Descente en enfer

D'habitude, j'adore lire les aventures de Pendergast.
Là, j'ai eu beaucoup de mal à finir le livre, j'ai dû me forcer.
Je suis ouverte d'esprit mais j'ai trouvé vraiment TROP d'invraisemblances, des écarts de rythme soudains (passages baclés selon moi).
J'ai encore préféré les histoires des personnages secondaires.
Bref, je suis très déçue.

La suite des aventures de l'inspecteur Pendergast ne déçoit pas. le héros parvient toujours à nous surprendre. Je conseille vivement de prendre ses enquêtes dans l'ordre car le personnage prend de l'épaisseur au fur et à mesure et c'est un vrai plaisir de le retrouver au fil de de ses recherches.

Un bon cru Pendergast avec le cocktail habituel très apprécié d'aventures à rebondissements multiples. Notre inspecteur imperturbable va se trouver confronté à des souffrances morales personnelles qu'il devra surmonter. le final en Amérique du sud est grandiose et le suspense haletant. Comme d'habitude des personnages secondaires sont traités, notamment Constance dont on apprend ce que l'on pouvait imaginer mais peut-être pas à ce point.
Un très bon moment avec Aloysius, d'Agosta et tous les autres.

cela faisait longtemps, que j'avais lu les aventures de l'inspecteur Pendergast .Une aventure qui nous emmène sur la gémellité et l'horreur de la génétique. Passionnant de bout en bout, notre cher Aloysius va aller de surprise en surprise, pour un final assez convenu. Dans l'ensemble un très bon cru.

Et voilà, je quitte le dernier tome de la trilogie Helen avec regret et comme toujours avec le cycle « Pendergast » j'ai passé un très bon moment livresque. Je découvre dans cet opus un Aloysius Pendergast bien mal au point après la mort de sa femme mais des meurtres sordides commis dans des hôtels vont lui permettre de sortir de sa retraite.
Très bon turn-over, un roman bien difficile à lâcher pour connaître le dénouement de toute cette histoire. J'ai été de découverte en découverte avec des rebondissements à la pelle. Beaucoup d'action, de tension, de suspense, bref un thriller bien captivant qui me donne cette envie de continuer à lire les enquêtes de cet inspecteur atypique.

Dernier tome de la trilogie "Hélène", la femme de Pendergast, inspecteur au F.B.I. Dans cet opus, après le meurtre de sa femme retrouvée, Pendergast tombe dans une forte dépression. Plusieurs meurtres atroces ont lieu dans des hôtels New-Yorkais et vont lui permettre de se remettre sur pied.
J'ai suivi l'histoire sans grande passion contrairement au premier tome. Tout d'abord que viennent faire les histoires de Corrie avec son père et celui de Constance avec le Docteur Felder qui n'apportent rien au récit principal. Ensuite, les rebondissements ne m'ont pas tenu en haleine et encore moins les affrontements entre Alban et Pendergast. J'étais bien plus intéressée par la relation de Pendergast et Tristram. Enfin, le final est très convenu.

Dernier tome de la trilogie "Hélène". J'ai beaucoup aimé les intrigues secondaires, Pendergast devenant un peu trop un surhomme à mon goût, mais quels personnages secondaires, c'est agréable de voir ce monde vivre un peu sans lui.
Sinon, évidemment, à lire dans la trilogie "Hélène", un beau bouquet final.

Les événements de ce tome se déroule avant Tempête Blanche et pourrait expliquer l'attitude de Pendergast et l'histoire de Corrie et de son père.
C'est donc ma deuxième rencontre avec l'inspecteur et je comprend bien mieux l'origine de l'inspecteur, c'est un Sherlock Holmes moderne, et les auteurs ont d'ailleurs récupérer la plupart des traits de caractères du détective londonien (une certaine addiction, la façon de s'exprimer et d'interagir avec les autres, le goût du détail et du déguisement, la logique, etc.)
Ce tome se découpe en trois parties. Tout d'abord Hélène. Je ne connaissais pas la femme de Pendergast, n'ayant pas lu les autres romans, et l'ouverture de l'histoire sur son enlèvement est confuse. Je suppose, que l'enlèvement proprement dit est à la fin du tome précédent.
Pendergast se lance donc à sa recherche, faisant fi de la loi et de la logique.
La deuxième partie correspond au Tueur des Hôtels et à une période de la vie de Pendergast peu reluisante. Abbatement et désespoir sont les maîtres mots.
Enfin la troisième partie correspond à la rencontre de l'inspecteur avec le "vieux démon" évoqué sur la quatrième de couverture.
Cette dernière partie en particulier m'a fait penser aux films Indiana Jones. Des nazis, des cascades, du complot mondial...

