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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Un policier, Melchor, qui est entré dans la police dans l'espoir d'élucider le meurtre de sa mère, est confronté à un crime ignoble, la torture et l'assassinat de deux personnes très âgées et très riches, dans la Terra alta, une région de Catalogne à l'écart de tout. ● Il y a bien un roman policier dans ce roman, mais il est secondaire par rapport à la psychologie et à la vie de Melchor. Aussi le récit est-il assez lent, avec de nombreuses analepses. ● Son thème principal est la justice : peut-on se faire justice soi-même ? La justice portée à son plus haut degré ne revient-elle pas à de l'injustice ? Tout cela sous le haut patronage de Victor Hugo et de ses Misérables, roman très souvent cité, Melchor s'identifiant à Javert. ● le livre se lit sans déplaisir mais il faut être conscient de ce qu'on peut venir y chercher. Je pensais avoir affaire à un thriller, je me trompais et mes attentes ont été déçues.
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Très louangé, ce titre m'a toutefois laissée sur ma faim. J'ai comme l'impression que ce premier tome n'est qu'un amuse gueule. Un titre pour titiller ma curiosité, pour que je me lance sur les traces de l'inspecteur Melchor Marin à Terra Alta. Pour que je le suive....
Après une adolescence de délinquance, après une vie de jeune adulte garde du corps d'un chef de cartel, après des années en prison, Melchor décide de se refaire une vie. Il se lance dans les études et devient policier...casier judiciaire effacé semble-t-il et voilà, peau neuve! Durant ses années de prison, Melchor découvre Victor Hugo et se passionne pour Les Misérables. Certains des personnages lui serviront presque de guide dans sa vie. Si Melchor se décide à devenir policier, c'est qu'il est hanté par la recherche des assassins de sa mère, prostituée à Barcelone.
Puis, les attentats terroristes de Cambrils font de lui un héros mais un héros qui devra prendre le large pour sa propre sécurité. Il atterri donc à Terra Alta où il devra enquêter sur le meurtre sordide de deux riches vieillards propriétaires de presque tout ce qui se trouve dans cette région .
Mais j'ai eu comme l'impression que tout ce qui arrive n'est que le prétexte à nous parler de Melchor. Cette enquête policière, car enquête il y a bien sûr, est en périphérie, le sujet principal reste véritablement le personnage de Melchor, sa psychologie, ses valeurs, sa vie, sa quête de justice. Et surtout, peut-on se faire justice soit même ? Enquête policière où, pour ma part, dès le début de celle-ci, j'ai identifié les principaux criminels. C'est trop évident par la façon dont le tout nous est amené.
Malgré le rythme lent de la narration et même avec ses nombreux retours en arrière, celui-ci reste précis. Une écriture claire, nette et intelligente.
Je me laisserai probablement tenter par le tome deux. On verra.

