Le Teckel, tome 1

Je pense être passé complétement à côté de cette lecture, je m'attendais cependant à de l'humour noir et à un personnage atypique, cependant ici cela l'a été trop à mon goût.

Je pensais en apprendre plus sur le milieu pharmaceutique avec un humour grinçant mais le personnage du Teckel est vraiment odieux au possible, machisme et j'en passe, difficile de s'attacher à ce type de personnage.

Nous suivons avec lui un jeune homme Jérémy Labionda qui ne va pas être déçu du voyage et ce dès le début de son périple car ils vont devoir bosser en binôme.

J'ai été au bout de cette lecture mais non sans peine et je ne lirai pas les autres tomes, celui-ci m'ayant suffit.

Comme quoi on ne fait pas toujours bonne pioche dans les choix fait au hasard dans les rayons de la bibliothèque.

Lorsque je regarde la quatrième de couverture, il est dit : "Une évocation au vitriol du monde des laboratoires pharmaceutiques et des pratiques commerciales, portée par une brillante galerie de portraits. Décapant!". Alors en vérité, je trouve que ce n'est pas ça du tout ! C'est plutôt le quotidien des commerciaux médicaux. La concurrence, le démarchage, vendre des produits qu'on leur demande de vendre.
Je n'ai pas trouvé l'histoire très captivante. Cela manque d'humour. Ou alors l'humour de cette BD de n'a pas du tout touché.

Il est demandé à un jeune cadre d'accompagner un ancien employé, dit "Le Teckel", afin de vendre un nouveau produit anti-douleur. le problème est que l'ancienne génération de ce produit a tué beaucoup de monde et le Laboratoire souffre encore de la mauvaise publicité engendrée par ce drame. Par la même occasion, il doit avoir un oeil sur le fonctionnement du commercial et faire un rapport détaillé à son responsable.

Entre gouffre générationnel et méfiance, les deux commerciaux partent faire la tournée des médecins.

Les dessins sont sobres et simples. Par contre je n'ai pas compris pourquoi certaines bulles étaient colorées et d'autre non ...

Voila , un avis des plus mitigé. Je n'ai pas spécialement aimé cette lecture. Une dernière chose importante, cette Bd ne convient pas aux plus jeunes car certaines scènes de sexe sont très explicites !
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J'ai reçu cette bande-dessinée dans le cadre du prix du polar SNCF.

A priori, le sujet sur le monde trouble de l'industrie pharmaceutique m'avait attirée.

A la lecture, je suis tombée de haut.

L'association d'un visiteur médical d'une autre génération à une jeune pousse est plutôt intéressante. Mais après, les errances du "teckel", les tournées plus ou moins foireuses m'ont laissée de glace. La psychologie de ce personnage macho et magouilleur m'a vraiment rebutée.

Je n'ai rien à dire sur le graphisme que j'ai trouvé correct mais pas remarquable.

Qu'a voulu raconter l'auteur ? Après avoir refermé l'album, je me pose encore la question.

Nous allons suivre deux commerciaux pharmaceutiques qui travaillent pour l'entreprise Duprat, le laboratoire pharmaceutique qui a été au coeur d'un énorme scandale puisque le médicament Marshall a tué trois-cent personnes. Duprat a recréé le Marshall, en le nommant M2 (ou Marshall 2), un anti-douleur que les deux protagonistes sont censés vendre auprès des médecins et des pharmaciens. Tout d'abord, Guy Farkas, surnommé le Teckel, est un visiteur médical assez âgé et proche de la retraite, qui va être accompagné, contre son gré, par le jeune et nouveau Jérémy, qui sera amené à le remplacer. Ils sont très différents, et tout les oppose, et leurs relations vont être compliquées dès le début.

C'est une bande-dessinée avec un thème assez actuel, qui se lit très vite, mais que je n'ai pas trouvée "décapante" comme le résumé le laissait penser. Peut-être que l'humour de l'auteur n'était pas fait pour moi. C'est une critique assez acerbe des laboratoires pharmaceutiques et du métier de commercial, c'est assez sarcastique. Malheureusement, la bande-dessinée se termine un peu trop rapidement, et je suis curieuse de connaître sa suite.

Je l'ai lu dans le cadre de la Masse Critique Babelio pour le prix du Polar SNCF 2015, et je remercie Babelio et la SNCF pour cette découverte !
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Je remercie encore Babelio (via sa Masse Critique) et la SNCF (prix sncf du polar sélection 2016) de m'avoir fait parvenir cette BD.

