AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,95

sur 51 notes
5
3 avis
4
13 avis
3
1 avis
2
0 avis
1
0 avis
♫ J'accuse
J'accuse les hommes de crimes sans pardon
Au nom d'un homme ou d'une religion
𝒥'𝒶𝒸𝒸𝓊𝓈𝑒 𝓁𝑒𝓈 𝒽𝑜𝓂𝓂𝑒𝓈 𝒹𝑒 𝓈𝑒 𝒸𝓇𝑜𝒾𝓇𝑒 𝓈𝒶𝓃𝓈 𝓁𝒾𝓂𝒾𝓉𝑒
𝒥'𝒶𝒸𝒸𝓊𝓈𝑒 𝓁𝑒𝓈 𝒽𝑜𝓂𝓂𝑒𝓈 𝒹'𝑒𝓉𝓇𝑒 𝒹𝑒𝓈 𝒽𝓎𝓅𝑜𝒸𝓇𝒾𝓉𝑒𝓈
Qui jouent les durs pour enfoncer du beurre
Et s'agenouillent aussitôt qu'ils ont peur
J'accuse les hommes de se croire des surhommes
Alors qu'ils sont bêtes à croquer la pomme
J'accuse les hommes je veux qu'on les condamne
Au maximum qu'on arrache leur âme
Et qu'on la jette aux rats et aux cochons
Pour voir comment eux ils s'en serviront
J'accuse les hommes en un mot comme en cent
J'accuse les hommes d'être bêtes et méchants
Bêtes à marcher au pas des régiments
De n'être pas des hommes tout simplement ♫
- Michel Sardou - 1976 - 𝓇𝑒𝓋𝓊𝑒 𝑒𝓉 𝒸𝑜𝓇𝓇𝒾𝑔é𝑒 𝑒𝓃 1991 -
---♪----♫---⚖---L'AURORE---⚖---♫----♪---
- page 61 - "L'antisémitisme est un fléau,
ce sera le sujet de ma prochaine chronique pour Le Figaro"
Pas de bol, il se fait virer
Esterhazy acquitté,
C'en est trop
Zonner chez l'redact Georges Clemenceau
C'est L'AURORE qui va publier son harangue
Rappel : Zola souffrait d'un cheveu sur la langue !
Extrait de la Une du 12 Janvier 1898 :
"[...] la vérité est en marche, et rien ne l'arrêtera.
C'est aujourd'hui seulement que l'affaire commence, puisque aujourd'hui seulement les positions sont nettes : d'une part, les coupables qui ne veulent pas que la lumière se fasse ; de l'autre, les justiciers qui donneront leur vie pour qu'elle soit faite. Quand on enferme la vérité sous terre, elle s'y amasse, elle y prend une force telle d'explosion, que, le jour où elle éclate, elle fait tout sauter avec elle. On verra bien si l'on ne vient pas de préparer, pour plus tard, le plus retentissant des désastres.
Mais cette lettre est longue, monsieur le Président, et il est temps de conclure.
J'accuse le lieutenant-colonel du Paty de Clam d'avoir été l'ouvrier diabolique de l'erreur judiciaire, en inconscient, je veux le croire, et d'avoir ensuite défendu son oeuvre néfaste, depuis trois ans, par machinations les plus saugrenues et les plus coupables.
J'accuse le général Mercier de s'être rendu complice, tout au moins par faiblesse d'esprit, d'une des plus grandes iniquités du siècle.
J'accuse le général Billot d'avoir eu entre les mains les preuves certaines de l'innocence de Dreyfus et de les avoir étouffées, de s'être rendu coupable de ce crime de lèse-humanité et de lèse-justice, dans un but politique et pour compromis.
J'accuse le général de Boisdeffre et le général Gonse de s'être rendus complices du même crime, l'un sans doute par passion cléricale, l'autre peut-être par cet esprit de corps qui fait des bureaux de la guerre l'arche sainte, inattaquable.
J'accuse le général de Pellieux et le commandant Ravary d'avoir fait une enquête scélérate, j'entends par là une enquête de la plus monstrueuse partialité, dont nous avons, dans le rapport du second, un impérissable monument de naïve audace.
J'accuse les trois experts en écritures, les sieurs Belhomme, Varinard et Couard, d'avoir fait des rapports mensongers et frauduleux, à moins qu'un examen médical ne les déclare atteints d'une maladie de la vue et du jugement.
J'accuse les bureaux de la guerre d'avoir mené dans la presse, particulièrement dans L'Éclair et dans l'Écho de Paris, une campagne abominable, pour égarer l'opinion et couvrir leur faute.
J'accuse enfin le premier conseil de guerre d'avoir violé le droit, en condamnant un accusé sur une pièce restée secrète, et j'accuse le second conseil de guerre d'avoir couvert cette inégalité, par ordre, en commettant à son tour le crime juridique d'acquitter sciemment un coupable.
En portant ces accusations, je n'ignore pas que je me mets sous le coup des articles 30 et 31 de la loi sur la presse du 29 juillet 1881, qui punit les délits de diffamation. Et c'est volontairement que je m'expose.
Quant aux gens que j'accuse, je ne les connais pas, je ne les ai jamais vus, je n'ai contre eux ni rancune ni haine. Ils ne sont pour moi que des entités, des esprits de malfaisance sociale. Et l'acte que j'accomplis ici n'est qu'un moyen révolutionnaire pour hâter l'explosion de la vérité et de la justice.
Je n'ai qu'une passion, celle de la lumière, au nom de l'humanité qui a tant souffert et qui a droit au bonheur. Ma protestation enflammée n'est que le cri de mon âme. Qu'on ose donc me traduire en cour d'assises et que l'enquête ait lieu au grand jour !
J'attends.
Veuillez agréer monsieur le Président, l'assurance de mon profond respect."
-Copié- collé -
(L'article ne figure pas dans cette Bd)
Du bel Hommage à l'auteur des Misérables
Qui permit d'en épargner Un de l'ile du Diable
Pour tous ceux qui sans oriflamme
Et daltoniens de l'âme
Ignorent les couleurs
délivrez-nous du pire et gardez le meilleur...
Commenter  J’apprécie          1175
Passé un temps d'adaptation au dessin à grand traits stylé bandes dessinées début XX éme, avec un côté Pieds Nickelés, signé Vincent Gravé (story-board) et Christophe Girard (story-board, dessin et couleurs), cette biographie romancée en BD d'Emile Zola et de l'affaire Dreyfus s'avère très intéressante.

