Voici mon retour de lecture sur la bande dessinée La ville qui ne dort jamais, premier tome de la série Créatures.
New York, dans un futur proche mais apocalyptique..
Le chaos règne et la brume fait apparaître des créatures terrifiantes.
Les adultes sont sous l'influence d'une entité monstrueuse et les enfants doivent s'organiser pour survivre.
Comment le monde en est-il arrivé là ?
Que sont ces créatures ? Que veulent-elles ?
Peut-on vaincre ces monstruosités ?
La ville qui ne dort jamais est une bande dessinée jeunesse à partir de 11 / 12 ans se déroulant dans un futur apocalyptique.
Suite à une catastrophe, les adultes sont influencés par une drôle de créatures ; alors les enfants doivent apprendre à se débrouiller, bien s'organiser, pour survivre.
Simple, mais efficace.
Cette bd peut faire penser à Seuls (excellente série que j'adore), où là aussi les enfants doivent s'organiser mais la différence est qu'ici, les adultes sont présents. Qui plus est sous l'influence d'un truc étrange..
Si vous aimez ce genre de série, vous apprécierez celle ci :)
L'histoire m'a captivée, ce qui n'est pas toujours évident quand une série débute.
Mais ici, pas de longueurs, nous entrons directement dans le vif du sujet et c'est ce qui m'a plu :)
La fin donne vraiment envie de lire la suite.
J'ai apprécié les illustrations et la colorisation colle parfaitement à l'ensemble.
La vie qui ne dort jamais est une bonne bande dessinée, que j'ai apprécié et note quatre étoiles :)
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N'ayant pas réussi à l'ouvrir sur le Chromebook, j'ai dû la lire sur l'ordi en format epub et ce n'est pas pratique du tout ! Il faut choisir entre lire les bulles et admirer les dessins sans pouvoir saisir tout ce qu'ils recèlent !
Je n'ai donc pas réussi à tout lire ou tout voir, difficile de jouer du “plus” et du “moins”, ça crispe un peu. J'ai malgré tout eu une bonne sensation au fil des pages, accrochée par ces ados si différents les uns des autres et déterminés à survivre à ce monde apocalyptique et aux créatures qui semblent surgir de nulle part !
J'ai beaucoup aimé les couleurs toutes en nuances glauques, de celles que j'imagine fin du monde qui habillent les choses et les êtres de contours flous.
J'espère pouvoir l'emprunter à la médiathèque, le papier il n'y a rien de mieux pour les BD et ça me semble être une série de bonne qualité !
#Créatures #NetGalleyFrance
Challenge RIQUIQUI 2021
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Cet album ouvre une nouvelle série et franchement, je ne m'attendais pas à être autant à être prise par l'intrigue. D'habitude, les tomes d'introduction sont sympa, alléchant, mais il manque toujours un petit quelque chose à l'intrigue.
Ici pas de problème. On entre directement dans le vif du sujet, en suivant quelques gamins perdus dans un New York post-apocalyptique, cité détruite suite à la grande nuit. Ce qu'est la grande nuit, aucune idée, mais ce n'est pas grave, on finira bien par avoir la réponse
Parce qu'ici, pas de blabla, pas d'explication de la situation, on comprend ce qui se passe au fur et à mesure que l'histoire avance. du coup, même si pas mal de questions restent en suspens, l'intrigue ne souffre d'aucune longueur et distille ses infos au fur et à mesures que les personnages en ont besoin. C'est prenant, haletant, bien fichu et çà se termine sur un cliffhanger qui donne vraiment envie de lire la suite.
Ajouté à cela des dessins à la fois tout en rondeur pour créer des personnages attachants et pleins de détail pour nous offrir des arrières plans et des paysages de toute beauté.
Bref, une nouvelle série BD dont j'attends la suite avec impatience (oui, je sais, je l'ai déjà dit). A suivre donc !
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Une très bonne surprise que cette BD jeunesse (enfin pas trop quand même... ce sera difficile d'en saisir toute la substantifique moelle avant 12 ans), mais tout à fait correcte pour les adultes aussi.
Alors que tous les adultes ou presque sont devenus des espèces de zombies contrôlés par une créature lovecraftienne, les enfants semblent échapper à cette malédiction et doivent se battre pour survivre, et entre autres manger (je me demande si la scène du caddie avec les boîtes de conserve de pêches au sirop n'est pas également un clin d'oeil à La route de Cormac Mac Carthy, que j'ai lu il y a peu).
Les dessins sont vraiment chouettes, fluides – y compris dans les scènes d'action pourtant pas évidentes à réussir dans les acrobaties entre les ascenseurs, les étages et les immeubles lépreux –, les représentations d'une New York post apo tout à fait convaincantes sans être trop sombres non plus, et le tout est nourri par un scénario qui paraît pour le moment plutôt solide (même si ce sera à vérifier avec les tomes suivants) et servi par des personnages vraiment bien pensés, ni manichéens ni caricaturaux, comme on le voit un peu trop souvent dans les ouvrages jeunesse.
Bref, ça démarre très bien, pourvu que ça dure !
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Je n'ai pas de temps pour cultiver, j'ai à peine le temps de me cultiver !
Les Créatures sont partout. Elles quadrillent la ville et nous traquent. Elles finiront par trouver notre cachette et on vrillera nous aussi. Ce n'est qu'une question de temps. Les autres me prennent pour un fou. Et pourtant, j'en suis sûr, seul lui est capable de nous sauver !
- C'est pourtant vrai que t'es un garçon manqué !
- Je ne suis pas un garçon manqué, je suis une fille qui n'a peur de rien, c'est tout !
Tu sais aussi que la connaissance n’a pas de prix, qu’elle ouvre toutes les portes et qu’elle peut sauver des vies.
L'extrait qui m'a le plus plu est celui de la dernière page (page:72) car les mots écrits sont "cette fois Yog-Sothoth ne fera pas d'exception. C'est peut être un indice pour le tome 2 : peut être un ennemi commun?.
Bruno