Pour JLB, le poème n'est pas fiction.
Il parcourt la ville, trace les rues, défriche la pampa.
Il raconte les ancêtres, les héros, les êtres admirés ou chéris.
Il y a un décor, un jardin, une ville, les rues des bas-fonds et l'autre côté du monde que l'on feint d'ignorer.
Le poète parle, il n'invente pas, il ne coince pas le lecteur dans un piège littéraire. Il ouvre la porte au lecteur, l'invite dans ses souvenirs, ses pensées intimes, ses confidences.
Au bout, tout au bout, il y a la pensée. Tout en parcourant la ville, la vie, il l'approche cette pensée non sans avoir vécu.
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