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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
De Simone de Beauvoir, on cite abondamment la phrase « On ne nait pas femme, on le devient » qui ouvre le 2e tome de son étude "Le Deuxième Sexe". le tome 1 est beaucoup moins cité. C'est probablement le cas pour deux raisons :

- Il est beaucoup plus dur à lire, beaucoup moins accessible, car très universitaire dans son format.
- Il parle de biologie et étudie notamment comment l'universalité de la domination masculine s'est installée dès la préhistoire à partir de contraintes naturelles (maternité et différentiel de force physique H/F). Ce genre de propos est très impopulaire dans la plupart des essais féministes actuels, où la biologie a mauvaise presse.

Pourtant, ce livre est un ouvrage majeur, pointu, très complet. Outre les contraintes biologiques, que Beauvoir n'analyse d'ailleurs pas que chez les humains, l'auteure se penche aussi longuement sur l'histoire, sur la littérature (pour étudier les représentations de la femme chez certains écrivains) et un chapitre est consacré à la psychanalyse.
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Terminer cette lecture me donne l'impression d'avoir gravit le sommet d'une très haute montagne. Lorsque j'ai décidé de lire un livre sur le féminisme, j'ai hésité entre celui-ci et Sorcières, de Mona Chollet, mais le Deuxième Sexe est le texte fondateur du féminisme moderne, il me semblait plus judicieux de lire celui-là en premier. A l'époque de sa sortie, j'imagine qu'il a dû faire l'effet d'une bombe. N'étant pas aussi brillante que Simone de Beauvoir, j'ai parfois dû m'accrocher au cours de ma lecture (sur la partie portant sur la psychanalyse notamment), mais j'ai adoré la seconde partie sur l'Histoire et les comparaisons faites entre différents auteurs. Je vais quand même aérer mon cerveau avant d'entamer la lecture du tome 2.

Challenge 2023 : un livre sur le féminisme.
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C'était intense !
Le début est très scientifique et c'était intéressant d'avoir les comparaisons entre femelles humaines et femelles animales. Toute la partie historique est très instructive aussi mais très dense en informations. J'ai vraiment aimé la vision des femmes par les Grecs, Marx, Zola, Balzac, c'est parfois ahurissant.
Ce livre est souvent cité dans les bibliographies d'autres ouvrages féministes donc c'est toujours bien de l'avoir lu au moins une fois.
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Cela fait quelques années que ce livre, ces livres – il y a deux volumes – captent mon regard dans la bibliothèque maternelle. Il faut dire : je suis affublée d'une sorte de toc ; je ne peux me trouver devant une bibliothèque sans me trouver en arrêt à observer tous les livres, voire lire les titres et les auteurs, détailler les couvertures. Y compris devant mes propres bibliothèques. de sorte que l'achat d'un livre s'amortit par son temps de lecture, son aspect décoratif et aussi le temps qui sera passé à le scruter. Bon, ce n'est pas le sujet ici.

Donc dans ma période « il est temps de m'attaquer aux classiques qui manquent à ma culture », je me décide enfin et j'emprunte les dits volumes.
Le premier tome du deuxième sexe donc. Cinq cents pages d'une vieille édition poche (donc écrit petit avec des marges réduites). Non pas que je m'arrête à la forme, mais là, cette forme dit quelque chose du fond : c'est dense. Voire long, parfois.

Alors je vais faire très court. D'abord parce qu'il serait impossible, pour moi, de vous résumer l'ouvrage. Ensuite parce qu'il vous faut garder votre temps de lecture pour lire le livre, justement. Je n'oserais pas le qualifier d'indispensable, mais comment compenser sa lecture ? Car il apporte des données essentielles à la compréhension de la place de la femme dans la société. Et pourtant il date ; et ses représentations sont datées aussi. La vision de la femme a évolué, indéniablement. Mais il est justement parfois très utile de « replacer les choses dans leur contexte » (des guillemets parce que c'est quelque chose que disait souvent ma mère – elle est toujours en vie, juste, elle ne le dit plus). Oui car il est difficile de comprendre pourquoi les femmes étaient si dociles à se soumettre à l'autorité patriarcale si on ne sait pas, ou si on a perdu de vue, qu'elles n'avaient pas le droit de vote, pas le droit de travailler sans l'accord de leur mari ou pas le droit d'ouvrir un compte bancaire par exemples.

Donc vous avez là une longue réflexion, argumentée et ponctuée d'exemples, sur les causes, biologiques, culturelles, sociétales, du rang de la femme, après l'homme.
Besoin de ne pas rester inculte voire ignare sur des personnes qui ont marqué par leur pensée la société française, c'était pour moi une lecture certes un peu fastidieuse mais qui m'a comblée d'une vision éclairante.

Au suivant !

