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Cela pourrait être la Bible des Féministes.
Cet ouvrage a été publié en 1998, donc il y a 16 ans mais peu de choses ont changé depuis par rapport à l'analyse très claire et très pertinente que fait Pierre Bourdieu de la domination masculine qui s'exerce dans différents domaines de notre société.
Au départ, Bourdieu analyse le fonctionnement de la société kabyle mais très vite il nous montre comment les femmes, même en Occident, se trouvent enfermées dans un « corset moral » qui va déterminer beaucoup de choses dans leur vie.
Ce que j'ai surtout retenu (je dois reconnaître que certains passages sont plus ardus que d'autres..) c'est que la domination masculine a pour effet de placer les femmes dans un état permanent d'insécurité (ou d'inconfort) corporelle , l'analyse qu'il fait de la dimension symbolique des vêtements « féminins » est très claire à cet égard : les jupes droites et les talons ne permettent pas de courir, donc la femme est « entravée » au physique comme au mental.
La nature féminine, selon Bourdieu, qui rejoint ainsi la pensée de Simone de Beauvoir, n'existe pas ; selon lui, la "prétendue féminité" n'est qu'une forme de complaisance à l'égard des attentes masculines.
L'Eglise et l'Ecole ont pendant longtemps été le fer de lance de cette domination masculine, et encore maintenant force est de constater que l'appartenance à tel sexe est un critère qui joue encore un rôle important dans le choix d'une voie professionnelle.
Ce livre fait date, il est à lire et à relire.
C'est ma fille qui me l'a prêté et j'espère que si elle a une fille un jour, elle pourra voir un changement dans la situation des femmes.
Bref c'est pour moi un ouvrage de référence.
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Ce livre comporte tout ce que j'aime et tout ce que je déteste chez ce grand monsieur...
Un propos novateur, des idées et des exemples fournis, un véritable travail de penseur...mais une écriture compliquée et parfois pénible et un fatalisme caractéristique de Bourdieu !
Il y démontre de façon magistrale le système de domination masculine passant par le symbolique, la linguistique mais aussi par le comportement des dominés justifiant eux-même ce système...
Tout cela pour terminer par une note plus que pessimiste quant à l'évolution de cet état de fait !
A lire, sans aucun doute, mais en n'en attendant aucune piste pour des solutions d'évolutions sociales !
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Pierre Bourdieu, à la fin des années 90, se lance dans une analyse exhaustive des mécanismes de domination entre les sexes, ou comment l'homme à travers l'histoire a légitimé sa supériorité (qu'elle soit symbolique, sociale, ou dans les rapports amicaux, de travail, amoureux...) sur la femme.

La domination masculine s'exerce de façon inconsciente, il faut bien s'en rendre compte pour sortir de ses schèmes préétablis par la société patriarcale.
L'intelligence est dévolue au sexe masculin, il ne reste pour le sexe féminin que les émotions ou l'intuition. Par exemple, lorsque Hannah Arendt fit publier son essai sur le procès de Heichman, beaucoup lui reprochèrent son manque de chaleur et d'émotion, refusant par-là même à une femme le droit à l'analyse intellectuelle. Selon la société, les femmes doivent restées cantonnées aux rôles qu'on leur a attribué, c'est-à-dire en tant que ménagères, cuisinières, objets symboliques ou comme procréatrices afin de perpétuer la lignée filiale. Elles sont pour cette raison « exclues de tous les lieux publics, assemblée, marché, où se jouent les jeux ordinairement considérés comme les plus sérieux de l'existence humaine. »

Les hommes, en revanche, se trouvent prisonniers de cette domination car ils doivent en toute circonstance affirmer leur virilité face à leurs congénères par des jeux stupides, souvent violents, allant parfois jusqu'à mettre leur vie en péril afin de prouver qu'ils ne sont pas des « mauviettes » ou des « femmelettes ».

L'éducation a joué et joue toujours un rôle certain dans le maintien de cette domination, notamment par la famille, l'Église et l'École. Pour la famille, il n'y a qu'à fréquenter les magasins de jouets pour enfants pour s'en rendre compte par soi-même. Entre la caisse-enregistreuse, la table et le fer à repasser et les ustensiles de cuisine pour jouer à la dînette, le choix est vite restreint. L'École est aujourd'hui le deuxième facteur important dans ce conditionnement parce que les enseignants auront tendance à encourager les filles à davantage s'engager dans certaines filières que d'autres. L'Église a longtemps joué un rôle de connivence avec l'École ou est-ce l'inverse.

