Comment mieux définir et expliquer ce qu'est le livre [Abdos sans risque] ?
Nous vous proposons de le comprendre par cette vidéo où son auteure, Blandine Calais-Germain y explique sa genèse, son intérêt et a conduit son ouvrage à une référence unique.
Quelques lignes de l'auteure :
"Comment est né le livre Abdos sans risque ? Depuis des années, je décrivais ces muscles dans des cours d'Anatomie pour le mouvement.
Je les ai vus, omniprésents dans la vie humaine : ils participent aussi bien à la posture debout qu'à certaines respirations, à tout changement de position du tronc, sont présents quand on parle, crie, chante ou rit, et bien plus encore…
J'ai donc passé du temps à revisiter leur anatomie, à les dessiner en détail dans quatre posters. Cela m'a amenée à mieux voir comment ils constituent un feuilletage de fascias et nappes contractiles, qui s'entrecroisent et se combinent. J'ai souhaité tenir compte de cela pour les travailler, dans des exercices qui alternent tout le temps l'étirement d'une couche avec le raccourcissement d'une autre, pour activer leur micro-circulation, comme s'ils se massaient entre-eux au cours des mouvements.
Je voyais également les pressions que ces muscles peuvent amener sur le périnée et même sur la paroi du ventre et qu'il fallait toujours les muscler en éloignant les côtes du bassin… ce que j'appelle « désimpacter le tronc »
Beaucoup d'autres réflexions ont donné naissance à une méthode d'abdominaux complètement inédite : « Abdos sans risque ». J'ai continué à les dessiner sous tous les angles. La méthode et le livre sont arrivés en même temps. Aujourd'hui, sur Abdos sans risque, il y a vingt années de retour d'expérience. C'est un travail d'abdominaux qui laisse la sensation d'avoir grandi, et d'avoir une nappe d'abdominaux très vivants autour du ventre. le livre explique la méthode et toute la réflexion sur laquelle elle s'appuie."
Pour en savoir plus :
http://bit.ly/abdosNE
L'ouvrage est disponible dans les meilleures librairies ou sur notre site.
Blandine Calais-GermainAnatomie pour le mouvement tome 1 sur 2
/5 15 notes
Présente de manière vivante un panorama des os, des articulations, des muscles, en liaison directe avec le mouvement. Un livre de base qui permet d'acquérir facilement les connaissances en anatomie indispensables à toutes techniques corporelles. Broché 17 x 24 - Nombreuses illustrations N&B - 300 pages
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Résumé :
Présente de manière vivante un panorama des os, des articulations, des muscles, en liaison directe avec le mouvement. Un livre de base qui permet d'acquérir facilement les connaissances en anatomie indispensables à toutes techniques corporelles. Broché 17 x 24 - Nombreuses illustrations N&B - 300 pages
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Cet ouvrage d'anatomie a été réalisé par une ancienne danseuse et kinésithérapeute. Les muscles et les articulations mobilisés lors de différents mouvements sont représentés par des dessins sobres et précis selon les trois axes sagittal, frontal et latéral, accompagnés d'explications minimalistes mais jamais lacunaires.
Citations et extraits (7)
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Mais ce dernier [le cartilage] peut être lésé, soit au cours de circonstances amenant des chocs, soit par une usure excessive (si les surfaces ne sont pas bien ajustées l’une à l’autre, par exemple).
La lésion cartilagineuse s’appelle l’arthrose, elle s’accompagne souvent d’une souffrance régionale : enraidissement articulaire et musculaire.
La lésion cartilagineuse s’appelle l’arthrose, elle s’accompagne souvent d’une souffrance régionale : enraidissement articulaire et musculaire.
Quand un mouvement est fait par le muscle acteur de ce mouvement, la contraction est dite concentrique. Il y a rapprochement des insertions musculaires.
Quand un mouvement est freiné par les muscles opposés à ce mouvement, leur contraction est appelée contraction excentrique. Il y a éloignement des insertions musculaires.
Quand une attitude est fixée par une contraction musculaire, on dit que cette contraction est statique. Les insertions du muscle ne bougent pas.
Quand un mouvement est freiné par les muscles opposés à ce mouvement, leur contraction est appelée contraction excentrique. Il y a éloignement des insertions musculaires.
Quand une attitude est fixée par une contraction musculaire, on dit que cette contraction est statique. Les insertions du muscle ne bougent pas.
Résumé des mobilités :
Dans la colonne dorsale, tous les mouvements sont possibles, mais très limités par la cage thoracique qui s’attache sur les vertèbres.
Ceci est vrai surtout pour les vertèbres T1 à T7 (région entre les omoplates) dont les côtes sont reliées presque directement au sternum, en avant, par un court cartilage.
Les vertèbres T8 à T10 supportent les « fausses côtes », déjà plus libres en avant : leur relais au sternum se fait par un cartilage plus long, rattaché lui-même au cartilage de la 7e côte. Leur mobilité est donc moins entravée.
Enfin, les vertèbres T11 et T12 portent les côtes « flottantes », non reliées au sternum. Elles sont une région charnière à grande mobilité.
Dans la colonne dorsale, tous les mouvements sont possibles, mais très limités par la cage thoracique qui s’attache sur les vertèbres.
Ceci est vrai surtout pour les vertèbres T1 à T7 (région entre les omoplates) dont les côtes sont reliées presque directement au sternum, en avant, par un court cartilage.
Les vertèbres T8 à T10 supportent les « fausses côtes », déjà plus libres en avant : leur relais au sternum se fait par un cartilage plus long, rattaché lui-même au cartilage de la 7e côte. Leur mobilité est donc moins entravée.
Enfin, les vertèbres T11 et T12 portent les côtes « flottantes », non reliées au sternum. Elles sont une région charnière à grande mobilité.
L’os doit sa rigidité à ses composants minéraux (environ 2/3). En même temps, il possède une certaine élasticité, grâce à ses composants organiques (1/3).
Ces deux qualités sont indispensables à la solidité de l’os (si l’os était trop rigide, il serait cassant, si l’os était trop souple, il serait déformable).
Ces deux qualités sont indispensables à la solidité de l’os (si l’os était trop rigide, il serait cassant, si l’os était trop souple, il serait déformable).
[A propos du psoas]
Il semble que comme muscle placé « d’étage à étage » dans la convexité de cette colonne, il participe à ériger celle-ci, agissant en synergie avec les para-vertébraux lombaires. L’ensemble fait alors une « poutre composite », formée de la colonne lombaire entourée de quatre manchons musculaires. Le psoas se montre alors plutôt comme un muscle « redresseur », voire délordosant, du rachis lombaire. C’est ce qui ressort d’enregistrements électro-myographiques effectués sur des sujets en mouvement (une électrode souple ayant été introduite au sein du muscle).
Il semble que comme muscle placé « d’étage à étage » dans la convexité de cette colonne, il participe à ériger celle-ci, agissant en synergie avec les para-vertébraux lombaires. L’ensemble fait alors une « poutre composite », formée de la colonne lombaire entourée de quatre manchons musculaires. Le psoas se montre alors plutôt comme un muscle « redresseur », voire délordosant, du rachis lombaire. C’est ce qui ressort d’enregistrements électro-myographiques effectués sur des sujets en mouvement (une électrode souple ayant été introduite au sein du muscle).
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