Les choix graphiques trouvent leur raison d'être dès les premières pages, qui expliquent les liens entre Zola et beaucoup d'artistes de son époque, dont des peintres comme Cézanne ou Pisarro. Une case reprend même le déjeuner sur l'herbe de Monet. Avec ses premiers succès, comme Thérèse Raquin, Zola fréquente des écrivains comme Guy de Maupassant et Alphonse Daudet. Il va développer une oeuvre littéraire en rupture avec le conformiste ambiant, en montrant les injustices sociales.

L'homme aime les femmes, aura quasi-ouvertement ses maîtresses, aime la vie, voyage et vivra vite dans un certain confort. Il est à Rome quand éclate l'affaire Dreyfus. La condamnation du capitaine sur fond d'antisémitisme ne l'affecte pas dans un premier temps.

L'officier subit la déportation en Guyane, le bagne et des brimades toutes particulières. Ses conditions de vie sont déplorables. Ce n'est qu'à l'automne 1897 (l'affaire a éclaté en janvier 1895) que Zola informé du dossier (et de l'identification par le commandant Picquart d'Esterhazy comme étant le vrai traître) va s'engager pour défendre l'officier juif. Une position courageuse face à une opinion majoritairement hostile. Sa lettre au président de la République, titrée J'accuse, publiée par l'Aurore le journal l'Aurore de Clémenceau, après que Le Figaro ait refusé de continuer à publier ses articles, reste son fait d'arme principal. Les débats et procès ont duré et Zola a même été condamné, mais il n'a pas cédé.

