Le sujet paraît intéressant, il y avait beaucoup de choses à dire dessus.
Mais j'ai trouvé que ça manquait cruellement d'approfondissement, de réflexion, de cohérence... L'auteur semble plus se baser sur ce qu'il pense plutôt que les faits.
Pas évident de terminer la lecture je n'ai vraiment pas accroché et j'ai trouvé certains passages très déplacés.
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quoique vous fassiez soyez performants !
le plaisir est devenu objectif et corrélé à la performance ; ce faisant il a perdu son sens .
le règne de la quantification marque le retour d’une verticalité des rapports : étant tous notés , les hommes peuvent être comparés et classés selon leur valeur .
Dans une société de la notation permanente , la valeur d’une chose dépend de sa note. Corollaire : ce qui ne peut être noté n’a pas de valeur
Ce qu’on ne peut chiffrer est oublié .
la révolution du web participatif s’est accompagné d’une production spectaculaire de contenus en ligne . face à ce volume d’informations qu’aucun cerveau ne peut traiter il a fallu trouver un moyen de synthétiser les données et de faciliter leur traitement . c’est le rôle des étoiles, des avis, like et pouces bleus, devenus des phares pour naviguer dans l’océan numérique
l’autre alors n’est plus une fin en soi , mais un intermédiaire entre soi-même et sa note
dans une société où chacun est évalué par tous les autres , l’autre devient un en ennemi potentiel , un juge sur le qui-vive …d’où l’illusion d’une bienveillance illusoire , fondée sur la peur et non sur la reconnaissance
dans la société de l’évaluation l’enfer n’est pas tant l’autre que soi-même comme un autre ; car la sanction. ultime provient des applications personnelles que chacun utilise .
La nature addictive a poussé les internautes à tout percevoir sur le mode quantitatif .
Désormais tout se note et s’évalue sur l’encodez quantitatif .