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Mardaas tome 1 sur 2
EAN : 9782900904008
554 pages
Michael Bielli (09/06/2018)
3.9/5   34 notes
Résumé :
Une ombre s'étend sur le Continent de Daegoria.

Les puissants Immortels sont de retour après avoir été enfermés durant deux siècles dans une prison souterraine. Bien décidés à régner de nouveau sur les quatre Terres à l’aide de leurs pouvoirs divins, l’un d’entre eux va pourtant les trahir.

« Il était l'Ennemi du Royaume, aujourd'hui il va devenir son allié »
Motivé par un secret enterré dans le passé, il va devoir faire ses preu... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (21) Voir plus Ajouter une critique
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La stratégie commerciale autour de Mardaas était audacieuse : que ce soit les videos Youtube, Instagram, Twitch. Je craignais que le livre soit décevant comparé à tout "l'autour" du livre qui avait mis la barre très haut. Résultat ? le livre arrive même à surpasser complètement cette barre !

A première vu, l'histoire pouvait paraitre banale, ancrée dans les codes habituelles de la fantasy. Mais on se rend très vite compte, dès le début du livre, que Michael Bielli à très vite éclipsé - surtout avec le personnage de Mardaas, la dichotomie habituelle et lassante du gentil contre le méchant.
Ce tome 1 de Mardaas s'émancipe des codes habituelles de la fantasy autant qu'il en récupère pour les dépoussiérer.

En y réfléchissant bien, je crois bien que Mardaas est l'un des seuls romans où je ne me suis pas ennuyé un seul instant. J'ai été captivé du début à la fin et je ne pouvaiis qu'être heureux en le rouvrant et reprenant sa lecture. Et pourtant, je suis facile à lasser !

J'ai vu que ce point était assez récurant dans les commentaires : les fautes. Personnellement, cela ne pas du tout dérangé. Alors, on ne peut pas nier qu'à de RARES endroits il y a des mots manquant. Mais ces oublies minimes n'entravent pas du tout la lecture.

Pour ce qui est des personnages et de l'histoire, ils sont tout bonnement FANTASTIQUE ! le charisme de Mardaas, la générosité et la bienveillance de Kerana, l'humour de Grinwok, tous émanent du livre avec peu d'équivalent dans les nombreux livres que j'ai pu lire. Si je devais juste nuancer légèrement mes propos, je mettrai un bémol sur le personnage de Draegan qui a énormément de potentiel mais qui est souvent éclipsé par l'aura de ces trois personnages. Mais, là encore, c'est simplement mon impression et les choix artistiques de l'auteur qui peuvent totalement ce comprendre.

Enfin, parlons de la fin ! (Sans spoil évidemment). Je pense que, comme les principaux protagonistes, je n'ai pas tout de suite compris ce qu'il m'arrivait... Ce retournement de situation m'a blessé autant qu'eux. Je me sens tout autant trahi ! Mais, bon sang, quel fin magistrale ! Merci, Michael, d'être resté dans ta logique d'émancipation des codes de la fantasy, permettant d'avoir une fin aussi surprenante !
Une "fin", que dis-je ? Ce n'est que le début ! Je ne peux pas m'empêcher de vouloir lire la suite !

Bilan :
Points positifs :
- des personnages passionnants et mémorables.
- Un univers large qu'on ne cesse d'explorer.
- Une intrigue originale pleine de rebondissements
- Des affrontements épiques. (je n'ai pu mettre "bataille épiques", je reviendrais dessus juste après)
- Un plume simple à lire, sans prise de tête et pourtant très juste et précise.