Cette BD est une belle vision romancée de la vie d'un écrivain majeur du XIX éme siècle, un témoin de son temps, plus soucieux de défendre l'injustice que d'apparaître en héros d'une cause.
Commenter  J’apprécie          240
Dans cette bande dessinée les auteurs nous raconte la vie d'Emile Zola et son rôle dans l'affaire Dreyfus. Jai trouvé cette biographie romancée intéressante. On y découvre sa jeunesse pas toujours heureuse puis sa réussite en tant qu'écrivain. Emile Zola est aussi connu pour son combat contre l'injustice. Il va tout faire pour faire libérer Dreyfus condamné pour trahison.
Je trouve que cette bd est une belle façon d'en apprendre plus sur ce grand auteur.
Commenter  J’apprécie          150
Roman graphique complet mêlant la vie de Zola et son combat pour Dreyfus. Ni totalement une biographie, ni un album sur une affaire qui aura divisé la France sous la IIIème républiques, mais de façon claire le récit du combat de 2 hommes engagés, prêts à tout perdre au nom de la justice et de l'honneur.
Le dessin est agréable, coloré, et nous plonge dans l'époque.
Commenter  J’apprécie          130

On va avoir droit à la biographie d'Emile Zola qui a été l'un des plus grands écrivains du XIXème siècle. Il était également un journaliste reconnu qui a lutté contre les injustices sociales de son époque.

La dernière partie de sa vie a été marqué par l'affaire Dreyfus et c'est tout l'objet de cette BD. On se souvient de sa publication en janvier 1898 dans la journal « L'aurore » avec le fameux titre: J'accuse. Cela lui a d'ailleurs valu un procès pour diffamation et un exil à Londres. Il a subi une véritable vindicte populaire, chose que l'on ignorait.

L'auteur de la BD va très loin en nous montrant qu'il a été victime d'un assassinat par un acte malveillant au niveau de la cheminée de son appartement et qui provenait des anti-dreyfusard. Il est mort asphyxié en 1902 avec un classement sans suite de cette affaire afin d'éviter une soi-disant guerre civile en France. Il faut dire que cette affaire avait cristallisé les passions ainsi que la haine du juif dans des proportions incommensurables.

On critique souvent l'Allemagne qui est tombé dans les bras de l'antisémitisme. Je me rends compte que la France aurait pu également succombé à ces sirènes malsaines tant la haine de cette catégorie de gens était forte. L'auteur et sa famille vont subir en effet les pires désagréments suite à la parution de son article polémique mais ô combien juste et courageux.

Et puis, il y a surtout l'appareil d'état comme la justice, l'armée ou la présidence qui ne reconnaît pas son erreur et qui s'enfonce en accablant deux hommes serviteurs de la république. Fort heureusement, le Président de la République Félix Faure, anti-dreyfusard notoire, cassera sa pipe au bras d'une prostituée. La vérité est en marche et rien ne l'arrêtera plus.

Le dessin n'est absolument pas un problème car il est sans esbroufe et il correspond parfaitement à son sujet.

C'est en tout cas une belle biographie de Zola car nous avons là un grand défenseur des valeurs de tolérance, de justice et de vérité. Je me rends compte que je ne connaissais rien sur sa jeunesse, sa famille, son épouse et sa maîtresse et surtout sur l'affaire Dreyfus. Bref, c'est l'occasion de s'instruire de cette manière assez ludique. Cela pousse également à une certaine réflexion sur les manipulations du pouvoir et l'instrumentalisation de la justice.
Commenter  J’apprécie          120
Gros coup de coeur cette semaine pour un roman graphique très original. Elle retrace une partie de la vie d'Emilie Zola, en particulier l'affaire Dreyfus qui plongea la France dans une véritable guerre civile.
Les auteurs nous proposent d'entrer dans l'univers du grand homme au travers des yeux de son épouse Alexandrine qui lui sera fidèle jusqu'au bout malgré la double vie de Zola. Cela permet d'avoir un point de vue extérieur mais également crédible notamment en ce qui concerne l'hypothèse de la mort de Zola.
Les dessins sont soignés et les expressions des personnages sont très frappantes. Un gros travail sur les couleurs est également à souligné.
Un roman graphique que je recommande sans hésiter.

