Eu égard à cette vision de l’être humain idéal, qui possède des liens très étroits avec son propre vécu, on n’est pas étonné de retrouver le même concept de bisexualité à la base de son projet d’œuvre de vie, dans lequel l’artiste transforme sa vie réelle en une sorte d’artefact esthétique en s’appropriant le masque de l’androgyne.