Citations sur Solitudes (12)
Elle est en train de perdre son temps comme si elle avait du temps de reste.
Ses semblables ne lui inspirent qu'indifférence. Son inaptitude à s'intéresser à autrui, à chercher à le connaître, à le comprendre, est sa caractéristique - sa tare ? - principale, le signe distinctif de sa personnalité.
Elle est là, dans l'ombre, alourdie de toute sa tendresse inutilisée et redoutant qu'elle ne le reste à jamais, vieille femme percluse de solitude et d'impuissance en train d'apprendre que l'intérêt, ou l'amour, que l'on porte à un être ne vous le rend ni plus proche ni plus compréhensible.
La canicule d'une saison, une inclination particulière, une préférence ; il suffit d'un rien.
Il y a des journées qui pétillent,dont les heures courent,bondissent et cascadent comme des gouttes de vif-argent.(...)Il en est d'autres qui ,au contraire,exsudent les coulées sirupeuses de l'ennui,et qui durent,durent,se traînent à n'en plus finir.
La vie tient en réserve des rires, des larmes, et vous décoche de ces surprises !
Elle est là,dans l'ombre,alourdie de toute sa tendresse inutilisée et redoutant qu'elle ne le reste à jamais,vieille femme percluse de solitude et d'impuissance en train d'apprendre que l'intérêt ,ou l'amour,que l'on porte à un être ne vous le rend ni plus proche ni plus compréhensible.
je connaissais de cet auteur Anibal, Une succulente au fond de l'impasse, petits romans de détente assez sympathiques ; celui-ci est consternant : mal écrit (on se croirait dans du Harlequin mais avec quelques mots "recherchés" car la protagoniste est une documentaliste à la retraite !) des clichés à la pelle, des rebondissements à pleurer de rire -sa voisine de palier l'invite au mariage de sa soeur le lendemain parce qu'elle a récupérer le colis d'un livreur en son absence !!!- je me suis vraiment forcée à aller au bout pour voir le dénouement à cause des autres critiques...ne perdez pas votre temps à lire des inepties pareilles !
Elle prends conscience alors que pendant l'heure écoulée, elle n'a pas eu une pensée pour Grégoire, elle a oublié Gregoire. Le garçon ne lui a-t-il pas permis de se révéler à elle-même? Elle possédait bien une âme, c'était une vieille maison, poussièreuse livrée aux ombres, pleines de recoins,de chambres aux portes fermées, de meubres couverts de housse.
Le poussah s’est retiré dans son antre, il a repris sa place dans son fauteuil.