Il ne faut jamais se fier à la couverture d' un livre ...dites vous que j'ai choisi de me lancer dans cette lecture justement car je trouvais la couverture simple et stylée 😅🙈
Alors certes le titre aurait pu me mettre la puce a l oreille et je ne me suis pas tourné vers une recherche précise sur le genre de lecture a laquelle appartient la saga "tout a lui"du coup ce fut pour moi une totale découverte ...nous sommes ici sur un roman érotique, du même gabarit que la saga "prête a succombé" ...une sorte de parallèle a 50 nuances .
le volume 1 est trop court pour dire et donner une vraie critique constructive selon moi .
A voir maintenant si le Volume 2 est plus percutant 🤔
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Des petits volumes qui se lisent très vite, une histoire un peu décevante sans vraiment de consistance, mais tout de même agréable à la lecture, une écriture légère qui nous emmène dans la vie d'Alice, une jeune femme qui va se voir emportée dans la passion d'un écrivain habitué à faire souffrir les femmes. Heureusement ses amis sont là pour elle et la rencontre avec Dani un jeune photographe lui fait un peu oublié les méandres de cette union dévastatrice.
En conclusion : cette histoire aurait pu être sympathique si elle avait été un peu plus étoffée, cela va trop vite et on arrive pas vraiment à s'attacher aux personnages.
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Ayant commencé à lire cette série, je compte la terminer, mais sans grande conviction. Les personnages sont horripilants et sans aucune saveur.
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Pour moi, être journaliste avait perdu tout fondement de réalité pour devenir une sorte d’existence fantasmée et idéale, que je n’imaginais plus pour moi. Je ne comptais plus les bars dans lesquels j’avais été serveuse. Ni les histoires d’un soir qui accompagnaient cette vie nocturne sans lendemain.
C’est un art délicat. Résumer un homme, une femme, une vie en quelques feuillets, rien n’est plus difficile. Les journalistes trahissent vite la personne qu’ils ont en face d’eux. Ils leur prêtent leurs propres opinions et c’est inévitable. Leur jalousie, leurs amertumes. Or il faut une certaine dose d’effacement pour entrer dans le vif de l’être qui vous fait face.
Un bon portraitiste s’abandonne totalement devant le sujet qu’il dépeint. Il est au service de son portrait. Presque l’esclave. Il doit être prêt à tout pour en savoir toujours plus sur lui, pour en explorer les mystères et les zones
inexplorées. Tout détail qui fera la différence, qui capturera l’intérêt du lecteur.
Peu m’importait le lieu où je vivais. Une seule chose m’intéressait vraiment : c’était faire des portraits, raconter les histoires des gens que je croisais, avec
l’espoir – un peu livresque – de pénétrer leur intimité.
Le corps, l’esprit surtout, suivaient une temporalité singulière pour sortir des émois de la veille. Alors que la vie reprenait son cours, le désir était plus lent à se défaire des fluides générés la veille.