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sur 142 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Marie Charvet nous entraîne avec ce premier roman dans l'univers de la musique avec l'histoire d'un violon. Son style est simple, limpide, ce roman se lit aisément, un peu comme une bonne tasse de café, un matin où la vie nous sourit.
Si le violon est au centre du roman, ce n'est pas le seul thème de la musique qui est abordé ici.
Mais, aussi tout ce ce qui constitue l'essence de la vie, l'art, l'amour, les liens filiaux, la jeunesse, la vieillesse...
A travers le personnage de Lucie, on découvre la recherche de la peinture comme possibilité d'être, de créer. Avec le jeune gitan, l'art de jouer du violon qui constitue son viatique essentiel dans la vie.
Ce homme d'affaires qui est aussi un collectionneur et un mélomane accompli.
Ce luthier du XVI I, qui transfère à son jeune apprenti la magie de l'artisan pour fabriquer un violon.
Et, puis, cette jeune violoniste dont le collectionneur tombe amoureux.

Au final, ces quatre personnages perdus dans le temps et géographiquement font âme commune autour d'un violon.
Ne serait-ce ce pas le sens caché de ce beau petit roman : L'âme du violon ?

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C'est une bien belle partition que nous offre Marie Charvet.
A travers quatre personnages qui n'ont rien en commun, ni le lieu où ils vivent, ni l'époque où nous les découvrons l'auteure nous offre un roman choral où le temps et l'espace s'entremêlent avec la passion du violon.

Giuseppe, maître luthier italien vivant au 17ème siècle consacre sa vie à essayer de créer l'instrument parfait.
Lazlo, tzigane gagne sa vie grâce à son violon qu'il ballade de ville en ville, magnifiant la musique gipsy, nous sommes dans les années 1930.
Lucie, artiste contemporaine passionnée de peinture enchaîne les petits boulots pour acquérir toiles et couleurs en rêvant d'exposer ses oeuvres. Son lien avec la musique nous est révélé qu'à la toute fin du roman.
Charles dont la vie se partage entre New-York et Paris, toujours entre deux avions ne trouve calme et repos qu'en écoutant de la musique classique.

L'écriture de Marie Charvet est étincelante et hypnotique. L'auteure sait jouer sur l'intensité des émotions comme le ferait un musicien avec le tempo d'un morceau de musique. Les couleurs, les tonalités, rien ne lui échappe. Les protagonistes deviennent des compagnons, si puissants soient leurs caractères et leurs rêves.

« le silence qui suit Mozart, c'est encore du Mozart », oui, je suis d'accord et à cela je rajouterai que le vide qui suit la lecture de ce très beau premier roman, est empreint de nostalgie, de magie, de plénitude qui m'a emplie d'un extraordinaire bien-être.

Merci à NetGalley et aux Editions Grasset.
#LâmeDuViolon #NetGalleyFrance
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L'âme du violon:premier roman Marie Charvet chez Grasset avril 2019
#LâmeDuViolon #NetGalleyFrance

Quatre personnages, trois époques et un premier roman qui allie une histoire originale à une plume plus que prometteuse. Une auteure à découvrir et à suivre sans aucun doute.
XVII ème siècle, Brescia, Giuseppe est un luthier de talent dans l'atelier d'un maitre réputé. Sa spécialité le violon ..
Années 1930 Lazlo et son violon ne se quittent pas et à deux ils enchantent ceux qui les entendent..
De nos jours Lucie une jeune femme rêve de pouvoir enfin organiser sa première exposition et que son talent de peintre soit enfin reconnu.
Charles est un P.D.G de renom, passionné de musique et lorsque sa route croise celle d 'Aure, le monde semble n'être plus exactement le même .
Maintenant que les présentations sont faites il ne vous reste plus qu'à suivre le parcours de chacun et de vous laisser porter .. Un roman à la fois tendre et doux, empli de musique un vrai régal j'en redemande
Un très grand merci aux éditions Grasset pour ce partage , un détour littéraire que je vous recommande chaleureusement .
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En 10 lignes, max ! (Présentation du livre par frconstant)
L'âme du violon est un premier roman publié chez Grasset et signé Marie CHARVET. Fluide et addictive, son écriture nous prend par la main pour nous conter l'histoire de quatre personnages: un luthier du XVIIe siècle, un Tzigane des années 30, une artiste peintre en devenir et un businessman New-Yorkais qui se laisse dévier de sa seule recherche de performances professionnelles pour vibrer à la musique classique et au timbre d'un violon qui pourrait être de ce luthier précité. Un parcours qui invite à se nourrir des rêves et de la pratique de nos artisans pour, enfin, avoir quelques raisons de vivre. Un hymne aux rêves, les nôtres peut-être, qu'il ne tient qu'à chacun de réaliser.