Points négatifs :
- Deux à trois personnages pas assez développés mais je pense qu'il le seront dès le prochain livre... Pour ceux qui y seront... (Draegan, Polly, Serqa, l'Ordre des puissants)
- Quelques petites ommissions de mots.
- La Grande bataille du livre (ATTENTION SPOILER :

Note : 19/20
Je crois que je n'ai donné que 3 fois de notes aussi hautes pour un livre. Mardaas sera donc le quatrième ! Je tiendrai à préciser que j'aurais pu donner encore une bonne dizaine de points positifs, en revanche, les points négatifs j'ai vraiment dû me creuser la tête pour essayer d'en trouver ! Et les trois seuls points négatifs sont vraiment minimes. En soit Mardaas est un véritable succès à mes yeux et ne peut que démontrer le talent d'auteur et de créateur de Michael Bielli.

J'applaudis, bravo !

Je ne peux que recommander ce livre ! Les fans de fantasy, comme moi, vont adorer. Les autres ne pourront qu'aimer la fantasy après.
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De la Dark fantasy auto-édité bien comme on l'aime, originale, surprenante, construite et passionnante. Les prémices d'une saga qui va crescendo autant dans la plume de l'auteur que dans la narration ! le début est très différent de la fin, lisez bien la critique EN ENTIER, pour vraiment comprendre ce livre !

Mardaas est un très bon livre, vraiment bien approprié pour la catégorie young-adult et pour les mordus du « seigneur des anneaux » et de « game of thrones ». le tout début ne m'a pas trop accrochée car ce n'est pas forcément mon type de lecture habituelle, les personnages m'ont paru trop sombres, cruels, violents et vulgaires, en fait un peu trop « dark » pour moi qui n'ai pas l'habitude de ce style. Puis en continuant les fausses impressions tombent et l'histoire m'a emballée au point qu'il était difficile de le lâcher pour éteindre la lumière. La profondeur de certains personnages m'a enchantée et j'ai surtout apprécié la facilité que donne le texte pour visualiser l'action et le décor.

J'attend le prochain tome avec impatience car il promet une histoire qui va en s'approfondissant après une fin qui nous laisse TOUS bouche bée et l'esprit rempli de question, de haine, d'espoirs. (Avec une forte envie de harceler Micheal Bielli pour obtenir des réponses)

Mardaas possède un univers bien à lui, très immersif, à la fois typique de la fantasy et à la fois unique en remaniant les légendes et races mythiques pour coller parfaitement à l'histoire. Les personnages sont l'un des gros points forts de ce livre. Chacun à une personnalité bien profonde et complexe, comme réelle. Ils ne sont pas préservés de la mort, de la douleur et de l'injustice. Aucun d'eux n'est stéréotypé car personne n'est tout blanc et surtout personne n'est tout noir. On découvre peu à peu que les pires personnages ont toujours de lourds et douloureux secrets à cacher, cela ne les absout pas de leurs fautes mais explique certaines choses. En somme, les monstres ne naissent pas ainsi, ils le deviennent.
L'histoire en elle même apporte son lot de combats, d'épées et d'actions épiques tout en nuançant les actes de bravoure pour casser le mythe du héros parfait, sans peur et sans reproches. le scénario joue très peu sur le suspense, malheureusement, mais possède des retournements de situation formidables qui donnent suite à des scènes haletantes qui font frémir le lecteur, lui coupe le souffle, le font s'énerver (j'ai eu envie d'assassiner l'un des méchants des fois) et souvent rire. le passé se dévoile peu à peu en même temps que le présent, à notre grande délectation. le pari que je fais sur un roman est fondé sur les émotions que celui-ci me transmet : ici cela est plutôt bien réussi.
À propos du style de l'auteur, la plume est assez concise pour laisser plus de place aux actions qu'aux descriptions. Ces dernières sont très claires, avec des éléments forts qui laissent un beaucoup de place à l'imagination de son propre monde. Les scènes sont très faciles à visualiser, plus que dans n'importe quel autre livre, et donnent l'impression d'être plongé dans un film ou une série.
Les actions sont souvent très vivantes et collent toujours très bien avec le scénario. Les dialogues sont un autre point fort de la saga parce qu'ils donnent réellement vie aux personnages avec des répliques tantôt profondes, tantôt amusantes; ils sont un réel miroir des personnalités. Finalement, dans sa globalité, ce style est différent de ce qu'on peut lire habituellement mais pas désagréable du tout. Il est fluide et aide le livre à bien se lire malgré sa belle taille, ainsi il est accessible à la majorité des lecteurs quelque soit leur niveau.

