Une saga familiale qui ne manque pas de piment!
Des personnages hors normes qui défient toutes les règles des relations humaines , c'est incroyable, foudroyant.
Un roman trouvé par hasard et lu parce qu'il se passe en Ecosse...Je ressors en larmes, des personnages qui ont pris mon coeur!!
Des sentiments particuliers entre un frère et une soeur qui va régler toute cette petite "famille"!!!
Une saga qui commence en 1895 dans un manoir de Cromdale, où Will tient prisonnière Catherine, qui la dit folle pour récupérer son héritage. Ces personnages sont déterminés à vivre leur vie et Cathy ne se laissera pas faire...Robert McLean sera t il l'homme qui pourra la sauver ?
Une histoire assez grandiose qui me restera un bon moment en tête. Une immersion dans l'Ecosse du début du XXème siècle qui m'a beaucoup plu...
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Malgré la periode dont je ne suis pas tres fan, ce livre m'a captivé.
Les personnages principaux ; l'heroine et son mari robert maclean sont attachant et ont une profonde psychologie.
Certes c'est un roman d'amour mais pas gna gna. le couple souffre et se debat dans la tourmente.
J'ai été touchée par la partie qui se deroule à Glasgow alors que le couple et ses enfants tombent dans la pauvreté obligés de travailler à la mine (ca m'a rappelé tres brievement germinal).
La relation de l'heroine avec will fait peur mais alors qu'on la croit elle subir les humiliations de son frere tout se renverse et meme vers la fin on decouvre de nouvelles facettes des personnages.
Tout ne se termine pas comme dans un roman à l'eau de rose, on est poignardé par la fatalité du destin.
Superbe.
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Lu en 1998.Je n'avais pas aimé ce roman dont l'intrigue m'avait paru trop invraisemblable.
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Une histoire d'amour sans précédent, de la passion et de la haine au plus hauts niveaux.
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Des cadavres plus petits , cela signifiait des cercueils moins grands: moins de bois, moins de clous, donc moins de frais pour l'entrepreneur des pompes funèbres. Je me révélais un futur cadavre peu coopérant, puisque je me glissais la nuit dans le garde-manger, avec la prudence d'une souris dans une maison habitée par des chats.
Douze pas en profondeur, seize pas en longueur, quatorze en marchant vite : combien cela faisait-il de mètres carrés ? J'aurais pu prendre une plume et du papier et calculer les dimensions exactes de ma chambre mais, à l'idée de gaspiller du temps à de telles sottises alors qu'il y avait d'importantes tâches à accomplir, je continuai d'arpenter la pièce.