Ma critique :
#LâmeDuViolon #NetGalleyFrance'

L'âme du violon est un premier roman, signé Marie CHARVET et publié chez Grasset. Fluide et addictive, son écriture nous prend par la main pour nous conter l'histoire de quatre personnages: un luthier du XVIIe siècle, un Tzigane des années 30, une artiste peintre en devenir et un businessman New-Yorkais qui se laisse dévier de sa seule recherche de performances professionnelles pour vibrer à la musique classique et au timbre d'un violon qui pourrait être de ce luthier précité. Un parcours qui invite à se nourrir des rêves et de la pratique de nos artisans pour, enfin, avoir quelques raisons de vivre. Un hymne aux rêves, les nôtres peut-être, qu'il ne tient qu'à chacun de réaliser.
L'âme de ce premier roman est le violon. Premier personnage d'un roman choral qui entremêle la vie d'un luthier d'exception du XVIIe siècle, celle d'un jeune rom des années 1930 ayant pour seules richesses son violon et le goût de l'aventure musicale, Lucie, promesse d'artiste peintre de nos jours mais prenant beaucoup de retard dans la réalisation de tous ses projets et Charles, PDG de New-York qui développe une passion pour la musique qui touche l'âme et pour les violons anciens du luthier Giuseppe déjà cité.
Le lecteur voyage du XXVIIe siècle à nos jours, s'émeut de la force vitale qui animait les artisans luthiers, aime à croire au rêve de reconnaissance d'une artiste bohême qui a encore tout à prouver et vibre à la vivacité, mieux, la vitalité qui habite la musique manouche et le jazz qui s'en est nourri et la soif de trouver une musique qui fait vibrer le coeur d'un chef d'entreprise habitué à sillonner le monde pour affaires.
L'histoire tient-elle la route? Les personnages sont-ils crédibles? Peu importe. Ce qui compte c'est la proximité que le lecteur peut développer avec cet artisanat que l'on reconnait enfin, cet espoir d'évasion, de réalisation que vivent nos deux artistes, rom et bohême. Et puis, face à tous ces battants de l'Entreprise et de la Haute Finance, qu'il est bon de pouvoir rêver à un chef d'entreprise capable de se laisser toucher par la musique au point d'organiser son agenda pour cette passion ... et de se réaliser enfin!
Ce premier roman de Marie CHARVET, à la plume fluide et très facile à suivre malgré une construction non linéaire, est une invitation à relier notre histoire à celles de ceux qui nous ont précédés et une ouverture aux passions possibles, qu'elles soient professionnelles, artistiques ou qu'elles fassent sonner la fibre de notre richesse patrimoniale que sont les arts et toutes les formes d'expression qui ont traversé l'Histoire.
Un roman à lire pour le plaisir, pour la satisfaction de redécouvrir des racines.
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Un excellent premier roman que j'ai découvert avec grand plaisir. L'auteure est très talentueuse et je ne manquerai pas de lire ses prochains livres.

Le sujet n'est pas inédit, mais il est très bien traité. On suit un violon à travers différentes époques dans un roman choral. Il est fabriqué par Giuseppe, un artisan italien qui vit au début du dix-septième siècle. Il est très réputé, même si son patron ne reconnaît pas son talent et forme un apprenti appelé à lui succéder. Il y a ensuite Lazlo, qui vit dans les années 1930, un demi gitan rejeté par son clan vu son inefficacité dans la vente et l'origine de son père. Il est élevé par son oncle et son seul talent réside dans la musique, il reçoit un vieux violon qui a appartenu à un ancêtre et finira par trouver sa place grâce à lui.

A notre époque, nous avons Lucie et Charles. La première est une artiste velléitaire qui collectionne les petits boulots et rêve de pouvoir exposer ses toiles, qui elles non plus n'avancent pas. Sa famille est lassée de ses échecs successifs et plus personne ne croit en elle, sauf sa grand mère. Celle-ci est musicienne et a toujours gardé le violon de son père, lui aussi musicien réputé. Elle l'offre à Lucie pour financer ses projets. Charles quant à lui est un patron surdoué qui réussit ses affaires mais pas sa vie, jusqu'à ce qu'il découvre la musique et les émotions qui l'accompagnent.

