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4,02

sur 1080 notes
Les falsificateursLes éclaireursLes producteurs
(ou le pouvoir des fake news à grande échelle)
une trilogie qui éclate !

Antoine Bello nous invite à suivre le parcours d'un jeune islandais, Sliv Dartunghuver, au sein d'une méga-organisation ultra secrète : le Consortium de Falsification du Réel.
Tentaculaire et très puissant, le CFR répand dans le monde entier des informations inventées de toutes pièces par ses agents.
Ces fausses nouvelles modifient l'Histoire, provoquent des évènements majeurs et orientent la marche du monde. Car leurs conséquences, elles, sont bien réelles.

Avec une idée de base très ingénieuse, l'auteur plonge le lecteur dans un mystérieux monde parallèle qui cultive la manipulation.

Comment fonctionne le CFR? D'où vient-il? Qui le dirige? Et surtout, quel est son objectif?
Autant de questions auxquelles Sliv va s'évertuer à apporter des réponses.

Dans cette trilogie, rien de fantastique ni de surnaturel. Nous ne sommes pas dans le domaine de la science-fiction bien que l'auteur en utilise les mécanismes.
Ses falsifications, sans excès ni sensationnalisme, paraissent si plausibles qu'elles font douter de la «réalité» telle qu'on la connaît.
Antoine Bello a assurément le sens de l'intrigue et nous amène à revoir nos certitudes concernant l'utilisation des médias, la déformation de l'information et la faillibilité de notre mémoire.

Le personnage principal est intelligent et sympathique. Il est aussi très humain et partage avec le lecteur son idéalisme, ses hésitations, ses réussites et ses échecs.
Les personnages secondaires sont plus typés, voire même monolithiques pour certains.

Un ouvrage inventif qui procure un véritable plaisir de lecture!
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Sliv, jeune islandais tout frais sorti de l'université, répond à une annonce d'emploi dans un bureau d'étude de Reykjavik. Reçu par l'un des patrons, on lui propose en fait d'intégrer les rangs d'une organisation secrète qui manipule certains faits historiques dans un but final mystérieux. Après de nombreuses hésitations, Sliv saute le pas, ce qui va changer à jamais le cours de sa vie...

Mais quel univers addictif ! Quelle analyse sensée du monde dans lequel on vit ! Ce livre est jouissif à bien des égards : intelligent, carrément étonnant, judicieusement inventif, savamment critique et empreint d'un humour franc et simple...
La machine globale est complexe, il serait compliqué de trop vouloir décrire ce qui se passe tout au long du roman. Mais le principe de base de l'organisation (celui de réécrire le réel) et la temporalité du roman (qui nous ramène dans la décennie des années 90 et les évènements historiques qui l'ont caractérisée) sont un écho intense à tout ce que le monde est devenu aujourd'hui, avec les fake news, la manipulation du réel par des instances gouvernementales, les oeillères de ceux qui refusent de voir ce qu'ils ont pourtant devant les yeux, les facilités que l'arrivée d'internet a créées... Ce livre a été publié en 2007, c'est comme si l'auteur avait prédit ce qui allait se produire 10-15 ans plus tard, c'est très flippant. Et je ne parle même pas du passage dans lequel il est fait mention de la prise de pouvoir des Talibans en Afghanistan en 1996, en cette semaine catastrophique d'août 2021 où ces types ont rétabli leur autorité... Ma lecture de ce passage en cette semaine terrible est une coïncidence, certes, mais relire ces évènements historiques à la lumière des évènements récents tout en sachant ce qu'est devenu le monde après, ça a un côté très sinistre, guère encourageant sur le devenir de cette planète...
On a affaire à une histoire extrêmement riche qui soulève de très nombreuses questions sur les arcanes du pouvoir, qui le détient vraiment (car qui possède le pouvoir de l'information s'accapare la pensée des gens), sur la crédulité des populations, sur le sens critique personnel comme élément de survie. Ce récit est une sorte de dystopie uchronique réaliste, un mélange des genres original et mené avec brio. On ne peut que se jeter sur le tome 2, vraiment.
Lien : http://livriotheque.free.fr/..
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Sliv Dartunghuver croyait être embauché par un cabinet d'études environnementales. Il a en réalité intégré le CFR, une organisation qui falsifie le réel, le passé et les archives. « Quand tous les éléments d'une organisation comme le CFR travaillent dans la même direction, on peut vraiment changer le monde, plus qu'aucun d'entre vous isolément ne pourrait le faire ou même en rêver. » (p. 104) Quel est le but de cette entité ? Qui décide du Plan qu'elle applique scrupuleusement ? « On peut tout aussi bien imaginer que le CFR est une sorte de bras armé pour les multinationales ou qu'il cherche à prendre le contrôle politique du monde occidental. » (p. 109 & 110) À quoi servent les scénarios que les falsificateurs produisent, dans lesquels l'efficacité est toujours mesurée à l'aune du risque engagé ? « Si tu as pu écrire ce scénario, c'est que tu comprends comment fonctionne le monde. Tu as repéré une injustice et tu as pensé que tu pouvais la corriger. » (p. 111) Et que se passe-t-il quand le risque l'emporte et compromet la sécurité du programme ? « Il suffit de réfléchir cinq minutes pour comprendre qu'une organisation comme le CFR connaît forcément des ratés. Il faut être bigrement niais pour imaginer qu'ils se résolvent tous seuls. » (p. 247) de Reykjavik à Krasnoïarsk en passant par Cordoba, Sliv balance entre enthousiasme et scrupule devant l'ampleur du travail que l'on attend de lui et face au grand mystère qui entoure l'organisation qui l'emploie.