Lien : https://chargedame.wordpress..
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Une lecture passionnante. C'est vraiment très intéressant mais parfois assez difficile à assimiler. C'est très dense, très recherché et approndi, il faut parfois s'accrocher ! J'ose à peine imaginer le scandale qu'à du provoquer cet énorme pavé dans la mare patriarcale de 1949 ! Une oeuvre qu'il faut avoir lu et qui je pense doit être relu pour en mesurer chaque élement
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Bon, me voilà à devoir écrire un avis sur le Deuxième Sexe, essai aujourd'hui référence majeure de la philosophie féministe et écrit par Simone de Beauvoir...
J'avoue que je n'aime pas vraiment devoir rédiger des critiques sur ce genre d'oeuvres. (ramenez-moi dans ma zone de confort de romans jeunesse et pour adolescents, par pitié T-T) Je ne me sens pas à ma place, pas du tout, comme si j'étais encore la préado de treize ans qui venait de débarquer sur Babelio. (bon, aujourd'hui j'en ai seize... je me sens toujours autant comme une gamine aha, mais passons) Je sais bien que ce n'est pas une plateforme réservée à des critiques professionnel.les, mais n'empêche que j'ai toujours ce sentiment de ne pas me sentir légitime d'écrire un avis tout sauf argumenté sur des oeuvres classiques.
En soi, je pense que ce sentiment est normal, quelque part. (rires) C'est pour cela que parfois, j'essaie de ne pas trop me prendre au sérieux moi-même, parce que je sais que même si j'essayais de le faire sérieusement, mes avis n'auront pas vraiment de réelle constructivité.

Je pensais que le Deuxième Sexe faisait partie des lectures cursives proposées par ma prof de français dans le parcours sur la littérature d'idées, mais je me trompais. En fait, elle a mis dans sa liste un extrait (La Femme indépendante), mais pas l'ouvrage en entier. Or quand je me suis aperçue de cela, j'avais déjà commencé le Deuxième Sexe. Faisant partie de ces personnes qui vont toujours au bout de leurs lectures et qui détestent les abandonner en plein milieu, qu'importe soit la raison, il m'était impossible de faire marche arrière. Bon et puis de toute façon, cette oeuvre était dans ma PAL depuis un moment, je l'avais acheté de moi-même avant même d'être en Première, donc autant la lire maintenant.

J'ai donc poursuivi ma lecture. Cette dernière fut... compliquée, pour être honnête. Assez éprouvante. J'étais curieuse de découvrir cette oeuvre, mais je ne m'attendais pas à ça. (à quoi m'attendais-je ? à vrai dire je n'en sais trop rien xD) Maintenant que j'y repense, ce devait être un des premiers essais que je lisais dans ma vie, alors évidemment ce ne fut pas des plus faciles. Je ne vais pas le nier : oui, j'ai lu des passages en diagonale et oui, j'ai sauté des pages.

J'ai eu notamment du mal avec la partie Mythes. (dans le chap 2, à part quand Stendhal est mentionné, je n'avais pas les autres références… comprendre et m'intéresser à cette partie fut donc relativement compliqué) En comparaison, la partie Histoire m'a davantage intéressée.

M'enfin bref... Néanmoins, je ne regrette pas de m'être accrochée. C'est une oeuvre majeure de la philosophie féministe et je suis contente de l'avoir lu malgré mon manque de maturité évident d'adolescente de seize ans qui ne lit quasi que des romans jeunesse/YG :') Mais bon, je vais quand même un peu attendre quelques années avant de me risquer à découvrir le second tome !!
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J'ai longtemps hésité à me procurer les 2 tomes du Deuxième Sexe. Simone de Beauvoir me faisait peur, autant au niveau du ton soutenu (1950 environ) que sur le fond et les notions autour du féminisme.

Simone de Beauvoir a choisi un schéma très prenant pour organiser son essai, chose qui m'a happé dès le début dans le cheminement de ses pensées. Elle commence par parler de la femme d'un point de vue biologique, ici on apprend beaucoup de choses, autant sur les humains que des exemples parallèles avec des animaux et insectes. Simone de Beauvoir essaye de comprendre les choses factuellement, de réfléchir à la place de la Femme.

Ensuite l'autrice aborde la Femme sur le thème de la psychanalyse, et exploite notamment des écrits philosophiques (je crois ?). Elle confronte notamment les écrits de Freud.

Finalement, Simone de Breuvoir aborde ce qu'elle appelle le "matérialisme historique". Ici l'idée véhiculée est assez simple : l'invention des outils (sous toutes formes) va donner à l'homme une place bien plus importante, qui va alors prendre la place de la femme sur beaucoup de tâches qui lui incombait. La femme n'a biologiquement pas les capacités d'en faire autant, et finit pas devenir moins présente que l'homme dans les tâches utiles à la société (agriculture etc).