Les chapitres se suivent et alternent les points de vue de chaque personnage. le violon est bien évidemment au centre de l'histoire, c'est lui le personnage principal du livre qui permettra à chacun de réaliser son rêve. La fin est ouverte, ce que j'ai apprécié, l'histoire de l'instrument est prête à continuer. La plume de l'auteure est très agréable, fluide et poétique. Je ne m'intéresse pas plus que ça à la musique classique, et je la connais plutôt mal, mais on n'est jamais perdu, même avec les détails techniques donnés par Giuseppe ou Charles. J'ai vraiment beaucoup aimé découvrir ce violon et la passion qu'il fait naître avec ce très beau roman, très bien écrit. Certains aspects de l'histoire ne sont pas réalistes, comme le fait que Lazlo débarque directement à New York sans passer par la case « émigration » et retrouve tout de suite son ami dans cette mégalopole, ou d'autres détails, mais ce n'est pas gênant parce que l'essentiel est ailleurs. L'instrument est un médiateur entre les personnages et leurs rêves, ils devront finalement se demander ce qui compte vraiment pour eux et quel prix ils sont prêts à payer pour l'obtenir.

Le personnage de Charles est intéressant, même s'il est assez peu sympathique. C'est un surdoué qui réussit tout, du moins sur le plan scolaire et professionnel, mais sa vie privée est marquée du sceau de l'échec, finalement, il ne sait comment vivre en dehors du monde des affaires. La musique lui ouvre le domaine des émotions et de l'amour et il devra se poser les bonnes questions sur son existence, un exercice sur la réalité qu'il est loin de maîtriser.

Le personnage de Lucie est le plus touchant, même s'il aurait pu être davantage développé. On la sent vivre. Comme Lazlo, elle se sent rejetée par son clan, qui ne comprend pas son tempérament d'artiste et sa relative inadaptation à la vie réelle, du moins selon leur point de vue. Seule l'autre artiste de la famille la comprendra et l'encouragera envers et contre tout, et même contre Lucie elle-même très souvent. Elle manque complètement d'assurance, commence tout sans jamais rien finir et vit dans une fuite perpétuelle à cause de sa peur de l'échec. Elle en est parfaitement consciente et essaie avec beaucoup de difficulté de changer de cap. Pour elle aussi la fin est ouverte.

J'ai vraiment beaucoup aimé ce livre et je le recommande chaleureusement. Un tout grand merci à Netgalley et les Editions Grasset pour cette superbe découverte.
#LâmeDuViolon #NetGalleyFrance
Lien : https://patpolar48361071.wor..
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Comme beaucoup, j'apprécie d'écouter de beaux morceaux de musique et y suis sensible mais je n'y connais rien. Alors, lorsque ce livre s'est présenté à moi, je suis restée très mitigée quant à l'idée d'en entreprendre la lecture. Un violon … d'accord … moi qui ne suis pas mélomane, allais-je être touchée ?

Mais oui ! Totalement ! Absolument ! J'ai été transportée par ce fabuleux récit, romanesque à souhait, captivée par la plume envoûtante de l'auteure, virevoltant du XVIIème à nos jours, saisie par les voix des personnages, si intimement liés, par delà la musique, fine et légère. Les mots se posent habilement sans jamais lasser dans ce premier roman intéressant qu'il ne faut certainement pas bouder.

Alors, que dire de plus que j'ai été agréablement surprise et que j'ai grandement apprécié cette lecture. A découvrir !
Lien : http://aufildeslivresblogetc..
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Je remercie Netgalley ainsi que les éditions Grasset pour ce service de presse.
L'Âme du violon est le premier roman de Marie Charvet. Autour d'un même instrument de belle facture, elle mêle les destins croisés dans l'espace et dans le temps d'un vieux luthier italien du XVIIème siècle, d'un tsigane orphelin qui vit de sa musique sur les chemins de la France des années 1930, d'une jeune femme bohème qui rêve de voir un jour ses toiles exposées dans le Paris contemporain et d'un PDG infatigable dont le coeur n'est touché que par les airs classiques… Cette quatrième de couverture m'avait attirée car j'ai un faible pour les récits polyphoniques.

Ce roman m'a littéralement embarquée… Belle écriture, fluide… Bon rythme, bel équilibre…
Des personnages travaillés, à la fois attachants et agaçants parfois. Une humanité à fleur de peau et d'archet. le héros principal reste ce violon auquel Guiseppe a consacré sa vie, ses forces vives et dans la fabrication duquel il a légué son expérience ; cet objet référentiel devient le fil conducteur où s'accroche la trame d'un récit qui évite avec bonheur les clichés trop faciles et les péripéties annoncées.
Marie Charvet nous propose des parcours intéressants, bien documentés tant sur l'art des luthiers que sur les époques traversées ; ainsi le parcours de Lazlo nous fait pénétrer dans la culture tsigane, avec ses codes et son mode de vie et nous le suivrons jusque dans cette Amérique pleine de promesse dans les années 1930. Lucie est une jeune artiste, un peu paumée, en recherche ; elle a du mal à avancer, illustre le mal-être d'une jeunesse désabusée et sa peinture nous est offerte comme une promesse. Charles s'humanise au fil de son enquête pour étoffer sa collection d'instruments anciens et son histoire avec Aure, la musicienne si talentueuse et pourtant si fragile ne va pas forcément le mener là où nous l'attendions…

J'aime quand une histoire me prend au passage et m'entraine ; j'apprécie quand un livre m'enseigne des choses… ; j'adore quand le dénouement me surprend quand même un peu.
Ici, j'ai été particulièrement sensible à la métaphore filée de l'âme : âme humaine, âme potentielle des objets inanimés et surtout âme du violon, cette dernière pièce déposée par le luthier au coeur de l'instrument et qui détermine sa sonorité et sa vibration.
Une très belle découverte.