Vous êtes convaincu que l'assassinat de Kennedy dissimule un grand secret ? Ou que personne n'a vraiment marché sur la Lune ? Et si vous aviez raison ? Et si les théories du complot étaient avérées ? En lisant le roman d'Antoine Bello, on se dit qu'être paranoïaque a du bon. « Je défie quiconque est passé par le CFR de pouvoir lire un journal sans chercher aussitôt les symptômes de la falsification. » (p. 274 & 275) Avec le premier tome de sa trilogie, l'auteur met en place un ambitieux polar historico-géopolitique. J'ai un peu tiqué sur le parfois pauvre ou lourd, mais le roman se lit avec avidité. Et la fin des plus frustrantes donne furieusement envie d'attaquer la suite des aventures de Sliv Dartunghuver pour comprendre enfin la finalité du CFR. « Noyez vos lecteurs dans les détails qui leur feront oublier que vous leur cachez l'essentiel. » (p. 196)
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En sortant de l'université avec son diplôme de géographie en poche, Sliv Darthunguver espérait trouver un emploi intéressant, mais la réalité sera au dessus de tous ses espoirs. En effet, son nouvel employeur, ce mystérieux Consortium de Falsification du Réel, lui propose une mission pas banale : réécrire l'histoire et refaire le monde!

Dans ce roman génial, Antoine Bello mêle la fiction et la réalité et nous invite à réfléchir à notre monde et aux forces et enjeux sous-jacents aux informations dont nous, grand public, sommes détenteurs. En effet, si on peut saluer l'imagination fertile de l'auteur, on ne peut s'empêcher de penser que son histoire se rapproche par moments de la réalité de notre monde où les médias subissent une telle influence qu'on peut parfois se demander si l'histoire qu'on nous conte tous les jours aux informations n'est pas passée entre les mains d'un talentueux falsificateur…

C'est une invite à la réflexion donc, mais c'est surtout un roman très agréable à lire et extrêmement prenant que nous offre Antoine Bello ! Les caractères des personnages sont très bien brossés et ceux-ci sont, pour la plus part, très attachants, en particulier notre héros, Sliv Darthunguver, dont nous suivons les découvertes et les aventures comme si nous les vivions nous-mêmes.
L'intrigue quant à elle est captivante ! Comme Sliv, le lecteur n'a de cesse que de chercher quelle pourrait être la finalité du CFR. La fin du roman est décevante, du coup, puisqu'il n'y en a pas… Reste à se jeter sur la suite, « Les éclaireurs » et espérer que nos interrogations seront alors satisfaites…