Le pitch promettait "Une évocation au vitriol du monde des laboratoires pharmaceutiques et des pratiques commerciales, portée par une brillante galerie de portraits. Décapant!".
Je n'ai, malheureusement, retrouvé que trop peu de ces éléments en la lisant.
Pourtant, l'histoire commençait bien entre ces deux commerciaux aux antipodes, bien obligés de se supporter dans le cadre de leur boulot. A un moment, on se prend même d'amitié pour l'insupportable Teckel.
Mais, le tout manque, selon moi, de cohérence et de profondeur, tant au niveau des dessins que des textes et de l'histoire de manière générale.
Légère déception, donc.

Je conseillerais et ne conseillerais pas cette BD. Elle m'a plu sans pour autant m'enthousiasmer.

Les personnages sont atypiques et ces peut-être les caractères et la physionomie des personnages qui valent vraiment le coup. On devrait peut-être leur laisser une chance dans une autre BD dans un autre contexte. Pour le reste l'histoire m'échappe un peu. le monde étrange des laboratoires pharmaceutiques et de leur vendeur. Mouais bof ça ne m'a pas transporté.
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Dans le monde des visiteurs médicaux il y a une tradition : celle de se donner le nom d'une race de chien.
Ainsi, Guy Farkas, c'est le Teckel, des années d'expérience et pendant très longtemps le meilleur de la profession, le plus redoutable.
Mais aujourd'hui Guy n'est plus que l'ombre de lui-même et son employeur, les laboratoires Duprat, a décidé de lui adjoindre le jeune Jérémy Labionda, surdiplômé et expert du maniement des chiffres et de l'outil informatique, à l'inverse de Guy qui est plutôt de la vieille école, à embobiner les médecins par ses beaux discours et ses citations de Rimbaud.
Autant dire qu'entre les deux, la relation va être explosive, Guy Farkas n'hésitant pas à avoir recours à l'intimidation : "Tu n'as pas bien compris à qui tu as affaire. Tu peux commencer à serrer les fesses. le vent mauvais a commencé à souffler dans ta direction.".
Et puis, peut-être que la présence de Jérémy va redonner envie au Teckel de reprendre du service, sérieusement, et d'inculquer à la jeunesse les bonnes vieilles méthodes de jadis qui ne fonctionnent ma foi pas si mal même de nos jours : "Je reprends le boulot sérieusement. Il faut que tu prennes conscience que tes statistiques, ton langage marketing, ton "poher"-point c'est de la merde en barre. Il faut donner du rêve ! Il faut parler d'humain à humain ! Prendre la main du client et s'envoler avec lui vers les cieux inexplorés de la persuasion. Faire l'amour avec ses doutes, ses appréhensions ! Et là, là !".

Je préfère annoncer la couleur tout de suite, j'ai trouvé cette bande dessinée moyenne.
J'ai apprécié la relation entre les deux personnages, surtout l'évolution de celle-ci, ainsi qu'un rebondissement final auquel je ne m'attendais pas; et puis le lieu de l'action : la Charente Maritime, plus particulièrement la ville de Royan, parce que je connais très bien cet endroit.
Pour le reste, je n'ai pas franchement été emballée.
Certes, l'intrigue se déroule dans le milieu des visiteurs médicaux, un univers que je ne connais pas trop mais qu'en toute franchise je n'ai pas envie de connaître plus que ça.
Le scénario est un peu construit à la manière d'un polar noir, il y a un côté rétro qui m'a partiellement plu, mais j'ai trouvé que ça manquait de direction claire et précise.
Et quand je lis quelque chose, j'aime bien savoir où je vais et pas accumuler les rencontres, les imprévus, et que tout cela fasse un joyeux imbroglio.
C'est dommage car je reconnais quelques qualités au personnage de Guy Farkas, mais elles n'ont pas suivi à rendre ma lecture totalement agréable.
La mise en couleur est assez particulière, dans le sens où elle vient appuyer ce côté rétro, à l'image du personnage de Guy Farkas, sans être uniforme elle reste dans des tons sombres, la couverture vous en donne un bon aperçu puisqu'elle condense à elle seule la palette de couleurs employée (bleu nuit, rose, beige, noir).
Quant au graphisme, je n'ai pas aimé, mais alors pas du tout.
C'est clairement le coup de crayon que je n'apprécie qu'à petite dose : des personnages disproportionnés, avec une grande taille (Guy Farkas), et/ou un grand nez, des traits de visage peu affirmés, bref, des personnages qui ne sont dessinés que par un coup de crayon pour en dessiner les contours.
J'aime quand il y a de belles couleurs, de beaux dessins, des personnages clairs ne donnant pas l'impression de sortir du même moule, je n'ai donc pas franchement trouvé mon bonheur dans cette bande dessinée.
Et quelle ne fut pas ma surprise de découvrir qu'un deuxième tome venait de sortir, je passe mon tour et je n'ai pas envie de continuer à suivre les aventures que je pressens rocambolesques de Guy Farkas.

