Les coureurs de l'heure présente n'ont plus d'arrière-pays. Vous chercheriez en vain dans leur moustache un relent de gros rouge.
Ils ne sont pas dopés, ils sont dupés.
S'il faut de tout pour faire un monde, il faut du monde pour faire un Tour.
Car le Tour de France est avant tout une course cycliste. On l'ignore trop.
Vous apprenez à mettre des noms sur des visages, et ce sont des suiveurs... des visages sur des numéros de dossards, et ce sont des coureurs...
Le Tour de France est une épreuve de surface qui plonge ses racines dans les grandes profondeurs.