Après ça, l'autrice retrace l'histoire de la femme jusqu'à son époque, quelle était sa place, comment elle a évoluer, la différence entre différentes zones géographiques.

Je reprends une citation bien connu, que l'autrice mets en avant avant même de démarrer son essai : " Tout ce qui a été écrit par les hommes sur les femmes doit être suspect, car ils sont à la fois juge et partie. " Poulain de la Barre

J'ai beaucoup appris avec ce premier livre, j'avoue avoir pris le temps de le découvrir pour 2 raisons : la richesse de chaque page et l'écriture qui est très soutenue. J'ai pris plaisir à lire cet essai en ayant conscience que nous parlons de la femme dans les années 50, toutefois les études de Simone de Beauvoir sont extrêmement enrichissantes, quelquesoit l'époque.

Un classique à découvrir, qui n'accuse personne, qui énonce des faits, les analyse et en déduit certains éléments.

A bientôt pour le deuxième livre 📖
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Une lecture enrichissante pleine de références historiques et culturelles qui nous permet de mieux comprendre l'évolution de la place des femmes dans nos sociétés. Mais aussi les freins et les oppositions à son émancipation.
A lire et relire pour ne pas oublier que les acquis sont des conquêtes et que rien n'est immuable.
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Voici une oeuvre qui éclaire, qui demeure intergénérationnelle et qui doit être lue.

De nombreux et importants faits sont rapportés par S. de Beauvoir dans cet essai, si bien que je prévois de le relire dans quelques mois afin de pouvoir m'approprier le plus possible le discours qu'elle nous propose pour définir la condition de la femme à travers les âges, présenter les enjeux que son évolution représente au sein de la société mais aussi expliquer, décortiquer et analyser la cause et la conséquence des obstacles dont la femme a dû faire face au cours de son évolution.

Cette première lecture m'a permis d'identifier les éléments de compréhension suivants :

Dans l'Histoire, la femme de par ses choix et ses comportements a toujours été considérées comme désirant imiter l'homme. La femme comme objet de l'homme et Autre de l'espèce humaine.

* Dans sa phase primitive, l'appréhension de l'outil a permis à l'homme d'assouvir sa souveraineté, transformant sa vie en action, en progrès, en domptant la nature.
En comparaison, la femme de par sa fonction a eu le rôle de répéter la vie, se cantonnant à elle-même tandis que l'homme a eu l'opportunité d'avancer via ses actes en agissant sur le monde.

** le développement de la propriété privée a sonné l'avènement de l'homme, réduisant la femme à partie intégrante de ses biens, et sur lesquels les droits de l'homme prévalent. Les notions d'héritage apparaissent alors au bénéfice des hommes, la femme en est la victime.

*** La féodalité : la femme est placée sous la protection du suzerain via le mari. Elle transmet ses terres à son mari en l'épousant.
Napoléon énoncera d'ailleurs à ce sujet, ces propos édifiants : « le poirier et les poires appartiennent au propriétaire, tel que la femme et les enfants ».

Cependant, la condition de la femme se distingue tout de même entre familles riches et familles pauvres : pour ces dernières le bien matériel a moins d'importance et donc également la notion de propriété. Et la femme parvient de par le travail à être l'égal de l'homme.

Importance des mondes culturels et artistiques :
Dans le milieu bourgeois, les femmes commencent à s'instruire et occupe un rôle important dans le monde mondain.
Dans les strates inférieures, c'est de par l'art que les femmes parviennent peu à peu à s'émanciper mais elles ne sont encore que des cas particuliers (autrices et actrices) et les inégalités persistent.
De leurs côtés, les écrivains défenseurs et détracteurs s'affrontent de par leurs écrits au sujet de la condition féminine.

Socialisme et féminisme :
La révolution sonnant la fin du second empire a été organisée par la bourgeoisie et non le peuple. La place de la femme demeure alors au sein de la famille où les intérêts de l'homme sont partagés et protégés. La classe ouvrière, dans laquelle la femme parvient à s'émanciper le plus aisément, ne parvient pas à révolutionner à son tour le destin de la femme.
Mais plus tard, la révolution industrielle, au XIXème siècle, voit apparaître le soulèvement et le renforcement de la classe ouvrière sur l'échiquier politique, et également à travers la montée du socialisme. L'égalité entre les hommes et le refus de l'esclavage favorise et renforce le féminisme. Cependant, l'exception à la règle concernant l'union du socialisme au féminisme réside en Proudhon, fervent socialiste mais grand critique du féminisme, jugeant que le rôle de la femme se contraint aux tâches ménagères et au sein de la famille.
L'arrivée des machines supprime peu à peu la discrimination de la femme par sa force physique. L'essor de l'industrie en manque de main d'oeuvre favorise également son intégration mais dans des conditions d'hygiènes déplorables et à des salaires de misères.
En plus du salaire bas, la femme reste enfermée dans sa fonction de reproductrice, et évolue d'une fécondité libre à une fécondité dirigée par l'Etat.
Ceci jusqu'aux débats sur l'avortement. Sur ce point, la femme reprend le contrôle sur la nature et s'émancipe encore notamment grâce aux avancées technologiques concernant le contrôle de la fécondité.
L'avènement du socialisme et de l'égalité entre les Hommes ont favorisé le rapprochement entre les classes et donc entre les femmes de classes différentes qui jusque-là ne partageaient pas forcément tous les mêmes intérêts. La montée du féminisme s'intensifie alors jusqu'à la question sur l'éligibilité de la femme.