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Dans le roman qui le rendit célèbre, « Les Soldats de Salaumine », Cercas raconte comment le salaud qu'était l'idéologue de la phalange, Rafael Sanchez Mazas, fut sauvé par un républicain qui le laissa s'enfuir.
Vingt ans après, Cercas reprend un thème similaire en imaginant un lecteur foudroyé par « Les Misérables » de Hugo, admirateur moins de Jean Valjean que de Javert, le justicier psychorigide qui, faisant fi de toutes ses convictions, laissa finalement s'enfuir l'ancien forçat.
Le Républicain, comme Javert, et comme le héros de « Terra Alta », pourrait se reconnaître dans cet aphorisme du sous inspecteur Barrera: « Écoutez, faire justice, c'est bien. C'est pour ça que nous sommes devenus policiers. Mais quand on pousse le bien à l'extrême, il se transforme en mal. » Comme Sartre aussi, qui développa ce thème dans « Le Diable et le Bon Dieu », ou comme d'ailleurs n'importe quel séminariste dès lors qu'il a réussi à passer en deuxième année (Tiens! Penser à relire « Le Moine »).
C'est bien ce qui me gêne ici: oui, le livre est indubitablement un Cercas, mais un Cercas affadi, simplifié, qui recycle des thématiques vues partout, assez mou du genou pour tout dire.
Donc Melchor, ancien taulard (comme Valjean), s'offre une deuxième vie en devenant policier (comme Vautrin, « Les Illusions perdues » faisant aussi parti des livres dévorés par Melchor). Il faut dire que Melchor, pas très futé au départ, se trouvera un mentor en prison (comme avant lui Edmond Dantes pour qui la vengeance est un plat qui se mange très froid et dont l'ombre tutélaire invite à se désolidariser du républicain compatissant pour piétiner la tronche de ce salaud de Mazas). Ça fait beaucoup de références littéraires tout ça, d'ailleurs, après avoir lu « La Vie mode d'emploi », Melchor s'écriera : « On dirait qu'on a mis tout un tas de romans du xixe dans un seul du xxe ». Cercas se prend pour Perec, y'a pas de mal, Hugo se prenait bien pour Chateaubriand.
Devenu l'homme qui lit, Melchor trouve l'amour, baptise sa fille Cosette (ce qui est de mauvais augure pour sa mère) et choisit finalement le pardon à la manière de Javert mais sans la noyade volontaire par laquelle le policier mettait fin à ses affres identitaires. Ici, l'eau, comme dans « La Peste », devient lustrale, et vas'y que l'apprenti roi mage abandonne sa colère au fond de la mer pour enfin trouver la paix.
Alors, certes, Cercas nous l'a annoncé d'emblée : ce sont les lecteurs qui terminent les livres en y trouvant ce qu'ils étaient venus y chercher. J'entends bien que chez Hugo la loi des hommes s'efface devant celle de Dieu mais Valjean est le peuple crucifié pour avoir volé du pain, pas pour avoir torturé des vieillards. J'entends bien aussi que la réconciliation nationale ne peut se faire sans briser le cercle des vengeances. Mais la référence insistante aux Misérables ne rend pas service à Terra Alta. Lorsque Melchor décide de ne pas faire arrêter le coupable, c'est parce qu'il estime que ce dernier a rendu la justice à sa manière. Ce n'est pas Javert découvrant l'humanité, ce n'est pas M. Madeleine sacrifiant sa vie, c'est l'inspecteur Harry qui défend la loi du Talion.
Reste une scène magnifique où deux hommes se font face, l'un coupable mais demandant à l'autre de ne pas le dénoncer, parce qu'il n'a agi qu'au nom de l'amitié, une scène troublante parce que le coupable y est à la fois totalement responsable et plein d'humaine faiblesse. Mais tout le livre ne ressemble pas à ça.
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Les romans policiers attirent souvent par leur intrigue, parfois par leur dimension sociétale, et rarement par leur style. le polar, c'est sec, factuel. le genre ne se prête guère à l'emphase ou aux phrases ampoulées.
Terra alta est un roman policier espagnol d'un auteur qui a fait ses preuves dans le roman au sens « noble » du terme. Mais il n'y a pas, ou peu, de noblesse dans le polar. Passer une page à décrire les sentiments intimes d'un personnage, intercaler des réflexions dans un dialogue sans même aller à ligne ; voilà des manières qui peuvent passer dans le roman, mais qui sont un peu hors sujet dans un roman policier.

Le style ne m'a pas plu. J'essaye là d'expliquer pourquoi ce polar qui tourne autour de l'assassinat, après actes de torture, d'un vieux patron capitaliste assez déplaisant et de sa femme, dans une région isolée de la Catalogne, la Terra alta, a été d'une lecture pesante.
Passons aussi sur le goût, fort étonnant venant d'un policier, ancien délinquant, pour Les Misérables de Victor Hugo, et de manière générale avec les textes du XIX éme siècle. Ainsi que sur les discussions animées qui en résultent avec sa femme bibliothécaire. On n'y croit guère - et pourtant cela occupe un nombre de pages conséquent.