Lien : https://nessou3.wixsite.com/..
Commenter  J’apprécie          90
Je n'ai pas su attendre Noël et je me suis offert ce petit bijou. Passionnée par l'oeuvre d'Emile Zola, je n'ai pas résisté à en découvrir davantage sur sa vie et son implication au cours de l'affaire Dreyfus. Dès le titre « l'affaire Zola », on sent cependant que nous allons nous plonger non seulement dans l'histoire d'Emile Zola mais aussi celle d'Alfred Dreyfus. Car voici le talent de l'historien Jean-Charles Chapuzet qui a su mettre de temps en temps le célèbre Zola en retrait pour nous faire découvrir le calvaire d'Alfred Dreyfus. Nous découvrons également que le combat pour réhabiliter celui-ci à tout d'abord été mené par sa famille. C'est d'ailleurs grâce à elle qu'Alfred a pu tenir face à toute cette haine. Sollicité par les défenseurs de Dreyfus, Zola s'est engagé car il n'a pas supporté cette violence liée à l'antisémitisme et cette absence de justice . C'est malheureusement au péril de sa vie qu'il a mené ce combat. Certains pourraient reprocher les dessins presque caricaturaux de ce roman mais ils ajoutent justement le côté absurde de cette affaire. Les visages des protagonistes sont marqués par la haine, la colère, la tristesse. Les dessins sont au service de l'émotion. Pour finir j'ai aimé découvrir les femmes de Zola et de Dreyfus fidèles malgré toutes les menaces et un Alfred Dreyfus courageux qui malgré ce qu'il a vécu arrive encore à dire après un attentat : rien de grave je suis touché au bras. Un roman graphique au service de l'histoire qui rend hommage à Zola mais aussi à de belles âmes révélées par l'affaire Dreyfus.
Commenter  J’apprécie          70
Après la mort de son père, Émile Zola vit seul avec sa mère acculée par les dette de son mari. Zola fera la connaissance de Paul Cézanne grâce à qui il rencontrera Gabrielle. Elle est la muse de plusieurs grands peintres de l'époque mais se rangera auprès d'Émile en l'épousant en 1870. Devenue Alexandrine, elle soutiendra Émile dans son écriture, le poussant au travail et à la découverte du vrai peuple parisien.
C'est ainsi que débute l'écriture et la publication des premiers tomes de la série Les Rougon-Macquart, fortune et célébrité sont au rendez-vous. Les époux déménage à Medan où ils emploieront une certaine Jeanne qui deviendra la maîtresse d'Émile Zola. L'écrivain deviendra père de deux enfants grâce à cette dernière.
Double vie mais équilibre parfait pour l'écrivain qui s'engage bientôt dans la défense d'un juif alsacien, Dreyfus.
Emile Zola publira dans le journal l'Aurore la célèbre lettre à Félix Faure, président de la troisième république, J'accuse. L'écrivain est l'objet d'une haine et sera obligé de s'exiler.