C'est sur Instagram que j'ai découvert l'auteur Micheal Bielli. Ce qui m'a d'abord attirée était cet univers en plein dans la fantasy, ce qui m'a fait rester c'est la passion de l'auteur, sa gentillesse, son humour débordant et tout le travail qu'il fournit au quotidien pour écrire sa saga. Petit à petit j'ai découvert l'auto-édition, la grande liberté qu'elle offre à l'auteur face aux exigences des maisons d'édition classique mais aussi le poids de toute la gestion qui repose sur les épaules de l'auteur et toutes les contraintes qui y sont liées. Et surtout le manque de communication qu'il y a autour de ces livres qui pourtant auraient largement leur place sur les étagères des librairies.

En bref, tentez l'expérience !
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Après avoir découvert son compte Instagram, regardé nombre de ses vidéos (plutôt drôles) sur YouTube et inspecté ses romans, j'ai SU qu'il fallait que je les lise. J'ai donc commandé les deux premiers tomes de sa saga Fantasy et j'ai attendu la fin de mon stage pour me lancer dans cette lecture que je savais conséquente mais passionnante. Maintenant que mon stage est terminé et que j'ai pu lire ces premiers tomes, je vous en présente mon humble chronique, en espérant que ça vous donne envie de découvrir plus de fantasy francophone (parce que nos auteurs ont du talent !) et surtout, SURTOUT, la saga Mardaas. Prêt pour un bond dans le temps, qui va être assez long parce que je parle de deux tomes de plus de 500 pages ? C'est parti !
« Les nuages de poussière les étouffaient. » [Mardaas – Tome 1]
Pour cette chronique, j'ai décidé de revenir à mon ancienne formule en vous faisant découvrir la première et dernière ligne de chaque roman. C'est valable juste pour cette fois-ci, c'est aussi pour habiller un peu mon avis parce qu'il risque d'être assez long. En même temps, nous parlons ici d'un roman de 555 pages, un sacré « cale-porte », comme on les appelle dans le jargon littéraire (même s'il serait hérésie de s'en servir réellement de cale-porte, évidemment. Et ma porte n'a pas besoin qu'on la cale, de toute façon). BREF. Reprenons. L'action commence dès les premières pages, permettant au lecteur d'être immergé dans l'univers et l'intrigue « in medias res ». On découvre le personnage de Kerana, une jeune voyageuse (pour ne pas spoiler) visiblement recherchée qui termine sa soirée dans une auberge, avant de proposer son aide à un habitant dont le frère a été vraisemblablement empoisonné. Disons que son intervention se passe assez mal et elle finit par être secourue par un Immortel de légende : le Seigneur Mardaas. A partir de là, il devient difficile de ne pas vous spoiler l'intrigue de la saga, mais je vais essayer.
Dire que Mardaas, tome 1, est une bonne introduction à un univers complexe, serait diminuer l'impact qu'a eu ce roman sur moi. Au-delà d'une histoire construite, intrigante, avec des personnages forts, intéressants et aux psychologies définies, Mardaas a surtout été une incroyable découverte et un grand moment de fun (de façon assez ironique, parce qu'il n'y a vraiment pas que du fun dans cette histoire, il y aussi des passages morbides qui pourraient faire vomir si c'était une série). Un grand moment de French Fantasy, donc. Je sais que j'adore le fantasy médiéval. Et je sais que j'adore les personnages bien construit. Et Mardaas m'a donné tout ça et PLUS ! Kerana est un personnage assez intéressant, surtout dans son évolution. Au début, je la trouvais un petit peu énervante, incapable de se défendre (elle n'aurait clairement pas pu survivre seule si elle s'était retrouvée en mauvaise posture), s'enthousiasmant pour un rien, extrêmement émotive… Et puis en fait, à un moment, je me suis rendue compte que si ça m'énervait autant, c'est parce que je suis comme ça et j'ai appris à aimer le personnage (même si la sensation de cette claque hante encore mes nuits). Mardaas est un personnage plus compliqué mais il a une aura très attachante (sans que ça le rende mignon ou autre hein, mais on l'aime bien).
Il y a, bien sûr, d'autres personnages (trop pour tous les citer), mais je me suis surtout attachée à ces deux-là, allez savoir pourquoi (mon côté « fleur bleue de bad boy » visiblement ?). Je ne sais pas exactement quoi penser de la fin du premier tome, qui m'a mis la tête à l'envers et qui m'a rendue incapable de dormir pendant deux jours (avant que je ne commence la lecture du second tome quoi, histoire d'avoir des réponses). La fin est assez surprenante et rend le personnage de Mardaas plus sombre, manipulateur mais aussi intriguant. Je ne suis pas certaine de tout comprendre sur ses motivations et son réel but, mais franchement, son personnage est vraiment génial. Je ne sais pas si je dois être de son côté ou non. Dans ce roman, il n'y a pas de « vilain » ni de « gentil » défini comme tel. Il y a les naïfs, les manipulateurs, les sages, les puissants brefs, il y a des personnages qui prennent des bons et des mauvais choix. Et avec cette fin, je suis encore incapable de savoir si Mardaas a pris le bon ou le mauvais choix et ce qu'il a réellement en tête. Par contre, je suis dévastée pour Kerana et je n'ose imaginer sa détresse. Je ne sais pas si les deux personnages se reverront dans la suite, mais je pense que la jeune femme va devoir s'étoffer un peu si elle veut survivre dans ce monde.
« le retour des Immortels » [Mardaas – Tome 1]
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Généralement, lorsqu'une histoire continue de vous trotter en tête, même une fois le marque-page glissé à l'intérieur du roman, c'est plutôt bon signe. Et c'est ce qu'il s'est passé, lors de ma lecture des deux premiers tomes de la saga de Michael Bielli : Mardaas.

