Je ne l'ai pas encore terminé, mais le livre est agréable à lire, d'autant qu'il est ponctué de petites illustrations. Même si l'histoire n'est pas formidable, la narration est assez fluide. Ce n'est pas le livre de l'année, mais en tout cas c'est une bonne lecture détente.
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Le carnet de Théo c'est une histoire fraîche et pleine de vivacité qui m'a fait mourir de rire. L'héros, Théo, est un rebelle qui n'aime que trois choses dans sa vie : les mangas, le rock et son chat Kyô ( qui est hilarant, vous verez pourquoi en lisant ). Donc, Théo est franchement anti-pathique il n'a d'ailleurs qu'un seul et unique ami : Samuel. Ce dernier est le garçon le plus ringard du collège, avec, en bonus, une mère à moitié psychopathe et des notes largement en dessous de la moyenne ( ce qui ne plait pas vraiment à celle ci ). Théo à lui aussi deux qualités/défauts, comme on veut : une franchise et un humour dévastateurs.
Ce bouquin mérite largement les trois étoiles que je lui accorde, j'ai eu plusieurs crises de fous rires et de nombreuses fois le sourire aux lèvres en le lisant. J'attend d'ailleurs de lire la suite avec impatience.
La lecture, très facile ( je l'ai finis en un trajet en voiture d'à peu près deux heures ) est ponctuée par plusieurs dessins de mangas que Théo fait.
En le lisant vous aurez deux bonnes surprises : une au milieu et l'autre à la fin du livre.
Très bonne lecture !
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Je n'ai pas été convaincu plus que ça par ce livre. Mais parlons d'abord des points positifs : c'est court, facile à lire, les dessins sont sympas (bien que répétitif), l'histoire est “mignonne”, j'ai bien aimé Théo, Samuel et Kyô (le chat hyperactif), j'ai adoré Léandro (le fils que je voudrais ) et sa mère ! Pas mal de choses m'ont fait rire, et puis vu que ça parle japon, manga, musique, et que Théo est une associale finis j'étais forcément contente. Seulement mon avis reste mitigée et ce pour plusieurs points : Les dessins sont définitivement trop répétitifs (comme si nous dans nos carnets intimes on mettait 14 fois le même dessin??). Ishiguro est un personnage que je n'ai absolument pas aimé (trop calme, trop “psy”, trop bizarre, à ne jamais répondre aux questions qu'on lui pose comme s'il était hyper mystérieux, et puis il ne me rassurait pas). Certaines phrases sont en japonais, tu sais pas pourquoi, ça m'a un peu gonflé (et oui). J'ai relevé des fautes (et ça m'a pas fait rire non), quand on parle de quelques choses, on se renseigne, flute (même si je suis sûre que l'auteur s'y connait, mais bon, peut-être que l'éditeur non). le passage en allemagne m'a fait hurlé : trop stéréotypé : en gros les allemands sont gros, hystériques, ont des blagues de m** et leurs filles portent des couettes, ce sont des bouffeurs de saucisses (et de graisses)… Moui. Ah oui, une chose m'a fait cependant sourire, c'est l'allemand qui agresse Théo parce qu'elle traverse au rouge (et en allemagne, on est mieux élevé qu'en France, on ne traverse pas quand le bonhomme est rouge, et pan (oui les stéréotypes de m** j'aime pas ça)). En plus, Théo ne fait que se plaindre touuuuut le temps (pas seulement en allemagne, mais là surtout) pour ensuite pleurnicher qu'elle est triste de partir… (sale chieuse !) La fin… Je ne lui reproche pas d'être courte où d'annoncer une suite (qui de toute manière viendra bientôt), mais surtout de n'avoir aucun sens. Oui c'est pour créer du suspens, okay moi aussi j'aime en créer, mais j'aurais aimé une explication sur la chose. M'enfin. Et pour finir ce qui m'a dérangé c'est l'histoire des photos, alors j'ai bien rigolé au début, mais quand on apprend le fin fond de l'histoire j'étais tellement traumatisé que je me demandais pourquoi mettre un truc aussi triste dans un bouquin pareil? C'est comme si au milieu d'une tragédie, t'avais un clown qui faisait faire son numéro quoi. En plus, les parents de Théo sont vraiment pas bien dans leur tête, je les trouve insupportables. Voilà, je crois que c'est tout. Bon ma critique a l'air sévère comme ça, mais j'ai tout de même passé un bon moment, c'était pas désagréable à lire, et j'ai quand même bien ris (pi Théo par certain côté me rapelle moi !)
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