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3,62

sur 1189 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  

up date : FINALEMENT je l'ai fini !
et j'avais plutôt bien anticipé la fin....
bref, tellement prévisible que j'ai l'impression quand même d'avoir perdu mon temps ...
Ah j'ai oublié de mentionner aussi dans la (longue) liste des trucs rébarbatifs pour moi dans cette lecture : l'impression du placement de produits, avec les références continuelles aux marques de voitures, lunettes etc., démarche qui est pour moi inappropriée dans un roman...
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je vais faire quelque chose que je ne fais que très très très très rarement, peut-être deux ou trois fois maxi depuis que je suis chez Babelio, et seulement quand je peine vraiment sur une lecture, hésitant à abandonner : une chronique de milieu de lecture, que je compléterai quand j'aurais fini le bouquin ... enfin, si je le finis !
C'est le deuxième Bussi que je lis, après @Code Lupin que je n'ai pas aimé, et bien que j'ai plutôt apprécié les versions téléfilms de @Un avion sans elle et @Nymphéas noirs. Je commence sérieusement à me demander si ce n'est pas un auteur que je vais éviter dorénavant.
Je me suis lancée dans ce pavé de Poche alléchée par le mythe de l'Arche de Noé qui pouvait s'avérer intéressant, s'il était intelligemment traité.
Je suis à la moitié des 760 pages et quelques et je me demande s'il faut que je m'inflige encore cette lecture juste pour savoir si une chèvre unicorne a survécu au Déluge. Pour un peu, j'espère presque que L Arche est en fait un vaisseau spatial !
Je trouve le choix de l'écriture ultra convenu : des chapitres très courts qui s'arrêtent à un moment trépident, pour pousser le lecteur à tourner les pages très vite. Il y a des scènes hollywoodiennes un chapitre sur deux : on tire dans le tas, on s'évade de façon rocambolesque, il y a des hasards quand même bien opportuns ... bref, je suppose qu'on est censés frémir en lisant toute cette agitation qui personnellement me fatigue parce qu'elle ne fait que meubler, le fond de l'histoire lui me semble bien flou, voire inconsistant ....et je commence à me demander si l'hypothèse inédite annoncée n'est pas une vessie au lieu d'une lanterne...
je souligne les dialogues et certaines scènes très gnangnan (ex : le professeur blessé à Paris, ah bah non) et je termine mon réquisitoire par le ton parfois pathétique de l'écriture (morceaux choisi : elle avait eu "une peur à en faire pipi dans sa culotte", ou encore "sa réponse tomba comme une guillotine").
Les personnages ne sont guère attachants, car peu crédibles. Je trouve Cécile particulièrement horripilante. Je remarque des similitudes avec @Code Lupin : la figure de la jeune chercheuse, celle du professeur, les poursuivants/méchants qui ne sont pas très doués, la tendance à voir des signes partout, une tendance à se balader alors qu'ils sont censés être poursuivis, la petite romance pour faire bonne mesure (on coche dans la liste des thèmes obligatoires à aborder pour recruter large parmi les lecteurs), avec le faux suspens " alors quand vont-ils franchir le pas ?" avec les fulgurances romantiques arrivant le plus souvent dans les moments les plus improbables.
MB suit le manuel du (soit-disant) parfait thriller ésotérique : secret qui va bouleverser le monde à protéger, les gentils, les méchants, les scènes où ça canarde de partout, de préférence là où c'est choquant et avec des victimes innocentes, des forces de l'ordre incompétentes ou corrompues ou indifférentes, des héros malgré eux, des hasards heureux et des coïncidences improbables, ... bref la recette du @Da Vinci code ou de @La prophétie de la cathédrale. Les ficelles sont tellement grosses que je n'y prends aucun plaisir : je n'embarque pas dans l'histoire. le seul point positif pour moi est souvent que finalement déçue par ce gloubiboulga, je vais faire des recherches plus scientifiques sur le sujet traité !
Bon allez j'essaie de le finir (une chèvre unicorne ou des extraterrestres ?)