"Le Teckel" de Hervé Bourhis est une bande dessinée qui m'a moyennement plu, dont je n'ai pas apprécié beaucoup de choses et surtout pas le graphisme.
Au moins maintenant je suis fixée, le style de Hervé Bourhis ne me convient pas, mais cela ne sera pas le cas de tout le monde.
Essayez, vous verrez si vous souhaitez ou non adopter ce Teckel.
Lien : http://lemondedemissg.blogsp..

C'est par Babelio et le prix polar Sncf que j'ai été amenée à lire la BD "Le Teckel" d'Hervé Bourhis. Je les en remercie pour l'expérience mais elle ne m'a pas conquise. Certes je ne suis pas bon public en ce qui concerne la bande dessinée en général, mais la première page m'a rebutée d'emblée. Je ne comprenais pas pourquoi le médecin (aux allures de cowboy!) parlait de la petite victime à la troisième personne alors qu'elle était devant lui. Bien sûr, le lecteur comprend à la page suivante, mais cela m'avait plus perturbée qu'intriguée.
Les bulles sont également parfois étrangement placées, je ne voyais pas toujours qui parlait à qui. De la même façon, je n'ai pas compris la page 10. Onirique? une page de couleur rose, page de sexe (d'où l'avertissement rajouté par la Sncf sur la 4ème de couverture) et de sang.
En gros, trois teintes de page: bleu foncé (la nuit ou pour une atmosphère sombre ou désagréable), rose (sexe) ou beige (plus neutre), en alternance.
Jérémy et Farkas,alias " le teckel", visiteurs médicaux pour le laboratoire Duprat, font équipe contre leur gré. L'atmosphère entre eux est détestable.
Ce laboratoire tente de lancer sur le marché un nouveau médicament antalgique, le Marshall 2, alors que le Marshall 1 a connu un échec retentissant car dangereux pour la santé. Cela n'est pas sans évoquer les récents scandales de l'industrie pharmaceutique mais sans être très convaincant, à mon sens. De nombreux éléments ne paraissent pas très cohérents et sont outrés, voire dénués d' intérêt. Par exemple, page 26, le mari du médecin qui reçoit les deux visiteurs médicaux accuse sa femme de nymphomanie en leur présence, est violent et semble avoir l'habitude de la frapper! Quant à elle, elle critique le Marshall 1 mais commande du Marshall 2! On se demande ce que tout cela vient faire dans l'histoire, comme si la question pharmaceutique ne suffisait pas pour faire une histoire à elle seule.
La typographie ne rend pas l'histoire facile à lire non plus. Quant au dénouement, il est assez rocambolesque et peu compréhensible.
Vous aurez compris que ce n'est pas "Le Teckel" qui va me réconcilier avec la bande dessinée!

Les préludes de la lecture : Ouvrage que j'ai reçu dans le cadre de ma participation au club des lecteurs SNCF du polar. Merci à la SNCF pour cette sélection ainsi qu'à Babelio.

Résumé : Un nouveau binôme de commerciaux fait son apparition dans le laboratoire Duprat. Jeremy va devoir composer avec un vieux de la vieille, Guy Farkas alias le Teckel. Sur fonds de manigances et de manipulations, l'auteur dénonce avec cynisme et beaucoup d'humour, l'amoralité de ce secteur d'activité.

Le mot de la fin : Une BD actuelle, qui se lit vite et avec sympathie. L'auteur nous fait découvrir quelques us et coutumes du milieu pharmaceutique. Cela ne contribue pas du tout à redorer l'image de l'industrie et du métier de commercial, mais je pense que c'est bien là le but précis et c'est pour cela que j'aime bien ;). L'auteur écrit avec beaucoup d'humour et de cynisme et j'adore ça. Mais, il survole la personnalité des personnages qui manquent de sentiments et malheureusement quand il entrouvre une porte menant à l'émotion elle ne reste qu'entrouverte, c'est très frustrant… j'aurais voulu plus de profondeur, que je n'ai retrouvée quasiment que dans les citations de Rimbaud.
Lien : http://www.lesmiscellaneesde..

J'avais vraiment envie de découvrir cette Bd parce que je pense qu'il y a fort à faire avec le thème des visiteurs médicaux. Malheureusement, cette BD n'est pas une réussite parce qu'elle part dans tous les sens.
Peut-être que les amateurs de récits loufoques apprécieront ce duo de visiteurs médicaux dont l'un semble totalement partir en vrille et enchaîne les comportements caricaturaux. Ce ne fut pas du tout mon cas.