Ce qui a changé aujourd'hui, c'est surtout que la domination masculine ne s'exerce plus de façon aussi claire et directe qu'autrefois. Certaines caractéristiques demeurent : les hommes préfèrent les femmes plus petites de taille qu'eux ou encore lorsqu'une femme vient d'obtenir son permis, vous pouvez être sûr qu'il y aura une personne pour lui conseiller de commencer par conduire une petite voiture. C'est par ce genre de petits détails que la domination se perpétue malgré nous sans même que l'on s'en rende compte. Il y a tout de même, de nos jours, plus de femmes qui accèdent à l'enseignement supérieur bien qu'énormément d'inégalités subsistent encore.

Comme à son habitude, le sociologue s'exprime dans un jargon peu accessible. Ce qui le coupe d'emblée d'une partie de son lectorat potentiel, c'est-à-dire ceux qui seraient susceptibles d'être intéressés par le sujet mais qui ne possèdent pas le vocabulaire adéquat pour tout comprendre.
C'est là tout le paradoxe de Bourdieu. C'est un livre vraiment très bien pensé et documenté que tout le monde devrait lire.
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Cela fait déjà quelques années que je m'oppose aux mouvements féministes, et encore davantage aux femmes qui font du féministe un vrai cheval de bataille. (Petite précision, je suis une femme). Ainsi, je me suis dit quoi de mieux que de lire La domination masculine de Bourdieu ; livre, qui à sa sortie a défrayé la chronique, et quelque peu agité les féministes.

Alors que retenir… Disciple de Bourdieu, j'avais en tête les principaux mécanismes de domination, notamment ceux que perpétuent des institutions comme l'Etat au sens large, mais aussi l'Ecole et la famille pour ne citer que celles-ci. de fait, les femmes ont intériorisé, incorporé la domination masculine et plus largement cette vision androcentrique ou dichotomique masculin/féminin.

Toutefois, il ne faut pas y voir une forme de fatalisme ; bien au contraire ! Si Bourdieu nous met en garde contre le fait qu'une seule prise de conscience de cette domination ne suffira pas à inverser la tendance (point que je partage hautement avec l'auteur), il y a encore des moyens d'agir ou de réagir. C'est pourquoi je ne comprends pas pourquoi certains courants de féministes ont crié au scandale quant cet ouvrage est sorti.

En effet, les féministes sont pour moi, et par extrapolation des propos de ce cher Bourdieu, les plus dominés. En crachant sur la domination masculine, elles sont les premières à entrer dans ce jeu de domination pour reprendre les concepts de Bourdieu. Il faudrait qu'elles se libèrent et se détachent de ces conceptions avant tout.

De même, si on analyse bien cet ouvrage, on peut s'interroger sur une chose… La virilité n'est-elle pas complexe à assumer, à honorer ? N'est-elle pas un signe de faiblesse également ? Dans le sens qu'elle résulte d'un processus de peur à l'égard d'une éventuelle féminisation…

En somme, un ouvrage passionnant, un vrai régal, et surtout qui donne à réflexions.
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Ce livre explique comment le "masculin" domine depuis des siècles le "féminin" : une fois qu'un système est construit, il suffit de le répéter à toute occasion : dans l'éducation des enfants, dans les expressions courantes, dans tous les actes symboliques de la vie, et on finit par accepter cette construction comme seul schéma possible, comme naturelle. Même ceux qui tentent de bousculer la situation utilise des arguments provenant de cette domination (qui n'a jamais entendu des phrases du style "Il faudrait plus de femmes au pouvoir car elles apporteraient plus de douceur et d'empathie dans ce milieu" ?)

L'ouvrage est bien documenté, mais il y a quand même quelques points qui m'ont déplu. Je ne l'ai pas trouvé particulièrement accessible : le vocabulaire est assez technique (mais enfin, je suis plutôt habitué au oeuvre de vulgarisation), et le style est un peu lourd (beaucoup de phrases très longues notamment). Et enfin, j'ai été déçu de ne pas trouver de commentaires sur la construction de cette domination : on part sur l'idée qu'elle existe, mais sans savoir comment elle s'est mise en place. Ça me semble dès lors compliqué de sortir d'un système si on ne sait pas d'où il vient exactement.

Livre à lire donc, mais seulement si on a déjà été sensibilisé au problème, et qu'on a quelques connaissances sur le sujet ("Le deuxième sexe" par exemple comble beaucoup de lacunes du livre). le prendre comme introduction me semble être une mauvaise idée.
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S'il y a bien un domaine que je connais mal, c'est la sociologie… Alors pourquoi lire Pierre Bourdieu ? Sincèrement, j'ai emprunté La Domination masculine par curiosité. En tant que féministe du dimanche, dans le sens où je ne suis pas une militante bien que je sois désormais particulièrement sensible à cette cause, il me semblait logique de commencer un peu à m'intéresser aux bouquins sur le sujet. J'ai lu le Deuxième Sexe mais rien d'autres depuis. Or, j'ai pensé que débuter par l'ouvrage de quelqu'un à la réputation aussi établie que Bourdieu, du moins à première vue, était sensé.