Je garde un très bon souvenir de lecture des Falsificateurs et j'ai particulièrement apprécié la plume et l'esprit d'Antoine Bello. Comme à son habitude, il joue ici un peu sur le lien entre le fond et la forme et dresse des ponts entre lui et le lecteur. On peut même, je pense, voir le thème du roman comme un clin d'oeil de romancier, car qui crée et recrée l'histoire à sa guise, si ce n'est l'écrivain…
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L'avantage d'avoir une pile à lire un peu conséquente, c'est de pouvoir y dénicher quelques pépites dormantes. J'ai donc retrouvé avec plaisir Les falsificateurs et me suis rappelée tout ce que j'attendais de cette lecture. Je n'ai pas été déçue par ce livre que j'ai trouvé intelligent, inventif et réflexif avec une galerie de personnages correctement présentés et un héros très attachant. Sliv Dartunghuver (c'est lui), jeune diplômé en géographie se présente sur le marché du travail dans son Islande natale. Nous sommes alors au début des années 90 et les opportunités intéressantes ne sont pas légion. Aussi, Sliv n'hésite-t-il pas longtemps lorsqu'un cabinet d'études environnementales s'intéresse à sa candidature et lui propose d'effectuer sa première mission au Groenland. La perspicacité de Sliv est vite repérée par son chef, Gunnar Eriksson, qui lui révèle la véritable activité du cabinet. Il s'agit d'une des nombreuses antennes d'une organisation internationale occulte, le CFR, Consortium de Falsification du Réel. Bien sûr, Sliv tente de connaître les finalités d'une telle organisation mais son interlocuteur lui explique que lui-même n'en sait rien et lui présente un cas concret de falsification du réel, une fausse histoire de migration depuis la Grèce jusqu'au Nebraska. Oubliant les questions embarrassantes, Sliv est d'emblée séduit par la prouesse intellectuelle que constitue ce dossier. Inventer une histoire et la rendre crédible au monde entier en falsifiant les sources va devenir pour lui une addiction, d'autant plus que son talent est très vite reconnu par ses pairs qui lui accordent le Trophée du premier dossier, prix que n'avait pas réussi à obtenir Léna Thorsen, une jeune membre du CFR qui l'a précédé à l'antenne de Reykjavik et qui a la réputation d'être la plus brillante des jeunes recrues. Tout flatte donc l'ego, l'intellect et la curiosité du jeune Sliv qui s'accommode des doutes qu'il nourrit vis-à-vis du CFR en se rappelant que son premier dossier a servi la cause d'un peuple opprimé, les Bochimans, repoussés dans le désert du Kalahari.
En suivant les dossiers du CFR, ceux de Sliv ou de ses collègues, Antoine Bello nous propose la lecture de différents scénarios dans des domaines allant de la géopolitique à la littérature jusqu'aux découvertes majeures de l'Humanité, le tout de manière érudite ou en tout cas très bien documenté. Pour qui aime lire des romans et donc des histoires, c'est déjà en soi fort jubilatoire mais l'auteur ne se contente pas de cela, il montre comment ces scénarios pourraient passer de la fiction au réel (ou en tout cas, être perçus comme tel) pour infléchir, rien de moins que la marche du monde.
En érodant le statut infaillible de la source et notamment de l'écrit, Antoine Bello éveille notre curiosité tout autant que notre vigilance sur l'écriture de l'Histoire. Rappelons-nous que Thucydide en son temps nous y invitait déjà : "Telle est la négligence que l'on apporte en général à rechercher la vérité, à laquelle on préfère les idées toutes faites."

Lien : http://leschroniquesdepetite..
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Voilà le petit roman reçu grâce au Masse Critique de Babelio.
C'est bien sûr le résumé qui m'a attiré : des falsificateurs d'Histoire. Je dirais que malheureusement je ne connaissais pas l'auteur. Et voilà qu'il apparait dans tous les journaux de la maison. Je le connais maintenant beaucoup mieux et je vais suivre ses oeuvres de plus près.
Mais Les Falsificateurs dans tout ça?

Notre héros islandais vient de finir ses études universitaires. Il cherche désormais un travail agréable et si possible intéressant. Il repère une petite annonce pour un cabinet d'études environnementales et se fait embaucher. Mais cette entreprise cache autre chose de bien plus important : le CFR, le Consortium de Falsification du Réel.
Notre ami se prend vite au jeu et découvre lentement les secrets de cette entité. Il va y évoluer et apprendre de nombreuses choses surprenantes.

Très agréable surprise.
Je pensais trouver un quelconque livre de science-fiction et j'ai découvert un roman très riche et bien réel.
La structure du livre est agréable : on suit l'évolution rapide et logique du héros tout en découvrant au fur et à mesure l'univers du CFR.
J'ai été happée dès le début de l'histoire par curiosité mais aussi parce que le style m'a accroché.
Et bien que certains passages apparaissent plus lents que d'autres, ils sont nécessaires afin que le lecteur se repose et prenne le temps de découvrir le CFR. Ces moments de calme apportent aussi la tempête et embarquent le lecteur à bord. J'ai eu des piques de stress en coeur avec notre héros. J'ai voyagé, j'ai râlé et j'ai été blessée avec lui.
L'auteur a même réussi à tromper son monde tel que l'organisation le fait durant tout le roman.
En parlant de l'auteur, j'ai admiré sa culture, ou tout du moins les recherches qu'il a du appliquer pour rédiger ce roman, un vrai petit falsificateur en herbe! Et j'ai désormais hate de lire le deuxième tome.

