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Sun-Ken Rock - Edition deluxe tome 5 sur 13
EAN : 9782818967454
400 pages
Bamboo Edition (27/11/2019)
3.81/5   8 notes
Résumé :
Rejoignez la Sun-Ken Rock Team dans sa spectaculaire guerre des gangs ! Bastons, jolies filles, costards de marque... Un graphisme magistral au profit d'un récit explosif qui aura marqué l'histoire du manga d'action !
Chaque livre de l'édition deluxe regroupe deux volumes de l'édition normale, dans un format plus grand, incluant de nombreux bonus (pages couleur inédites, recherches graphiques, interview de l'auteur...).
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Première partie :

Ken se voit offrir deux voitures neuves par sa bande mais comme à son habitude, il dédaigne les signes extérieurs de richesse. Mais Benito, le mafioso italien recruté dans le tome précédent, lui sert de chauffeur et l'emmène jusqu'à Dogok, le quartier de Gangnam, l'arrondissement le plus riche de Seoul. Ken, mal coiffé comme il l'est toujours au saut du lit, quitte la voiture pour faire son jogging quotidien. Il croise une bande de jeunes criques qui agressent une jolie fille Ken s'en mêle et défend la jeune femme qui n'est autre qu'une star populaire de la chanson, Sun. La manageuse de Sun pense que Ken est un pauvre sans emploi et lui propose de de -venir le Road Manager de la chanteuse. Ken, tout heureux d'enfin trouver un travail honnête, accepte naïvement le poste et démissionne de son rôle de boss du gang des Gundales. Il ignore que sont gang est devenu le propriétaire de la société de production de la chanteuse et agit comme un larbin dans la société où il est le patron. Après avoir fait ses preuves auprès de la chanteuse, le label qui ignore aussi que Ken est le chef du gang propriétaire de la société de production, l'engage comme Road Manager d'un groupe d'idoles en création. Il doit alors travailler de concert avec un salaud de producteur qui profite de son statut pour abuser des jeunes femmes qui rêvent de devenir star…

Deuxième partie :

Ken assume sa nouvelle fonction. Après le casting, quatre jeunes femmes sont retenue pour devenir le Girls Bande. Mais Ken sait que ses deux supérieurs sont des salauds qui profitent de la faiblesse des jeunes femmes et se donne pour objectif de les protéger des deux pervers. Ces deux individus sont Yang Tae-San, surnommé Midas dans le milieu du show-business et qui est réputé pour abuser des starlettes. L'autre est le tout puissant Kim Ga-In allias KG, directeur de la société de production KG Family, qui vient d'absorber la société BST Entertainment, qui produisait Sun. Les deux hommes se heurtent à la probité de Ken qui les empêchent d'abuser des jeunes femmes. Les deux autres le détestent et décident, pensant qu'ils sont le chef de notre héros, de lui en faire baver. Ils ne savent pas qui est réellement le jeune homme qui tente coûte que coûte de rester intègre…

Cinquième livre de l'édition de luxe du manga déjà culte de Boichi : Sun-Ken Rock, l'histoire d'un brave gars japonais qui quitte le Japon pour la Corée du Sud par amour. J'ai toujours rêvé de lire ce manga, grand fan de Boichi. Je rêvais de le voir édité en versions numériques mais le hasard à fait que j'ai reçu le premier numéro de l'édition de luxe lors d'une opération Masse Critique. Ce cinquième album jouit de la même qualité de fabrication que ses prédécesseurs. Il a de magnifiques couvertures soldes et cartonnées, la qualité de l'impression est extraordinaire et se livres ne pâliraient pas d'être rangés dans une belle bibliothèque. le livre bénéficie de nombreux bonus, quelques croqiuiqss inédits et de quelques pages couleurs.

