Après vérification, je me suis aperçu que je n'avais plus lu d'album de la série "Les Tuniques Bleues" depuis au moins vingt-cinq ans et le numéro 38 "Les planqués". Puis j'étais passé à autre chose et j'avais lâchement abandonné cette série. Je suivais bien de loin en loin la parution de nouveaux albums mais sans m'y intéresser plus que cela, m'étonnant même que les auteurs trouvent encore matière à sortir de nouveaux tomes. Et puis... cette semaine je suis tombé par hasard sur cet album vendu pour quelques euros et je me suis dit pourquoi pas...
Eh bien, z'aurais pas dû ! Quelle déception ! Tout le tome tourne autour des chevaux et d'Arabesque, celui du caporal Blutch, en particulier. Mais ce sont en fait des histoires courtes de 5-6 planches, la dernière étant plus développée sur quinze planches. Cette dernière est d'ailleurs la plus intéressante car elle raconte la genèse d'Arabesque avant que cette jument ne devienne un cheval de l'armée. Les autres historiettes ne sont que de petits gags, qui m'ont à peine arraché un sourire, et qui narrent les péripéties de Chesterfield pour faire d'Arabesque un vrai cheval de cavalerie.
En fait, on dirait que les auteurs avait une histoire mais comme elle ne tenait que sur quinze planches ils ont vidé leurs fonds de tiroirs et ont rempli l'album avec de petits gags.
Est-ce que les tomes précédents et suivants sont bâtis comme celui-ci ou je n'ai pas eu de chance et j'ai fait l'acquisition du moins bon de la série ? Et là je viens de comprendre pourquoi je l'ai déniché à trois euros !! Toujours se méfier quand c'est pas cher !
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Le célèbre cheval du caporal Blutch est enfin mis à l'honneur. On découvre ici à travers de courtes histoires la vie d'Arabesque mais surtout comment elle est entrée dans la vie de Blutch. Un tome 48 touchant et drôle à la fois.
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Tout d'abord, cet album recouvre plusieurs petites histoires avec Arabesque qui reviennent sur ses origines, son amitié avec Blutch... ce qui en ressort, ce sont des histoires plus ou moins intéressantes mais plutôt « moins » que « plus ».
Des récits assez plats, sans humour, sans entrain et qui n'ont d'intérêt que de connaître Arabesque beaucoup plus mais cela s'arrête là.
Cauvin a eu la flemme de trouver une histoire complète pour raconter toutes ces histoires et une seule, à eu la flemme de trouver de bons gags et enfin la flemme de terminer ces histoires qui finissent toutes... platement (notamment la dernière sur les origines d'Arabesque).
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Je ne connais pas très bien les Tuniques Bleues mais j'ai décidé de me rattraper en piochant des tomes chez mon libraire.
J'ai choisi celui-ci pour découvrir les origines de la monture de notre caporal préféré et je ne suis pas déçu.
En quelques courtes histoires, on découvre Arabesque : des situations amusantes ou plus dures quand on apprend ses origines.
C'est simple, prenant et émouvant. Bref, un très bon moment de lecture.
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- Blutch : Souvenez-vous, sergent… Nous avions dû nous séparer de nos premières montures. Mon cheval était devenu allergique à la poudre à canon et le vôtre souffrait d’un eczéma généralisé…
- Chesterfield : Foutaises !
- Blutch : J’ai ouï-dire que c’est parce qu’il n’arrivait plus à vous supporter.
- Chesterfield : Des on-dit que tout cela ! Ça n’a d’ailleurs jamais été prouvé !
J'étais sûr qu'elle était en de bonnes mains!
Connaissez-vous le créateur des Tuniques bleues?