Mardaas, ce n'est pas l'histoire d'un héros ordinaire, ce n'est pas non plus celle du "gentil, qui affronte les vilaines forces du mal" (n'y voyez aucune critique en sous-texte, c'est aussi, globalement, ce que j'écris !). Mardaas, c'est plutôt le mélange, subtilement réussi, du protagoniste et de l'antagoniste, qui ne forment plus qu'un, en un Seigneur de Feu aussi badass que redoutable.

Si l'humour de l'auteur m'avait déjà convaincue, celui de ses personnages ne m'a pas déçue et c'est dans un univers riche, mais distillé au lecteur avec finesse, à l'intrigue bien ficelée, aux réparties aux petits oignons et aux personnages aussi attachants que terrifiants, pour certains, que j'ai eu le plaisir d'évoluer, pendant plusieurs heures.

Entre plusieurs lignes de dialogue percutantes (j'ai encore le souvenir de certaines, c'est dire à quel point j'en ai apprécié la composition), je me suis surprise à éprouver de l'empathie pour l'Immortel, en regard de son vécu, et à m'attacher à lui. Mais, Mardaas n'a pas de grand méchant que le nom et, dès que je m'imaginais un peu trop lui proposer une partie endiablée du jeu du caillou, je devais essuyer un retour de flammes assez violent, bim, directement dans les gencives. Parce que les anti-héros qui n'ont, pour seul forfait, que la réputation de tirer de temps en temps la queue d'un chat en passant, ce n'est pas honnête, c'est décevant, et ça rend chafouin à la fin du livre. En cela, l'auteur tient ses promesses et on finit par détester adorer son protagoniste même si, dans le fond, on sait qu'on ne peut pas s'en empêcher.