Le contenu : nous avons affaire à un Boichi au mieux de sa forme le graphisme est à couper le souffle. L'auteur défait que pratiquement chaque planche est une oeuvre d'art. Mais Boichi est sans limite, autant dans le bon goût que le mauvais goût. le thème est l'histoire ‘un gars tellement amoureux qu'il a quitté le Japon pour la Corée du Sud pour retrouver son amour pour la belle Yumin, devenue policière en Corée. Elle fait partie d'une brigade qui est en charge de lutter conte les Jo Pok, les mafiosos coréen. Elle est fille d'un grand chef Yakuza au Japon et c'est cet homme qui est responsable de la disparition de la famille de Ken. Ken est devenu malgré lui chef s'un gang qui maintenant prospère en Corée mais le jeune homme veut toujours agir de façon probe. Cette fois, il pense avoir décroché un travail honnête au sein d'une maison de production de stars de la chanson. Il ignore, toujours bonne pâte, que c'est son gang dont il est le boss qui vient d'acquérir le label. Il se plie aux règles et découvre un milieu du show-business qui est un véritable bol de requin. Nous sommes dans l'actualité de l'affaire Weinsten, avec des managers sans scrupule qui violent et abusent des jeunes femmes qui rêvent de faire carrière. Ils agissent comme s'il étaient au-dessus des lois. Face à leurs comportements machistes, le sang de Ken ne fait qu'un tour. Malheureusement pour lui, son honnêteté joue aussi contre lui car les filles dont il a la charge ne résistent pas à son charme et font tout pour le séduire. Il se retrouve aussi un peu victime de harcèlement de la part des jeunes femmes. Seul son amour pour Yumin lui permet de résister à la tentation. Et là, Boichi, qui croque les jolies femmes aux formes sans pareils, se lâche et en profite pour sortir du sion de l'intriqgue pour nous livrer des pages à l'érotisme exacerbé. Ces pages n'apportent pas grand-chose au récit mais, on sent que l'auteur prend plaisir à la provocation et se permet ainsi de lutter contre la censure dont il a été victime dans son pays d'origine en Corée. Ca risque de déranger certains lecteurs, voir de les choquer. Je ne vais pas me faire poussant que le pape, j'avoue que j'aime l'érotisme et que je ne suis pas spécialement dérangé par ce déballage de chair fraîche, surtout devant le talent de l'auteur à illustrer le charme féminin. Boichi, pour ces deux épisodes a atténué la violence des précédents. Nous sommes dans un tournant de l'histoire. L'humour, même s'il est parfois potache, est toujours présent. le scénario est tout de même prenant car on sait d'avance que le but ultime de Ken est de devenir l'amoureux de Yumin, même si dans cet opus, ça semble plus ou moins mal barré. Nous savons aussi qu'il rêve un jour de venger sa famille en affrontant le plus gros et puissant yakuza de la planète, le père de Yumin. Boichi joue aussi avec les inégalités sociales, la politique en comparant les gouvernements qui ont finalement un mode de fonctionnement proche de ceux des gangs mafiosos. Je suis toujours emballé par cette série culte et bonne nouvelle pour moi, elle vient enfin de commencer à être publiée en version numérique. Poursuivrai-je la version de luxe ? Je l'ignore mais en même temps, dans ma bibliothèque, j'ai envie de collectionner les tomes superbement édités.

Personnage :

Kitano Ken : jeune homme japonais qui quitte le Japon par amour pour Yumin, une jeune femme repartie en Corée pour devenir policière.

Yumin : jeune fille coréenne dont le héros est amoureux.

Gang « les Gundales »

Park Tae-Soo : chef du gang les Gundales.

Chang Do-Heun : combattant de rue.

Ban Phuong : spécialiste en art martial, d'origine vietnamienne.

Kae-Lyn : jeune femme blonde, habile au couteau qui était une acolyte des moines pendant l'entraînement sur le mont Ji-Ri. Elle vient de rejoindre le gang de Ken.

Miss Yoo : prostituée que protège Ken.

Procureur Gan : home de loi. Patron de Yumin. Il a l'ambition e dissoudre tous les gangs de Jo Pok.

Benito Armani : membre d'une famille mafioso italienne. Il travaille pour Lecomte du parrain Don Perini, de son vrai nom Don Prego. Il est obsédé par le sexe, se vante d'être monté comme un âne et se surnomme lui-même l'étalon italien. Mais d'après les femmes, il tire pus vite que son ombre. Il est chargé de recevoir la délégation du gang de Ken.

Don Prego, de son vrai nom Don Perini : c'est un parrain de la mafia italienne. Il connaissait le père de

Jo Pok : nom des Yakuzas coréens.

Sun : super star de la chanson coréenne. BST Entertainment est sa société de production, société qui vient ‘être englobée dans les activités des Gundales, le gang dont Ken est le boss. Elle a visiblement beaucoup de talents et en plus, c'est une très jolie et grande femme. C'est une des plus grandes stars du moment en Corée.

Moon Ji-Aie : coordinatrice et manageuse de Sun.

Man-Won Kinato : Manager en chef de la jolie chanteuse Sun.

Yang Tae-San, surnommé dans le show-business Midas : c''est un manager célèbre dans le milieu de la variété. Mais c'est avant tout un gros pervers qui profite de son statut pour abuser des jeunes femmes qui rêvent de faire carrière dans la variété et de devenir célèbres. Il va devenir le manger supérieur de Ken.