Tu l'auras compris, ami-lecteur, en choisissant Bourdieu, je m'appuyais sur la conviction que l'essai d'un professeur de sociologie du Collège de France ne pourrait qu'être un bouquin passionnant, à la rigueur scientifique incontestable. Mais qu'en est-il au terme de ma lecture ?

Bon, bon, bon… Première remarque : si je devais conseiller un ouvrage sur le patriarcat, jamais je ne mentionnerais La Domination masculine. C'est radical, je sais… Laisse-moi donc, ami-lecteur, t'expliquer pourquoi... Sans doute que Pierre Bourdieu était un éminent sociologue et que nombre de ses ouvrages ont une influence majeure dans les sciences sociales aujourd'hui. C'est pas moi qui le dit, hein, c'est la quatrième de couverture. Vue ma méconnaissance de la discipline, je ne vais pas prétendre que c'est faux. Ce que je peux néanmoins dire, c'est que j'ai lu un chercheur mais jamais un professeur. La Domination Masculine est ardu à lire, volontairement inaccessible… En effet, depuis ma lecture, j'ai appris que Bourdieu défendait l'utilisation d'un vocabulaire et d'une syntaxe complexes. Et pour les utiliser, il les utilise... Au fil des pages, j'ai tant lutté pour comprendre au mieux les propos de l'auteur que je n'en ai éprouvé aucun plaisir. Même celui de la stimulation intellectuelle. Peut-être ne suis-je pas assez cultivée, ou intelligente…

Heureusement certains passages m'ont frappée par leur justesse. Ainsi lorsqu'il aborde la question des bonnes intentions, page 89 :

"Et l'on comprend, dans cette logique, que la protection « chevaleresque » elle-même, outre qu'elle peut conduire à leur confinement ou servir à le justifier, peut contribuer à tenir les femmes à l'écart de tout contact avec tous les aspects du monde réel «pour lesquels elles ne sont pas faites » parce qu'ils ne sont pas faits pour elle."

En vérité, j'adhère à nombre des propos de l'auteur, du moins quand il montre à quel point cette domination masculine imprègne tant notre société que remettre en question ses mécanismes ne suffit pas à la mettre complètement à mal.

Pourtant, j'ai été aussi beaucoup déçue par la vision que nous livre La Domination masculine. Tout le long, je n'ai pas pu m'empêcher de penser que le bouquin tombait parfois dans le système dont il tente d'expliquer les mécanismes : l'androcentrisme, c'est à dire, au cas où tu ne connaisses pas le terme, un mode de pensée, conscient ou non, consistant à envisager le monde uniquement ou en majeure partie du point de vue des êtres humains de sexe masculin. Pourquoi je me permets une telle accusation ? Prenons un exemple, sur le harcèlement sexuel, page 37 :

"De même, le harcèlement sexuel, n'a pas toujours pour fin la possession sexuelle qu'il semble poursuivre exclusivement : il arrive qu'il vise la possession tout court, affirmation pure de la domination à l'état pure."

Il avance cette caractéristique comme si c'était une découverte or, pour moi, c'est foncer dans une porte ouverte : le harcèlement, sexuel ou de rue, est TOUJOURS, à mon sens, une histoire de domination. Point. Il suffit d'en être victime pour le ressentir…

de même, s'il parle de la circoncision en tant que rite d'institution de la masculinité, il n'en fait pas de même pour la femme et ne mentionne pas l'excision... Dommage de n'évoquer les mutilations sexuelles que lorsqu'elles concernent l'homme...

Finalement si Pierre Bourdieu nous parle de la domination masculine c'est exclusivement du point de vu de l'homme. Il va même assez loin puisqu'il ne cesse de tenter de mettre en parallèle les effets du patriarcat sur les hommes et les femmes, au détriment, sans doute, des réalités sociales. Je suis assez d'accord avec son point de départ, page 74 :

"Si les femmes, soumises à un travail de socialisation qui tend à les diminuer, à les nier, font l'apprentissage des vertus négatives d'abnégation, de résignation et de silence, les hommes sont aussi prisonniers, et sournoisement victimes, de la représentation dominante."