Je n'ai pas particulièrement appréciée cette enquête. Je pense que les auteur s'embrouillent et le rendus est confus, presque indigeste. C'est dommage car je pense que les premiers romans devaient être bien meilleurs, le héros ayant du potentiel.
Là on suit l'histoire sans grande passion. Les rebondissements n'éveillent pas vraiment l'intérêt du lecteur. Quant à l'histoire de Constance, c'est d'un ridicule consommé. Les auteurs introduisent une dimension mystique/magique/fantastique qui ne correspond pas du tout à l'ambiance et qui ne m'aide pas vraiment à apprécier l'ensemble.
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La suite de Vengeance à froid est un régal. On retrouve avec bonheur et appréhension Pendergast qui vient de retrouver sa femme Héléne (après l'avoir cru morte depuis de nombreuses années) mais malheureusement pour peu de temps car à la fin du thriller précédent, elle était enlevée par un groupuscule se réclamant des nazis. le livre commence juste après ce kidnapping perndant que Pendergast essaie de retouver sa femme. Même si le début est un peu lent, on se laisse porter par l'histoire familiale de Pendergast mais aussi par le développement de certains personnages secondaires (D'Agosta, Constance et Corrie). Dans Descente en enfer, l'inspecteur n'est pas au mieux de sa forme et les événements qui s'enchaînent vont faire ressortir son côté plus humain. Les deux auteurs se sont penchés sur la psychologie de leur héros. de nombreuses réponses sont apportées aux questions que l'on se posait depuis les tomes précédents. Suite à des assassinats dans New York, Pendergast va se lancer à la poursuite du tueur en série qui lui rappelle étrangement son frère Diogéne… de nombreuses découvertes et une chasse à l'homme vont l'amener au Brésil dans la ville de Nova Godoi où des allemands se sont installés après la Seconde Guerre Mondiale mais personne ne sait ce qu'ils y font… le rythme va crescendo au fil de la lecture et on attend avec impatience le face à face entre Pendergast et le tueur en série ( il est plus judicieux de ne pas dire ici qui il est pour ménager le suspens…).
Descente en enfer est un bon thriller qui laisse présager une suite que j'ai hâte de lire.

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Descente en enfer est le douzième volume des auteurs Preston & Child consacré à l'inspecteur Pendergast. Et si j'ai fait ma mauvaise élève peu assidue dans cette série, ayant lu seulement les premiers, je dois avouer que je me réjouissais de renouer avec ce personnage si charismatique. Car oui, Pendergast c'est quand même quelque chose, enfin, quelqu'un ! Inspecteur du FBI, mais pas du tout du genre Men in black classique. C'est plutôt le lord anglais, très classe. Un langage soutenu, jamais un mot plus au haut que l'autre, mais cinglant car Aloysius ( quel prénom, j'vous jure ! Mais il lui va si bien :) ) ne supporte pas la médiocrité. Ce trait de caractère le rend très souvent froid, sec, même avec ses proches. Alors quand il doit s'adresser à des personnes qu'il n'estime pas particulièrement ( ses collègues du FBI entre autre...), les dialogues sont savoureux.
Autre détail qu'il faut savoir : notre Pendergast est richissime. Son "travail" au sein du FBI n'est qu'une façon de s'occuper intelligemment l'esprit, son salaire étant de un dollar annuel... Rolls-Royce, costume sur mesure et cravate en soie italienne,sept plis, s'il-vous-plait !

Tous ces détails mis bout à bout permettent à nos auteurs de se régaler avec leur personnage principal et bien évidemment cela se ressent, le lecteur se régale à son tour.

Et donc suivre cet inspecteur hors-norme a été un plaisir. D'autant que les auteurs ne le ménagent pas et lorsque l'on assiste à sa descente en enfer, c'est poignant. Mettre cet être exceptionnel en état de déprime passe encore, mais le faire sombrer encore plus ( si, si, c'est possible ! ), là c'est révoltant ! Et il fallait bien cette intrigue tarabiscotée à souhait, le touchant personnellement pour le tracter hors du trou...

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