Kim Ga-In allias KG : à vingt-six ans, il est le directeur de l'agence de production KG Family, qui vient d'absorber l'agence BST Entrertainment. Il collectionne les Ferrari et aime aussi abuser des jeunes femmes qui rêvent de devenir célèbres. Il ignore que c'est le gang de Ken qui vient d'investir dans le capital de sa société de production.

Kae-Ly Kim : elle vient de passer avec succès le casting pour intégrer un groupe d'idoles qui devrait rapporter beaucoup d'argent à la société KG Family. C'est la soeur jumelle de Kae-Lyn, la jeune femme amoureuse de Ken qui a intégré la bande des Gundales après leur entraînement sur le mont Ji-Ri.

Jang Ah-Jung : elle a réussi le casting pour devenir membre du nouveau projet de girls bande de la société KG Family. Elle est la fille d'un homme politique coréen, le député Jang Yun-Chang, qui est le chef du parti patriote.

Mihiro Sakuragi : elle serait japonaise. Elle est recrutée dans le cadre le la fondation du nouveau groupe d'idole. Son vrai talent, elle possède une forte poitrine.

Na Yun-Jeong : elle vient de rentrer des États-Unis d'Amérique et a réussi le casting de l'agence KG plus parce qu'elle est canon que pour son talent. Elle vivait pratiquement dans la misère avant le recrutement.





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Après le chouette Pinocchio cyberpunk dénommé "Origin" je voulais de frotter avec "Sun-Ken Rock" au Boichi des origines, donc c'était le destin qui voulait que je rencontre l'édition deluxe du premier manga japonais de l'auteur coréen. L'édition en surformat cartonné qui regroupe 2 tomes par opus est très classe avec son noir mat et ses illustration badass, des bonus surtout techniques et des mots de l'auteur souvent plein d'émotion… Allez c'est (re)parti !!! ^^

Tome 9 : nous sommes dans un arc consacré à la K-Pop, et le sexe l'emporte quand même un peu trop sur le reste ^^
https://www.babelio.com/livres/Boichi-Sun-Ken-Rock-tome-9/502667/critiques/2084714

Tome 10 : nous sommes encore dans un arc consacré à la K-Pop, et le sexe l'emporte quand même un peu trop sur le reste ^^
https://www.babelio.com/livres/Boichi-Sun-Ken-Rock-Tome-10/502692/critiques/2085393
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Je préfère le préciser d'emblée, mais ma politesse légendaire risque d'être mise à mal dans cet article, car je me vois difficilement parler de la teneur de ce volume sans user d'un champ lexical un peu fleuri en lien avec la sexualité. de ce fait, il vaudrait mieux éloigner les enfants et les esprits les plus chastes, car pour le dire simplement, ce tome parlant de cul à tous les étages, je serai bien obligé d'évoquer la question !

Ken en a donc marre ici de son statut de boss mafieux qui l'oblige à mentir à Yumin. Mais la possibilité de devenir Road Manager d'une chanteuse pour un salaire proche de celui qu'il touche est l'occasion de changer de voie. Ce naïf n'a d'ailleurs pas conscience que ce métier est finalement bien plus problématique pour sa dulcinée qui voit d'un mauvais oeil le fait qu'il soit entouré de starlettes magnifiques. Toujours est-il que notre héros se retrouve donc dans le milieu du show biz, présenté d'une façon peu reluisante. Boichi explique avoir fréquenté un peu ce milieu et avoir exagéré le trait, mais je pense qu'il y a quand même beaucoup de réalisme dans le traitement infligé aux femmes, et aux abus présentés. de plus, le mouvement Me too et les très très nombreux scandales révélés récemment, en particulier dans le monde du cinéma, font que je ne doute pas du fait que les abus de position dominante vis-à-vis de jeunes femmes rêvant d'une carrière soient légion.

Et cela permet de mettre en avant le premier gros point positif de ce volume : Boichi traite d'un thème important et dur, de façon certes assez trash et explicite, mais néanmoins très intelligente. Il reste sur l'idée directrice de la série, à savoir comparer l'organisation des différentes strates de la société à l'organisation mafieuse. Après l'État et le fonctionnement du monde du jeu, c'est ici le showbiz qui se voit apposer ce traitement, permettant de mettre en avant des figures d'antagonistes détestables qui ne sont pas sans évoquer des hommes de pouvoir dont on a pu entendre parler récemment.