Le même récit, raconté autrement, aurait sans doute été plus prenant. Là, malgré des chapitres en flash-back sur le parcours du héros Melchor, qui sont presque ce qu'il y a de plus réussi dans le roman, les rebondissements sont rares. Cervas amène son final comme s'il était tout ce qui justifiait les pages précédentes : un aboutissement, qui n'en est pas un.
Ce n'est pas un mauvais livre. Juste un roman assez pesant, lourd dans sa forme, qui recèle de bonnes parties malheureusement enchâssées dans une intrigue manquant de rythme.
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Javier Cercas aime écrire et il écrit bien. Lorsqu'il raconte une histoire, il l'enrobe de mille détails ; il la pare d'une ampleur démesurée, conférant à des lieux communs le souffle d'un drame mémorable. Mieux vaut avoir Les Misérables sous le coude pour recueillir le suc d'une rédemption, prélude à une grande romance, étouffée dans la violence.
Il y a enquête, certes, mais l'essentiel est ailleurs. Dans ces terres sèches et pauvres, dans ces blessures inguérissables d'une guerre civile sanglante. L'auteur espagnol parle de son pays avec feu, sur le débit d'un conteur méditerranéen, volubile lyrique, au point de m'étourdir et de me lasser. Je préfère garder le charme de mon premier Cercas (À la vitesse de la lumière) et laisser Melchor à ses aficionados inconditionnels.
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Javier Cercas décide pour ce dernier opus de s'aventurer dans une contrée inabordée par sa plume jusqu'alors avec un polar plutôt bien troussé !
Une saison consacrée à la découverte du genre pour moi .
Hormis un plaisir facile et quelquefois soporifique tant la banalité des intrigues finit par éculer ma curiosité , mon incursion dans le genre risque fort de se terminer plus tôt que prévu .
Meurtres , enquêtes, résolutions , un contexte social et/ou géographique agrémentant un peu la sauce et" envoyé c'est pesé ", un de plus sur les têtes de gondole ...
Alors pour se distinguer parmi cette abondance de productions , il en faut du talent : d'aucuns sauront sortir du peloton par leur griffe , d'autres par l'attachement du lecteur à un enquêteur en produisant une série , certains sauront rallier les deux et rentrer dans les classiques ( L'inimitable et unique Simenon ) ...
Cercas évidemment ne brillera pas par son style littéraire : brouillon souvent , journalistique ( n'oublions-pas qu'il est avant tout un chroniqueur au journal " El pais") , désordonné, foisonnant et redondant ... Mais tout comme Carrère qui écrit comme un cochon ( Chut ) , voilà un homme qui a des choses à dire , et pas des moindres ... Cependant , loin de tourner autour de son nombril contrairement à Carrère( pas toujours... Rappelons-nous l'excellent "L'adversaire") , ses thématiques quasi obsessionnelles tournent autour de la douloureuse histoire de son pays , du sens de la vérité , de l'identité, la justice etc ...
Alors oui , il sera bien question d'un meurtre , d'une enquête , et tout le tsoin-tsoin classique d'un polar convenu et les amateurs du genre ne seront pas déstabilisés .
Classiquement aussi le microcosme sociétal est utilisé , ce qui lui permet de nous faire voyager sur ces Terra Alta , région située au sud de la Catalogne , terre aride et sans grand attrait, mais aussi et surtout marquée par l'histoire récente avec la sanglante bataille de l'EBRE .
On y retrouvera Melchor , ancien délinquant en quête de résilience , devenu policier par souci non pas de rachat mais de vengeance , Melchor, le gamin des rues de Barcelonne, élevé à la" vas-y que je te pousse ", immergé brutalement sur ces terres inconnues accompagné de son vade-mecum" Les misérables " , puisant inlassablement des réponses auprès de Victor Hugo et s'identifiant à Jabert , " ce faux-méchant" selon son regard d'écorché avec une finesse d'analyse amputée par des carences culturelles .
Melchor , personnalité toute de guingois , cherchant des accroches pour appréhender le monde , se réfugiant auprès de son livre doudou , sa bible, compagnon de route .
Melchor et ses blessures évoluant à l'instinct primitif , sens en éveil tentant d'intellectualiser ses ressentis .
Et en échos , une société toute aussi meurtrie , par l'histoire , cette grande histoire s'infiltrant insidieusement dans l'inconscient collectif , cette grande histoire effaçant la plus petite , celle des petites luttes intestines inhérentes à ces terroirs repliés sur eux-mêmes produisant des bombes à retardement (car la loi de cause à effet , personne ni rien n' y échappe ).
A travers une banale histoire de meurtre , Cercas reprend ses thèmes de prédilection et construit un polar intelligent et finement équilibré entre l'intrigue et la dimension d'ouverture .

Indulgente je suis peut-être ...Mais après toutes les daubes que je me suis enfilées ces derniers temps dans ce registre , Cercas s'échappe un chouilla du peloton .
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Je fais confiance aux 3 T de Télérama : « haletant », « histoire d'Espagne »… le début est un mélange entre une belle histoire morale grâce à la lecture des Misérables de Victor Hugo et un drame personnel moteur du revirement. La suite m'interpelle plus avec les attentats en Catalogne en 2017, ça continue à prendre corps avec l'exil en Terra Alta,. Puis un tableau de scène du crime me ramène à du déjà vu. L'intérêt redémarre grâce à une idylle émouvante dans l'air du temps. L'enquête devient plus complexe, je cherche à mon tour, c'est seulement à la toute fin qu'on mesure les effets de la guerre même si quelques signes annonçaient un possible lien. Une lecture avec des hauts et des bas qui ne cache pas les bases d'une suite. Avis mitigé.
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Terra Alta a reçu le Prix Planeta 2019.

Cela a été pour moi une lecture agréable, un récit de pure fiction qui allie le roman policier à une chronique sociologique de la terre catalane axée sur Terra Alta dans la province de Tarragone dont la capitale est Gandesa, ville où réside le héros du roman, le policier Melchor Marin.

