Un roman jeunesse qui partait terriblement bien, j'ai été attirée tout de suite par son titre et sa couverture, en me disant que ma fille allait l'adorer.
Cependant, j'ai été légèrement déçue…
Nous sommes donc en compagnie de Miranda, fan de pâtisserie, vivant avec ses deux parents dans le luxe, sous une éducation rigide et stricte, sa maman ne pensant qu'à elle-même, son père subissant l'autorité de sa femme.
Avec le professeur de Sciences, Monsieur Valdingue, carrément foldingue, ils se retrouvent à visiter clandestinement une usine agro-alimentaire industrielle, celle qui vend la merveilleuse pâtisserie Pétrus de la ville, obligeant les locataires à fermer.
Miranda va mener son enquête, prête à découvrir tous les secrets.
C'est une histoire originale qui aurait vraiment pu être très intéressante, dénonçant les produits chimiques et autres dans nos aliments industriels.
Malheureusement, le récit n'est pas crédible sur beaucoup de points, et c'est dommage.
Les personnages ne sont que trop peu travaillés, et l'écrit trop précipité, le roman manque de détails, pourtant il était si prometteur…
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Je suis un peu déçue par cette histoire qui partait pourtant bien, avec un scénario original pour une histoire pour enfants . Elle aurait mérité quelques chapitres de plus entre la découverte du secret de la famille Octopus et le dénouement un peu rapide et tiré par les cheveux.
J'aurais aimé que l'auteur s'arrête davantage sur les relations entre les personnages, notamment entre Miranda et son père.
L'écriture est agréable, l'idée de départ excellente, mais j'ai trouvé le tout peu crédible et un peu expéditif.
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Un petit roman jeunesse avec de l'humour, du rythme, parfois quelques incohérences dans la structure du récit mais ça passe. Il y a un peu de Charlie et la chocolaterie dans ce récit. L'auteure dénonce la malbouffeà travers le snacking à chaque coin de rue, les cantines, les industries agro-alimentaires et pour tout ça chapeau. de jolies illustrations accompagnent le texte. Bref, j'ai passé un bon moment avec Miranda.
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Sur le modèle du code de la route ou du code civil, Dorothy avait d'ailleurs rédigé le Code octopussien de conduite ( COC), destiné au personnel de maison et autres professeurs particuliers, qui, en 400 articles, répondait à toutes les questions éducatives.
Après cette œuvre d'utilité publique - démarrée dès sa grossesse et terminée à la maternité - Dorothy avait estimé avoir accompli sa tâche et s'était consacrée à son unique passion : le cheval. Toute la journée, elle trottait, galopait, sautait des obstacles, domptait les chevaux avec une certaine fermeté, vous vous en doutez. Pauvres bêtes, pensait Miranda, eux l'ont vraiment sur le dos toute la journée.