Contrairement à l'album Les Zola de Méliane Marcaggi et Alice Chemama où il est question du couple, L'affaire Zola est centré sur l'implication de l'écrivain à l'affaire Dreyfus, son combat pour faire innocenter cette homme lui vaudra les foudres du peuple. Ce scandale politique est un fait délicat dans un contexte social difficile du à la précédente guerre avec l'Allemagne notamment avec annexion de L'Alsace dont est originaire Dreyfus. En accordant son soutien Emile voit ses livres brûlés en place publique et sa famille menacée. Les dessins montrent le calvaire de Dreyfus au bagne de Cayenne et la colère d'un peuple qui dépasse l'entendement.
La lecture est très agréable.
Lien : http://stemilou.over-blog.co..
Commenter  J’apprécie          70
•ZOLA IN DREYFUS•
🦊 L'affaire Dreyfus. Cette bande dessinée vient mêler l'histoire du capitaine Dreyfus et le combat mené par Émile Zola. Mais ce n'est pas tout, car tout un pan de son existence est étudié avec sa construction littéraire, parfois sur un ton humoristique, en filigrane. Dès le début des planches le décor est planté, du sombre, de la tristesse, de l'injustice. Que serait la vie sans injustice, quel combat mènerions-nous ? Émile Zola qui risquait de lourdes sanctions, s'est battu pour la vérité. Mettant l'antisémitisme sur le devant de la scène avec son personnage Saccard, dans son roman L'argent en 1891, Émile Zola voyait son attitude changer avec l'affaire Dreyfus. Avoir des idéaux ne change pas la face du monde mais peut engendrer une modification d'opinions. Cette bande dessinée est admirable car même si elle n'est pas la plus précise historiquement, comme le souligne l'auteur, le propos est ailleurs. Voir ces personnages historiques si bien croqués par Christophe Girard et autant habités par un scénario de Jean-Charles Chapuzet et story-board de Vincent Gravé, est une petite prouesse. le sujet est certes fourmillant mais pas forcément adaptable en récit graphique. Et pourtant tout fonctionne parfaitement, les dessins amènent une certaine profondeur au propos. À la fois dense, rythmé et réfléchi, l'album est une belle réussite. Aucun manichéisme à l'horizon. On envisage avec délectation les mauvaises facettes de certains personnages. On appréhende une partie de l'Histoire antisémite, où nul n'avait rien à envier aux idées du IIIème Reich. Cette France dont certains ont encore honte sans jamais l'assumer, était bien réelle. Les Etats-Unis sont accusés d'avoir un passé colonial, la France doit être au courant que dès la fin du XIXème siècle et bien avant, les idées nauséabondes fleurissaient. Si le film de Roman Polanski ne retranscrivait pas forcément la realite, la BD y est bien plus conforme. Parce que nul ne doit être accusé ou condamné pour sa religion ou sa couleur de peau, ce récit est une ode à la vérité et la tolérance•••

Intégralité des chroniques sur Instagram et Blog (adresse sur profil)
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Commenter  J’apprécie          60
Ce roman graphique retrace la vie d'Emile Zola avec bien sur l'affaire Dreyfus.
Cela commence par la fin tragique de l'écrivain car si Zola est bien mort suite à une asphyxie à l'oxyde de carbone, il est maintenant dit que cela relèverait plus d'un assassinat que d'un accident.
Si à la fin de ce roman graphique, le rôle qu'à tenu Zola dans l'affaire Dreyfus prend une grande place, une bonne partie est aussi dédiée à sa vie privée et à la relation que l'écrivain entretenait avec sa femme Alexandrine mais aussi sa maîtresse Jeanne, avec qui il aura deux enfants.
Cette biographie est très instructive car au-delà de s'intéresser aux faits majeures qui ont jalonnés la vie de l'écrivain, cela nous permet aussi de nous montrer qui était l'homme, quelqu'un de combatif et d'entier.
Une très bonne lecture.
Commenter  J’apprécie          50




Lecteurs (86) Voir plus



Quiz Voir plus

Les personnages de Tintin

Je suis un physicien tête-en-l'air et un peu dur d'oreille. J'apparais pour la première fois dans "Le Trésor de Rackham le Rouge". Mon personnage est inspiré d'Auguste Piccard (un physicien suisse concepteur du bathyscaphe) à qui je ressemble physiquement, mais j'ai fait mieux que mon modèle : je suis à l'origine d'un ambitieux programme d'exploration lunaire.

Tintin
Milou
Le Capitaine Haddock
Le Professeur Tournesol
Dupond et Dupont
Le Général Alcazar
L'émir Ben Kalish Ezab
La Castafiore
Oliveira da Figueira
Séraphin Lampion
Le docteur Müller
Nestor
Rastapopoulos
Le colonel Sponsz
Tchang

15 questions
5256 lecteurs ont répondu
Thèmes : bd franco-belge , bande dessinée , bd jeunesse , bd belge , bande dessinée aventure , aventure jeunesse , tintinophile , ligne claire , personnages , Personnages fictifsCréer un quiz sur ce livre

{* *}