Donc oui, les hommes subissent la société patriarcale et c'est, entres autres, pour cette raison, que la cause féministe nous concerne tous. Là où Bourdieu exagère, c'est dans sa façon d'insister sur le poids subi par les hommes avec des tournures plus que maladroites : "des formidables exigences", "immense vulnérabilité", "hommes prisonniers, et sournoisement victimes",… J'ai eu l'impression désagréable de me trouver devant un de ces commentaires sous un post féministe, tu sais, du genre "oui mais les hommes aussi ils sont harcelés, hein, vous parlez toujours des femmes." Et puis alors que monsieur Bourdieu défend la complexité parce que, selon lui, elle apporte de la précision, il tombe ici dans des termes non seulement emphatiques et pathétiques mais, et c'est le pire, dans la subjectivité. En cela, La Domination masculine est doublement une leçon : déjà parce que Bourdieu nous offre quand même des pistes de réflexions passionnantes sur la manière dont le patriarcat est ancré dans nos inconscients, ensuite parce qu'il offre lui-même un exemple de combien peut être réductrice la pensée quand elle n'adopte qu'une vision masculine d'un système.

Pour finir, je voudrais mettre les choses au point sur un reproche qui a souvent été fait à Bourdieu : le fait qu'il traite de la domination symbolique, de la violence symbolique et qu'il évoque très peu la violence physique. Je n'entrerai pas dans ce procès car l'auteur nous explique de manière plutôt convaincante pourquoi il a fait ce choix.

Pour conclure, je n'irai pas jusqu'à regretter cette lecture qui m'a permis d'amorcer une vraie réflexion sur la question. Toutefois, cette découverte laborieuse et décevante sur de nombreux points, m'a donné envie d'éviter à l'avenir de lire ce monsieur.
Lien : http://altervorace.canalblog..
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Un livre brillant dont l'écriture au départ laborieuse pourrait en décourager plus d'un... Une fois passée le cap des phrases alambiquées, si on s'accroche un peu, on rentre pourtant dans la pensée de l'auteur, qui est d'une grande concision (cela explique-t-il le caractère indigeste de certains passages ?). Une fois lancée, je n'ai pas pu décrocher de cet ouvrage dont je trouve la portée immense, d'autant plus au vu du nombre de pages (le livre est relativement court). Certains pourraient y voir du fatalisme, ce n'est pas la lecture que j'en ai eu : la postface est extrêmement intéressante à cet égard, et Bourdieu prend soin de préciser à plusieurs reprises la sympathie que lui inspire le mouvement féministe (s'il émet des réserves, c'est davantage dans les moyens mis en oeuvre, et contre une certaine vision idéaliste qui voudrait que la simple prise de conscience de la situation et un militantisme sincère suffise pour changer des relations aussi complexes). Bref, une lecture indispensable pour peu que le thème nous intéresse !
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Un livre à lire pour les passionnés de féminisme et de sociologie (c'est mon cas), il faut reconnaître que la lecture de ce livre est parfois ardue, j'ai pris mon temps pour le lire et j'ai apprécié la synthèse des représentations sociales autour du féminin que Bourdieu présente dans ce livre. Un schéma est particulièrement intéressant en début de livre.
J'ai mis des citations qui me semble intéressantes pour avoir une idée du livre et de son propos.
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Une grosse claque à la lecture de la domination masculine, surtout lorsque l'on sait que l'ouvrage à 20 ans et que rien n'a changé ! du rire aussi, des grincements de dents et beaucoup d'autres expressions et mimiques corporelles à lecture de cet essai de Pierre Bourdieu. Non, La domination masculine ne peut vous laisser indifférentes, et, oui l'auteur utilise parfois un vocabulaire et des tournures de phrases peu accessibles... Je ne résumerai pas les idées de l'auteur : ce serait trop long et fastidieux mais, que l'on y adhère plus ou moins , l'ouvrage est un indispensable pour comprendre le fonctionnement de notre société à l'égard des sexes ( notamment de la division sexuelle au travail) et, en tant que femme pour encore mieux se comprendre soi-même.
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En voilà un livre compliqué et fastidieux à lire !

Et pourtant le sujet principal du livre, à savoir la place de la femme dans la société, déchaine chez moi les plus grandes passions, c'est dire ! du coup, moi qui ai commencé à lire « La domination masculine » avec enthousiasme et entrain, je me suis vite heurtée au style de l'auteur qui rend la lecture de cet ouvrage.. réellement pénible !

A travers cet essai, Pierre Bourdieu tente de démontrer combien la domination masculine s'est ancrée tout naturellement dans notre société, au point de passer complètement inaperçue. Pour appuyer sa démonstration, Pierre Bourdieu se livre notamment à une comparaison entre notre société et la société kabyle.

Et c'est là tout ce que j'ai pu saisir de cet ouvrage.. En ce qui me concerne, j'ai trouvé l'écriture confuse, les idées mal organisées (même s'il y a parfois un fond véritablement intéressant) et le vocabulaire beaucoup trop technique pour être accessible à des profanes. En somme, je n'ai pas été touché par les idées de Bourdieu et je n'ai absolument pas saisi son message.

Sur la question de la place de la femme dans notre société, l'ouvrage de référence reste pour moi « Beauté Fatale » de Mona Chollet.

Lien : http://mademoisellechristell..
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