Ma première critique sur Babelio sera pour le moins négative et furieusement contrariée.
Sur les 590 pages que compte le livre de Steve Berry, je n'aurai lu que le prologue et le premier chapitre.
Du fait de la sempiternelle comparaison avec ce menteur de
Dan Brown ? Que nenni ! A cause du sujet maintes et maintes fois traité avec plus ou moins de savoir faire ? Non point !
S'il est une chose totalement rédhibitoire pour moi lorsque j'entame la lecture d'un livre, c'est l'insupportable pauvreté du style d'un auteur qui ne sait jamais appeler son héros autrement que par son patronyme. Bon sang de bois, on a très vite compris que le nom du héros c'est Malone, et pourtant Monsieur Berry est un auteur à ce point médiocre qu'il nous le balance pas moins de 30 fois dans un chapitre qui ne fait pas 10 pages. le sommet de la nullité c'est lorsque ce patronyme est cité 2 fois en 2 lignes !
J'ai gardé de mes cours de français l'obligation que nous imposait notre professeur de faire usage de synonymes dans toutes nos compositions. Ce n'est qu'une question de bon sens pour ne pas alourdir inutilement un texte et le minimum syndical afin d'éviter de passer pour un mauvais auteur.
Sur ce point le pauvre
Steve Berry c'est lamentablement vautré. Zéro pointé.