#LâmeDuViolon #NetGalleyFrance
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Il y a longtemps que j'avais envie de lire ce roman car je suis fascinée par la lutherie.

Ce roman choral est divisé en chapitres qui concernent successivement 4 protagonistes à 4 époques différentes avec un fil conducteur : un violon de maître.

Au 1er,5e ,9e ...: nous sommes au XVIIe siècle en Italie. Giuseppe, maître-luthier consacre tout son temps à tenter de créer le violon parfait. Il travaille pour le compte du célèbre Maggini qui lui a concédé un petit atelier isolé des autres ouvriers. Cependant tout deux n'ont pas les mêmes visées. Maggini est attiré par le gain tandis que Giuseppe est un perfectionniste. Lors d'une violente dispute entre les 2 hommes, Giuseppe, gravement blessé, devra mettre fin à sa carrière. Adieu donc le violon parfait. Stefano, son neveu orphelin sera-t-il le sauveur ?

Au 2e,6e,10e... : nous sommes dans les années 30. Lazlo, un tzigane orphelin s'en va jouant du violon de ville en ville après le décès de son oncle Nathanaël qui l'avait recueilli. Cet oncle était connu et apprécié dans la communautés rom. Si bien que Lazlo sera toujours accueilli partout où il passe. Son rêve pourtant est de traverser l'Atlantique vers l'eldorado tant convoité.

Au 3e,7e,11e...: nous sommes à l'époque actuelle et nous suivons Lucie, une jeune femme artiste peintre qui gamberge pas mal dans sa vie. Son rêve : exposer ses toiles. Mais il lui faut aller de petit boulot en petit boulot pour loger dans une toute petite chambre de bonne à Paris et manger. Sa grand-mère lui lègue un violon qui est dans la famille depuis longtemps. Lucie doit le faire expertiser dans l'espoir que la vente lui rapportera de quoi acheter du matériel de peintre et organiser son exposition.

Au 4e,8e,12e...: nous sommes toujours à l'époque actuelle. Charles, polytechnicien, une sorte de golden-boy français qui partage sa vie entre New-York et Paris. Plutôt solitaire, il ne vit que par et pour ses affaires. La musique classique est son refuge et une passion dévorante qui lui permet de décompresser. Invité à un concert de la violoniste Aure van der Eyssel, il va être charmé et se passionner tant pour le violon que pour la violoniste.

Les 4 protagonistes sont liés par le violon mais aussi par une vie faite de passion, de perfection.
Emotions, atmosphères, personnages sont décrits de manière telle qu'on voyage également dans le temps et l'espace. On est happé par l'histoire. La longue attente avant de pouvoir me procurer ce roman en valait la peine.
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L'histoire d'un violon sur quatre siècles et l'histoire de quatre personnages qui ont croisé sa route.
L'auteur mène les histoires en parallèle et nous emmène à Brescia au XVIIème siècle dans un atelier de lutherie, ensuite au XXème siècle dans un camp de gitans et enfin, au XXIème siècle à New York et à la Tour de la Défense.
L'inconvénient de ce genre d'exercices est qu'il est difficile pour l'auteur de maintenir la même qualité pour toutes les intrigues. Marie Charvet ne fait pas exception. Les personnages du passé sont plus fouillés, plus attachants que les personnages contemporains.
Un premier roman prometteur qui se lit avec plaisir.
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Les premiers chapitres du roman sont déroutants. Nous rencontrons un luthier talentueux du XVIIème siècle, un tzigane sans famille dans les années 30, une jeune femme de nos jours enchaînant les petits emplois en attendant de se consacrer à sa peinture, un homme d'une intelligence hors du commun semblant dépourvu d'affect.
Petit à petit Marie Charvet propose des liens entre les personnages, que le lecteur saisira avec plaisir.
Pour ma part je me suis attachée à ces amoureux de la musique, de l'art, du beau en général , ou amoureux tout simplement.
Les nombreuses références musicales m'ont donné envie d'écouter encore et encore les morceaux cités.
Pour un premier roman, c'est réussi. J'aimerais en lire d'autres de cette auteure.
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