En plus d'avoir réussi le pari de construire un univers, une intrigue et des personnages vraiment bien ficelés et attachants, en plus d'être originaux, pour moi, le véritable coup de maître de Michael Bielli réside donc dans son "anti-héros" principal : Mardaas. S'identifier à lui ou, tout du moins, l'apprécier malgré ses actes, était déjà une mission difficile, et cela aurait pu tout à fait s'arrêter là pour avoir un bon livre. Mais le personnage continue de nous surprendre et, chaque fois que l'on pense commencer à comprendre ses réelles motivations et leurs causes, notre sens moral rentre en confrontation avec celui, un peu plus douteux, de l'Immortel... pour se finir en bagarre, dans notre petit coeur carbonisé, qui ne sait plus s'il doit crier au coup de génie, ou à la révolte.


Si je me suis concentrée sur le personnage principal dans cette brève chronique, il y aurait encore beaucoup de choses positives à dire toutefois, concernant ces deux premiers tomes. Mais, sur ces points, je vous laisserai vous faire votre propre opinion (mon avis ne devant pas trop tirer sur la longueur, pour rester digeste) car, après une lecture aussi surprenante qu'agréable, je ne peux que chaudement vous recommander cette saga (et son auteur, sur Youtube et Instagram, si vous êtes sensible à son humour) !
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Globalement, j'ai beaucoup apprécié ma lecture, et c'est avec plaisir que je lirai le tome 2 et le tome 3 qui doit sortir en 2024, donc vraiment je suis dans les temps. C'est un univers très travaillé, avec une véritable histoire. Oui, Mardaas peut faire penser à Gérald de Riv avec son caractère froid et distant, mais en vérité, il a bien une personnalité distincte, profonde, qui même dans le tome 1 reste bien cachée. le seigneur noir est difficile à cerner. Pour les autres personnages, Kerana est l'une des rares personnages féminins que je supporte et ceux qui me connaissent savent à quel point c'est compliqué pour moi d'accrocher à un personnage féminin que je trouve souvent mal écrit, soit trop fade, soit trop "je sais tout", "je connais tout". Ici, hormis un passage que je ne citerai pas pour ne pas spoiler le livre, Kerana m'a paru cohérente ! C'est tellement rare qu'il faut le souligner ! Grinwok, c'est un personnage décrit comme repoussant. L'auteur fait tout pour qu'on le trouve repoussant, puis petit à petit, il nous montre sa véritable personnalité, pas celle qu'on rencontre au premier abord. Et il s'avère que c'est un personnage touchant ! Concernant les personnages secondaires, j'ai beaucoup aimé Draegan, Maleuis, et Aralion. En revanche, j'ai eu beaucoup de mal avec Madel, qui incarne le type de personnage féminin que je n'apprécie pas. Il y en a pour tous les goûts ! L'auteur a vraiment créé toute une palette de personnages, donc vous trouverez au moins un ou deux personnages qui vous plairont. le roman fait environ 600 pages, et parfois certaines scènes m'ont paru longues, là où d'autres m'ont semblé trop courtes, surtout une vers la fin. L'une des visions est assez longue et l'autre très courte. Donc, vous aurez compris, j'ai aimé ma lecture.

Ma notation : 4.5/5
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Alors qu’il cherchait d’autres personnes à secourir, il l’aperçut devant lui à quelques mètres, immobile, lui faisant face au milieu d’une forêt de flammes. Mardaas était planté au milieu comme un pilier, alors que tout autour de lui, les Iaj’ags détalaient pour se mettre à l’abri. Il fixait le prince avec un regard puissant. Un regard qui se voulait être un message. Il n’eut pas besoin de paroles, car ses iris flamboyants parlaient pour lui. Draegan avait compris cet avertissement que le Seigneur de Feu venait de lui lancer.

N’oublie pas qui je suis.
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