De cet élément thématique très pertinent et finalement en phase avec l'ambiance générale de la série découle cependant un élément qui peut tout à fait être critiqué, en fonction de comment on se positionne et de notre sensibilité personnelle : Boichi montre les choses pour les traiter, et de ce fait, il se retrouve (et nous met) dans une position délicate, multipliant les séquences de cul totalement explicites et la nudité parfois (souvent ?) gratuite. Une façon d'avoir le beurre et l'argent du beurre, en dénonçant des pratiques tout en tombant à pieds joints dedans. Moi-même, je suis souvent très attentif sur la façon de mettre en scène et de montrer des choses que l'on souhaite dénoncer. ici, c'est lié à la sexualité (surtout au harcèlement, à l'abus de position dominante et au sexisme), dans d'autres oeuvres, cela peut être l'ultra-violence qui est montrée de façon ultra-violente justement. Je pense que les artistes ont une responsabilité dans la façon de représenter les choses, et de ce fait, ils doivent bien réfléchir à la façon de les montrer. Je pense que globalement, lorsqu'il s'agit de sujets « touchy », ils réfléchissent de toute façon à la façon de les mettre en scène, pour éviter les mauvaises interprétations et autre.

Dans le cas qui nous intéresse ici, c'est très ambigu par moments, je dois bien l'avouer. L'ambiguïté découle déjà des réactions de Ken selon moi. Il se retrouve par exemple caché avec une femme quasiment nue, collé à elle de très près, et dans le même temps ils assistent à un rapport sexuel entre un homme de pouvoir et une jeune starlette. La mise en scène montre bien que cela est traité comme quelque chose de très malsain et négatif, mais le problème vient du fait que cela file une érection à Ken, la traitant ainsi sur un mode excitant. Et plusieurs autres séquences ont droit à un traitement ambigu du même genre. C'est pour cela que je parle du fait de vouloir le beurre et l'argent du beurre : Boichi semble vouloir dénoncer des pratiques, mais dans le même temps érotiser à outrance ses séquences pour les rendre « plaisantes ». Dans mon cas, je trouve qu'au contraire, cela ajoute au côté malsain de ces séquences. À voir donc comment vous ressentez la chose, mais cela me semblait important d'en parler, d'autant plus que le sujet de la représentation des choses « trash » est vraiment très intéressant, et je pense que Boichi se questionne beaucoup à ce sujet, quand bien même son style est ultra rentre dedans.

Et au-delà du travail sur la représentation de la sexualité, ce volume est également riche en traits d'humour, assez pipi caca cucul dans l'ensemble, mais on finit par y être habitués avec l'auteur. Et je dois avouer que son humour fait toujours autant mouche chez moi. On a également droit à une micro séquence d'action, mais ce n'est clairement pas sur ce point que le volume se démarque. Cependant, il reste la virtuosité indéniable de l'auteur dans la mise en scène, dans les illustrations et le travail d'ambiance en général. Sans parler du travail sur le personnage de Ken, toujours aussi réussi même s'il semble représenter une vision un peu particulière d'un héros, dont le côté extrêmement prude semble quand même un peu forcé.

Pour finir, impossible de ne pas glisser une fois de plus un mot sur le travail d'édition de Doki-Doki. La sortie du volume avait été repoussée du fait de soucis d'impression, et l'éditeur a tenu a faire repasser tous les volumes au contrôle qualité, et il ne faut pas s'inquiéter sur ce point, c'est comme les précédents un travail d'orfèvre. C'est clairement la série qui a le plus de gueule dans ma mangathèque (certes, relativement petite actuellement) !

En résumé, je partais dans ce nouveau volume avec un peu de craintes, car je savais qu'on arrivait dans un arc ultra érotique. Mais je dois dire que j'ai encore une fois été surpris très positivement par Boichi. Toute cette partie s'intègre intelligemment dans l'ambiance et les thématiques globales de la série, tout en gardant le côté rentre dedans de l'auteur pour le meilleur et le pire (surtout le meilleur ici selon moi). Ainsi, je ressors encore ravi de cette lecture, et je continue de penser que Sun-Ken Rock et Boichi font partie de mes belles découvertes de cette année. Un cinquième volume excellent, servi dans une édition d'une classe folle !
Lien : https://apprentiotaku.wordpr..
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Alors là rien à voir avec le tome précédent plus prude en scènes hot, on s'attaque à du lourd. Boichi nous emmène avec Ken dans un nouvel univers. Après le quartier des plaisirs et le casino, place au monde de la musique et des girl's band. Whaaaa et là c'est hardcore, du sexe, du viol... L'auteur tire le trait au paroxysme et évidemment, on sait qu'il va faire de Ken, LE sauveur. J'attends de voir comment !
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Vous êtes quelqu’un de fort parce que vous ne subissez pas les épreuves que vous endurez.
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