S. de Beauvoir explique que l'émancipation de la femme ne s'est réalisée qu'à travers les hommes et leur bon-vouloir. C'est parce que les hommes y ont vu un intérêt propre que les idées féministes ont pu tant se développer. de même, pour leur rôle joué dans l'Histoire : « ce n'est pas leur infériorité qui a déterminé leur insignifiance historique, c'est leur insignifiance historique qui les a vouées à l'infériorité » (p.227).

Les mythes autour de la femme :
La dernière partie de cette première partie évoque les mythes que l'homme entretient pour la femme. Les terribles croyances envers les menstruations et leurs effets néfastes sur les aliments, la fermentation du cidre ou même la réussite d'une mayonnaise !!
La défloration est soumise aux mêmes types de croyances.
La femme est occupée à jouer un rôle passif, un danger pour l'homme mais nécessaire à sa survie. Un objet de désir et de crainte, l'homme veut s'en protéger mais aussi la posséder.

Défloration : prendre sa fleur, le chevalier cueillant une fleur encore jamais respirée, une conquête d'une terre jamais explorée.
La conquête de la femme constitue un jeu pour l'homme, un jeu dangereux mais qui doit indéniablement se résumer par un dénouement victorieux.
La femme est TOUT pour l'homme : épouse, servante, juge, à travers laquelle il l'utilise pour se sublimer.

Le danger du mythe est également associé à la femme : divinité de la nature, de la santé, et religieuse… à la fois faste et néfaste et à travers desquelles les hommes se cachent et se satisfont en expliquant et justifiant leurs expériences vécues et leurs jugements par ces idoles figées, sur fond de notion de vérité absolue.
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J'ai toujours voulu lire le Deuxième Sexe, sans jamais trouver d'explication à cette attraction pour ce livre. Peut-être parce que le titre m'interpellait, peut-être parce que je voulais comprendre pourquoi les femmes étaient encore une fois reléguées au second rang. Ce qui est sûr, c'est que j'ai bien fait d'attendre un peu avant de le lire car autrement, je n'aurais sûrement rien compris. En effet, je vous conseille d'avoir quelques notions élémentaires de philosophie avant d'aborder le Deuxième Sexe, Simone de Beauvoir utilisant de nombreuses références tout au long de son essai.

Ce premier tome est composé de plusieurs parties, qui traitent de la femme sous différents angles. La façon dont l'auteure a abordé le sujet m'a paru très intéressante : elle commence par décrire physiologiquement la femme par rapport à l'homme, d'une manière purement rigoureuse et cartésienne. Ainsi, elle explique que l'infériorité physique de la femme n'explique pas son infériorité dans la société, et qu'il faudrait plutôt se tourner vers les moeurs pour trouver les racines de cette infériorité.

Certains passages m'ont beaucoup plu, ils m'ont aidée à mieux cerner les inégalités qui sévissent encore aujourd'hui entre les femmes et les hommes. Il est intéressant de voir le point de vue de Simone de Beauvoir à cette époque en particulier, car ainsi nous pouvons mesurer tous les progrès qui ont été réalisés depuis 1949. Cependant, cela démontre aussi que la question de l'égalité femme-homme ne date que d'un siècle environ (je parle ici de sa forme la plus avancée), et que l'on peut malheureusement la considérer comme une question d'actualité aujourd'hui encore, et pour des années à venir.

Pour finir, j'ai trouvé le style de Simone de Beauvoir très clair et méthodique : elle sait où elle va, rien n'est laissé au hasard. Ses explications ne m'ont presque jamais paru alambiquées, ou trop compliquées à comprendre. Même lorsque je ne connaissais pas le livre auquel elle faisait référence (et c'est arrivé plus d'une fois), j'ai toujours cru saisir l'essentiel de ses propos.

Je vous invite donc à vous transcender en lisant cet essai, puisse-t-il aider les femmes à se sentir moins Autres et plus Sujets, au même titre que les hommes.
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Thème : Le Deuxième Sexe, tome 1 : Les faits et les mythes de Simone de BeauvoirCréer un quiz sur ce livre

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