviez seul face à un assassin complètement cinglé.»
Agatha eut un sursaut de culpabilité en pensant à son jardin.
[...]
[...]
Mais pourquoi m'avoir raconté ça à moi, entre tous ? »
Mes Bloxby la regarda, l'air légèrement surpris. « parce que vous ne jugez pas et vous que vous ne condamnez jamais les gens, Agatha. Je suppose que c'est pour ça. »
Seulement dans ma tête , et presque en permanence, regretta intérieurement Agatha.
« C'est une amie à toi ? demande Roy après son départ.
- J'imagine, oui. Elle a été un peu vache pendant que tu étais allé chercher le thé, mais je suppose que c'est la tension qui finit par lui porter sur les nerfs.
- J'ai plutôt l'impression que c'est la reine des garce, oui. Tu mollis, Aggie. À Londres, tu aurais tenu Vieille-Peau-de-Plastique à distance.»
Mais à Londres, songea-t-elle, toutes ces années que j'y ai vécues, je ne savais pas me faire des amis. Mon seul ami, c'était mon travail point aujourd'hui j'essaie de tirer le meilleur parti des gens qui m'entourent.
« Ce n'est pas pareil dans un village, répondit-elle. Ce n'est pas comme à Londres, où tu ne connais même pas tes voisins.» Londres, se dit-elle brusquement avec effroi ben, où elle allait bientôt retourner. Allait-elle manquer à James ? Il ne remarquerait sans doute même pas qu'elle n'était plus là.
« Alors après, ça a été ma fête.
- C’est-à-dire ? »
- Miss Simms vira au rouge.
- « Ca me dit trop rien d’en parler.
- Vous voulez dire qu’elle a eu des paroles blessantes, fit Agatha avec compassion. Vous n’êtes pas la seule. »
- La jeune femme la regarda, surprise.
« Pas la seule ? Mais tout le monde arrête pas de dire que c’était un ange et tout !
- Parce que personne ne voulait révéler ce qu’elle lui avait dit. Allez, vous pouvez vous confier à nous !
- Sans doute. Eh ben, elle a dit comme quoi les mères célibataires comme moi, qui vivaient aux crochets de l’Etat, il faudrait les abattre. Et que si elle devenait présidente de la Société des dames, la première chose qu’elle ferait, ce serait de trouver une secrétaire plus respectable. J’lui ai répondu que je recevais rien de l’Etat. « Vous n’en avez pas besoin, qu’elle a fait. Vous vous faites entretenir, et c’est pareil que se prostituer. » J’lui ai dit que tout le monde avait pas de l’argent et que c’était pas parce qu’elle le faisait gratuitement.
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« Tu t'es laissée aller. OK, tu as connu des expériences palpitantes dans ce trou, mais il me se passera plus jamais rien ici, et tu ferais bien de te faire à cette idée. Pense à Londres, Aggie ! »
Elle pensa en effet à Londres et se rappela combien elle s'y sentait étrange et étrangère, maintenant, les rares fois où elle s'y rendait - Londres, qui avait été autrefois le centre de son univers.
« Je suis heureuse ici, objecta-t-elle d'un ton de défis. D'accord, ne me suis un tout petit peu laissée aller, mais je vais très bientôt retrouver la forme.
Mary Fortune, elle a dit un drôle de truc. Elle a dit : " Peut-être que Mrs Raisin est comme une sorte de vautour, et que tant qu'elle n'est pas au village, rien de mal ne peut arriver. ”