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Si le sujet de fond aurait pu m'attirer, la lecture de ce lire ne m'a pas marquée du tout. Je me suis perdue dans les pages, et ai été déçue. Je n'ai pas accroché avec l'écriture, si différente de ses romans habituels. En même temps cela est clairement annoncé, mais du coup cela ne me correspond pas.
Les personnages sont intéressants, mais leur périple ne l'est pas à mon sens.
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Le résumé du livre était alléchant, un énième thriller ésotérique sur cette fois-ci l'arche de Noé.
Le livre est bien documenté, effectivement l'auteur se sert de nombreuses expéditions et d'informations véridiques pour dérouler les mystères qui entourent cette fameuse arche, de sa localisation, le mont Ararat, aux morceaux qui ont été recueillis qui sont supposés en provenir, la légende universelle du déluge, le mythe religieux.

Mais tout ça dans un fatras de thriller sans consistance, avec des héros aussi charismatiques qu'un morceau de savon, des situations ridicules et improbables, un méchant grotesque, sadique et bien trop bavard, disposant d'un groupe d'élite surarmé et surentraîné qui tombe sous l'attaque… non je vous laisse découvrir ce grand moment de Grand-Guignol c'est bon de rire.

On tourne quand même les pages sans s'arrêter, le roman étant construit sur des chapitres très courts se terminant systématiquement par un cliffhanger, un rythme trépidant qui permet de ne pas développer et fouiller la psychologie des personnages inconsistants et stéréotypés et de passer outre les incohérences du récit.

J'ai d'ailleurs de plus en plus de mal à supporter ce type de construction ou de montage, les livres l'utilisant se révélant finalement presque toujours décevants.
A l'identique des films d'actions dont le scénario tient sur un timbre poste et multiplient les scènes d'actions spectaculaires pour meubler le vide.

La révélation finale est à l'avenant, pfff quelle surprise cette conclusion qu'on voit venir aussi grosse que le mont Ararat, ah mais c'est bien sûr c'est encore Eux, encore leur faute.
Heureusement que l'auteur dans son avant-propos nous prévient que ce secret révélé n'est pas une hypothèse historique sérieuse et que personne ne s'était essayé à la formuler.




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Mais pourquoi donc lire un thriller, ésotérique qui plus est, assez épais, et dû en outre à la plume de Michel Bussi ?
Je me le demande. Masochisme ? Peut-être jusqu'à un certain point. Distinguons. La perte d'argent ? Supportable : 4,50 euros d'occasion. Supportable. La perte de temps ? Déjà plus sérieux. D'un autre côté, j'arrive à expédier ce genre de littérature en quelques heures. Et puis soyons honnêtes : l'expérience n'est pas totalement désagréable;c'est un peu comme un repas chez McDonald. C'est après qu'on a l'estomac un peu lourd,
Mais pour faciliter sa digestion, on a toujours la ressource d'écrire une chronique vengeresse, comme cella-là,
Le sujet : l'arche de Noë. On ne peut pas le retirer à Bussi, il a bouquiné ; et il arrive quand même à nou apprendre un certain nombre choses sur l'histoire et la géographie compliquées et chahutées d'un petit canton du Proche-Orient ; de bonnes recherches aussi en histoire de l'art, on saura presque tout sur le traitement du thème de l'Arche de Noë dan la peinture occidental ; et peut-être un peu trop d'ailleurs;on a l'impression d''être embarqué dans une excursion culturelle, avec un tour operator abusif, comme le sont d'ailleurs les héros du livre.
Les héros, parlons-en. Ou plutôt n'en parlons pas trop, il n'y a pas grand chose à en dire tant ils sont caricaturaux et stéréotypés, comme les méchants d'ailleurs ; et pourquoi ces derniers sont-ils aussi méchants ?
Sur le suspense, on n'est pas volé. Bussi connait sur le bout des doigts toutes les astuces de l'auteur de page turner. Quoique...on sait bien que l'histoire ne se terminera pas trop mal. Et, pour peu qu'ont ait lu, par exemple, le matin des magiciens (j'avoue, je l'ai fait, mais c'était il y a très longtemps et j'étais très jeune), dès que le Livre d'Enoch et les Elohim pointent le bout de leur nez, on sait quelle est la clé du mystère;eh non, Monsieur Bussi, contrairement à ce que vous écrivez dans la préface, ce n 'est pas une idée originale, cela fait plus de soixante ans qu'elle traîne dans tous les bouquins d'ésotérisme, et dans pas mal de romans de SF bas de gamme, ceux du regretté Jimmy Guieu par exemple, très amusants à lire à quinze ans dans les années soixante lors de vacances à la campgne un peu ennuyeuses.
Au fait, au sujet de l'appellation Elohim, c'est une des manières détournées de nommer Dieu, dont on n'a pas le droit de prononcer le nom, dans la religion juive ; quand au pluriel, il est de majesté, comme vous en français, ou lei en italien.
Et tant que j'y suis : oui, on retrouve le mythe de l'Arche dans un certain nombre de cultures (mais pas dans toutes), mais non, l'explication est toute simple : à la fin de la glaciation de Würm, quelques douze mille avant notre ère, la fonte des glaciers a entraîné en quelques siècles une hausse du niveau des mers d'environ 120 mètres ; la submersion de la Méditerranée, qui se traversait alors à pied sec, par les eaux de l'Atlantique, a dû être assez spectaculaire. Et naturellement toutes les cultures ont vécu alors des expériences comparables.