J'ai trouvé que l'histoire policière n'était pas le sujet le plus intéressant du livre, bien que nous ayons un crime atroce perpétré chez les personnes les plus riches de Terra Alta, le couple Adell.
Ce sont les Mossos d'Esquadra qui mènent l'enquête, assez difficile. Et parmi ces policiers il y a Melchor Marin, un jeune policier marqué par un passé plus que difficile. Sa mère, une prostituée, fut assassinée et le cas jamais résolu. Mais aujourd'hui Melchor est un policier particulièrement impliqué et apprécié par ses supérieurs, même s'il lutte en permanence contre son passé.
Melchor va trouver à Terra Alta un vrai asile et un bel amour.

Melchor est un homme paradoxal qui aime les livres, c'est un lecteur vorace qui aime commenter ses lectures avec sa femme, bibliothécaire. Il est particulièrement attaché au livre de Victor Hugo, Les Misérables, son livre-fétiche, à tel point qu'il a prénommé sa fille Cosette…

Il y a d'autres sujets abordés dans ce livre comme par exemple celui de la bataille de l'Èbre qui joue un rôle important dans la trame. Aussi, on va lire sur les indépendantistes catalans, sur la justice, sur les attentats islamistes, etc.

Les personnages autour de Melchor sont tous bien esquissés, spécialement ses collègues de travail. A tous, l'écrivain Cercas a su leur donner épaisseur, humanité et un caractère bien trempé.
Lien : https://pasiondelalectura.wo..
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Terra Alta est le premier livre de Javier Cercas que j'ai lu. Je suis un peu restée sur ma faim. L'intrigue est un peu "tirée par le cheveux", certains faits improbables. le personnage central manque un peu d'épaisseur, on n'arrive pas vraiment à le cerner, ses sentiments paraissent un peu superficiels, bref j'ai eu des difficultés à me laisser emporter véritablement par ce polar.
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Javier Cercas Mena, né en 1962 à Ibahernando, dans la province de Cáceres, est un écrivain et traducteur espagnol. Il est également chroniqueur du journal El País. Terra Alta, son nouveau roman, vient de paraître.

Melchor, policier ayant acquis une certaine célébrité à Barcelone après avoir abattu quatre terroristes islamiques, s'est éloigné des projecteurs des médias dans un petit poste de police au sud de la Catalogne, en Terra Alta. A peine arrivé, il doit enquêter sur un horrible assassinat, les époux Adell ont été tués et torturés. le mort Adell (et là, les sots s'y sont mis pour voir l'astuce !) était propriétaire d'une cartonnerie d'envergure internationale qui faisait vivre toute la région.

Un polar très bien écrit mais qui m'a longtemps laissé penser que j'en sortirais déçu tant il est vrai que je me demandais si je lisais un polar ou un roman de belle littérature, comme si – à tort – il n'était pas possible de marier les deux concepts, ce que réussit fort bien à faire Javier Cercas.

Le roman procède par flash-backs ce qui nous permet de découvrir la personnalité de Melchor. Fils d'un père inconnu et élevé par une mère prostituée, il connait la petite délinquance et la prison, puis après l'assassinat sordide de sa mère décide de faire les études lui permettant d'entrer dans la police où il va tenter, à ses heures perdues, de retrouver les coupables. Muté dans une petite ville en Terra Alta, il va y connaître l'amour avec Olga, la bibliothécaire qui lui donnera une fille, mais aussi le plus grand des chagrins…

Ces différents épisodes s'intercalent dans le cours de l'enquête sur le décès des époux Adell ; enquête qui avance lentement, tellement même que devant l'absence de résultats probants, le dossier est classé par la hiérarchie de Melchor. Qui ne l'accepte pas et la continue en loucedé à ses risques et périls. La résolution finale de l'affaire trouvera ses origines dans l'Histoire, celle de la bataille de l'Ebre, le plus vaste des combats qui furent livrés durant la guerre d'Espagne entre les forces républicaines et les insurgés nationalistes. Elle se déroula dans la basse vallée de l'Ebre en 1938 et ce fut la dernière grande offensive des républicains, mais elle se solda par un échec tactique et stratégique qui précipita la fin de la guerre.

Le roman est très bien écrit et c'est son principal attrait ; les références littéraires sont nombreuses, Melchor est un grand admirateur des Misérables de Victor Hugo, les personnages de Jean Valjean et surtout Javert le fascinent, il appellera même sa fille Cosette. L'enquête est décrite avec beaucoup de minutie et de précisions ce qui m'avait un peu lassé (?) avant que je ne prenne conscience de la portée morale ou philosophique du bouquin : ce qui court entre les lignes c'est la constatation que « les faux méchants sont les véritables gentils (…) et donc que les faux gentils ce sont les vrais méchants » ainsi que cette interrogation, doit-on condamner un homme qui se fait justice lui-même quand sa cause est juste ?

Un très bon roman illustrant le fameux adage, le malheur des uns (les personnages du livre) fait le bonheur des autres (les lecteurs) !

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