Mais ce livre apporte aussi de nombreuses réflexions au niveau de la réalité historique. Est-ce que tout est réel? Y-a-t-il des informations fausses que nous prennons pour vraies? Est-il acceptable de laisser faire des falsifications pour le bien être du monde? J'ai adoré la manière dont ils construisent une falsification, j'ai trouvé ça exitant, mais pourrais-je le tolérer si j'étais au courant?
Enfin, j'ai tendance à me dire que ces falsifications du réel existent biens mais surement pour d'autres raisons que celles du CFR ;)

Une belle découverte donc, autant pour le livre que pour l'auteur.
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Imagination, manipulation, falsification, suspense, ce roman est vertigineux ! Sans tomber dans la paranoïa, il nous rappelle la méfiance avec laquelle il est nécessaire d'analyser les informations dont nous sommes bombardées. En imaginant le Consortium de Falsification du Réel, Antoine Bello mêle avec talent la fiction et la réalité, nous enjoint à la réflexion et nous appelle à la vigilance.
La plume de l'auteur est aiguisée, la lecture est fluide, facile même, et on plonge avec délice dans cette histoire incroyable. Les personnages sont attachants et bien présentés.
C'est tout simplement jubilatoire de naviguer ainsi dans une espèce de réalité parallèle, de revivre l'histoire contemporaine d'une façon différente, de tenter de comprendre le pourquoi, le comment et le « à qui profite le crime ? ».
Découvrir ce roman aujourd'hui, et le dévorer pendant la crise du covid-19 est assez déstabilisant ! Mais j'ai comme l'impression qu'il prend tout son sens justement…
J'ai l'impression qu'Antoine Bello me dit : « Réfléchis, ne te laisse pas manipuler, renseigne-toi correctement, multiplie les sources d'informations, échafaude des hypothèses et fais fonctionner ton cerveau… et tout ça sans tomber dans le complotisme stupide et dangereux !
A lire, vraiment !
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Sliv Dartunghuver, un jeune islandais, est embauché à la sortie de ses études de géographie dans un cabinet de conseil spécialisé dans les études environnementales, mais il s'avère que ce n'est qu'une couverture et on lui propose rapidement d'intégrer le CFR, une mystérieuse organisation qui falsifie l'histoire, CFR signifiant Consortium de falsification du réel. Si au départ il le prend un peu comme un jeu passionnant et excitant, des questions éthiques vont se poser au fur et à mesure de ses missions et de sa progression de carrière.

Le moins que l'on puisse dire est que les talents de scénariste d'Antoine Bello n'ont rien à envier à ceux de son héros Sliv Dartunghuver !
L'idée de départ est vraiment excellente et cela se confirme tout au long de ce roman qu'on a du mal à lâcher.
Heureusement il y a une suite !

Je ne mets pas 5 étoiles car le style, bien que plaisant, n'a rien d'exceptionnel, mais au niveau de l'histoire cela les vaudrait je trouve.
Car on ne peut s'empêcher de se poser la question : et si c'était vrai ?







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Le résumé de l'éditeur donne terriblement envie de lire ce livre, on pense un peu au Grand Secret de Barjavel, ou à l'Aiguille Creuse de Leblanc, on imagine un secret qui éclaire l'histoire réelle d'une manière différente, concept génial s'il est bien mené.
C'est très réussi mais ça n'est pas exactement le même principe que les oeuvres que je viens de citer : on nous explique la fabrication d'une "vérité alternative", ce que le CFR, organisation bien entendu secrète et à l'objectif inconnu, réalise dans l'ombre.
J'ai trouvé ce roman passionnant, bien que peut-être un peu touffu et donc à réserver aux lecteurs aguerris. À chaque dossier sur lequel se penche le héros, l'auteur nous donne force détails sur le sujet dont il est alors question. J'approuve car cela rend l'ensemble plus crédible, mais certains pourront être rebutés quand on passe plusieurs pages à expliquer la vie d'une peuplade primitive ou autre.
On sent le plaisir qu'a pris l'auteur à écrire ce roman, et également le travail phénoménal qu'il a dû abattre.
Cette lecture est également bien évidemment l'occasion de s'interroger sur l'information et la vérité, d'autant plus dans le monde actuel bien que le roman date d'avant l'inquiétude généralisée sur le sujet des fake news et leur entrée dans les pratiques de gouvernement de certains dirigeants de pays majeurs.
J'ai commandé la suite du coup ... (Les Éclaireurs et Les Producteurs)
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L'auteur est franco-américain et ça se sent. le rythme est digne d'un polar d'outre-Atlantique mais le fond est bien imprégné de l'intellectualisme de la vieille Europe.
Le titre m'évoquait 1984 de George Orwell pour la partie réécriture de l'Histoire. C'était une des actions de la dictature.
Ici, il s'agit d'une organisation a priori privée qui décide, pour on ne sait quelle(s) raison(s) de modifier et d'inventer des circonstances qu'elles soient historiques ou économiques, par exemple.
Le narrateur est le jeune homme qui se trouve impliqué dans cette organisation et qui cherche à comprendre le but de son activité.
Ce récit est en trois tomes. Les falsificateurs semblent être la mise en situation. Ce roman se lit goulûment tellement il fait preuve de créativité. Les mises en abyme sont nombreuses mais l'auteur ne perd jamais son lecteur.
J'ai hâte de connaître la suite.
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