Sur un autre plan, on peut regretter aussi quelques passages pornographiques et/ou sadiques qui n'apportent rien à l'action,

Une qualité cependant, mais bien relative : quand même moins d'invraisemblances que chez Dan brown, notamment dans la psychologie des personnages. Il est vrai que c n'est pas difficile
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À l'image de Dan Brown, Michel Bussi nous explique dans son avant-propos que tout dans son récit,hormis quelques petits arrangements de convenances, est vrai. Contrairement au Da vinci code qui se contente d'adapter façon thriller "L'Énigme sacrée",La dernière licorne est un roman parfaitement documenté, sur le mythe de l'arche de Noé que l'on retrouve non seulement dans les trois religions monothéistes mais également dans de nombreuses légendes à travers différentes civilisations. de lieux emblématiques, aux vitraux de différentes basiliques, de célèbres tapisseries aux multiples oeuvres littéraires, jusqu'à "l'anomalie Ararat"découverte en 1840, les preuves seraient disséminées à travers le monde.En ce sens,le travail de synthèse de l'auteur est remarquable et passionnant par sa rigueur et son authenticité.
Dans un style assez différent de ses précédents ouvrages,il déroule une histoire des plus classique de jeu de pistes dans la quête d'informations. du déjà vu,rebattu à maint reprises,décevant de platitudes,de confusion et de clichés standards.C'est bien exposé, les chapitres sont courts, mais manquent de suspense,de justesse et de rationalité. Les personnages sont creux, ambigus, superficiels et trop caricaturaux pour êtres crédibles. Les péripéties qu'ils affrontent, sauvetages miraculeux, retournements de situation inespérés,rebondissements fortuits sont tout simplement invraisemblables et l'intrigue, qui traîne en longueur finit par désappointer. Les bons comme les méchants sont toujours au bon endroit au bon moment et franchissent sans difficultés ni défaillances les obstacles dressés sur leur route au mépris d'un réalisme des plus élémentaires. L'adjonction de scènes de tortures purement gratuites, d'un soupçon de sexe et d'une improbable romance n'ajoute rien à l'histoire hormis une notable forme de consternation. En conclusion, la révélation extraordinaire censée ébranler l'humanité, sans singularité ni surprise, tient plus de l'anecdote rebattue que de l'illumination céleste
Le thème était pour le moins original et l'enquête autour de l'Arche de Noé aurait pu être véritablement intéressante voire prenante mais en se laissant aller à une surenchère d'actions aussi violentes qu'injustifiées,de comportements obscurs et de théories ahurissantes et plutôt nébuleuses,l'auteur limite l'impact de son dessein.En occultant le fait que même une fiction se doit d'être un minimum concevable et plausible pour susciter l'attention et captiver,Michel Bussi passe à coté de son sujet et déçoit à nouveau après le ridicule et insipide le temps est assassin.
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Séduite par la description de l'éditeur, j'ai acheté l'audio-livre qui est publié sous un pseudonyme, ne sachant donc pas qui en est l'auteur, et par conséquent, pas à quoi m'attendre.
Je n'ai pas aimé du tout, les personnages sont très superficiels et l'intrigue, qui traine en longueur, a fini par me lasser, mais pour les amateurs du genre, le livre doit présenter un certain intérêt: bien construit, avec différents espaces-temps qui finissent par s'imbriquer, des rebondissements, du suspense.
Je pense cependant qu'il vaut mieux l'avoir en livre papier, car les personnages sont nombreux, et on peut avoir besoin de retourner en arrière pour s'y retrouver.
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Que c'est mal écrit, c'est pompé sur le Da Vinci Code, en beaucoup plus mauvais ! Un plagiat raté...
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Vraiment très compliqué !
Une grande déception.
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