Ready Player Two

Lorsque que j'ai apris qu'une suite de ready player one devait voir le jour , je ne pensé plus qu'à le lire le plus vite possible .
il est vrais que les 100 premiers pages de mise en place de l'histoire on était difficile à passer . Mais Lorsque l'histoire commence à ce déclencher, plus rien ne l'arête comme pour le premier , je n'avais qu'une envie à chaque fin fe chapitre en lire un autre . ces vrais qu'il ressemble beaucoup à sont prédécesseur , mais avec un touche de nouveauté qui en fond un livre unique et une suite vraiment sympathique . Ce que j'ai surtout adoré ces la conclusion de cette histoire folle et complètement inattendu . classer dans mon top 5 des livre préféré

Enchanté par Ready Player One, je n'ai pas pu résister à la tentation d'acheter la suite dès sa sortie. J'ai retrouvé avec plaisir les héros du premier tome dont l'adaptation cinématographique m'avait aussi embarqué. Malheureusement, Ready Player Two n'a pas entrainé le même engouement. Malgré mon estampillage « Enfants des années 80 », certaines références (parfois plus de 50 pages) m'ont paru obscures, longues et sans intérêts, dans le cours de la narration. Pourtant d'autres chapitres étaient plus fluides, plus accessibles et j'ai retrouvé l'Ernest Cline qui m'avait enthousiasmé. Quoi qu'il en soit j'étais ravi d'être arrivé à la fin sans abandonner.

Wades a remporté, après beaucoup d'épreuves et de combats, le concours de James Halliday. le voilà, désormais, avec ses amis, richissime et maître du monde virtuel de l'Oasis. Des milliards d'individus s'y connectent tous les jours, cherchant une existence meilleure que celle vécue dans la réalité. Pourtant, Wades va révolutionner l'immersion virtuelle en proposant une nouvelle invention d'Hallyday, jusqu'à présent tenue secrète. Les casques nouvelles générations, connectés directement aux cerveaux permettent d'atteindre des sensations quasi identiques à la réalité. Mais Halliday, fidèle à son esprit ludique, l'a assortie d'une nouvelle quête.

Je pense que le tome 1 se suffisait à lui seul, il avait cette cohérence d'une histoire originale avec juste ce qu'il faut de références aux années 80, jeux, films, musique… pour ne pas alourdir le plaisir de la lecture. Certes, ayant joué aux jeux de rôle, j'ai retrouvé l'ambiance fiévreuse de la quête, du temps qui fuient et du danger qui s'amplifie jusqu'au dénouement, ceux qui ont fait de belles campagnes Donjons et Dragons peuvent comprendre ce ressenti. Dommage !

J'avais adoré le premier "Player one" (et encore plus son adaptation cinématographique "Ready player one"), je me suis donc lancé avec plaisir dans cette suite comme je le fais des suites de bons films (tout en regrettant vaguement que certains auteurs cherchent parfois la facilité en reprenant les recettes qui ont déjà fonctionné).

Alors effectivement, on retrouve ici la même structure, en partie la même histoire avec de nouveaux défis et nouvelles énigmes dans le monde de la culture pop et geek, histoire mêlée avec une autre idée scénaristique… malheureusement usée jusqu'à la corde. Je regrette également quelques maladresses dans l'écriture comme dans les rebondissements.

Mais bon, ça fonctionne toujours aussi bien, on se laisse rapidement embarquer dans cette aventure tant c'est agréable de retrouver nos personnages favoris du premier tome. le roman est tout aussi prenant que le précédent, malgré quelques petites longueurs parfois, et les énigmes et aventures bien pensées… qu'on appréciera cependant plus ou moins si on est plus ou moins fan de l'oeuvre/artiste qui en est le sujet.

Malgré un petit manque d'originalité, j'ai eu tout autant de plaisir à dévorer ce roman… et je n'attends plus qu'une éventuelle adaptation au cinéma.

Après avoir remporté la quête imaginée par James Halliday, le fondateur de l'OASIS, Wade Watts découvre l'ONI, une nouvelle technologie de simulation révolutionnaire susceptible de rendre l'OASIS encore plus connecté, plus immersif, plus merveilleux. En parallèle, il découvre l'existence d'une ultime quête, composée de sept énigmes, si ce n'est que de sa réussite dépend, dans un certain sens, la survie des millions d'utilisateurs du système. Si on retrouve avec plaisir les héros du premier volume, on comprend que leurs objectifs ne sont plus en accord et que ces parcours distinctifs les ont éloignés peu à peu les uns des autres. de fait, ce qui outre l'originalité, faisait l'attrait de Player One, à savoir la solidarité, l'esprit combatif et l'engagement à laissé place aux divergences et à des querelles prosaïques. En lieu et place d'un affrontement épique, Ernest Cline se contente de reprendre le principe de la chasse à l'Easter Egg en y apportant quelques variantes et en multipliant à l'outrance les références à la culture Geek. Malgré l'introduction de nouveaux personnages, d'une entité informatique perverse et du retour d'un psychopathe avide de vengeance, l'histoire ne suscite guère la surprise ni l'intérêt. Les personnages secondaires sont sans nuances ni reliefs, exception faite de L0hengrin et les Cinq du fond plutôt intéressants mais trop peu exploités. de séduisantes idées sont bien présentes mais, l'auteur préfère développer un discours moralisateur sur le racisme structurel, le sexisme, l'identité de genre et autres délires plutôt qu'un récit organisé autour des dangereuses promesses de la réalité virtuelle pouvant aboutir à une perte des repères et des liens et du préjudice occasionné par un enfermement pratiquement permanent au sein d'univers chimériques. Des propos engagés qui prônent, de surcroit, l'abandon de toute identité au profit d'une vie de liberté total par avatar interposé. Une thématique totalement hors sujet et sans intérêt pour l'histoire. Par ailleurs, des chapitres entiers se voient consacrés à la description minutieuse de scènes de films des années 80, de paroles de chansons, de plateaux de jeux vidéos ou de mondes imaginaires aussi délirants que dangereux, allant de Prince à Tolkien en passant par John Hughes, dont la répétitivité et l'ineptie finissent par lasser. Ernest Cline étale ses connaissances à l'excès, surchargeant le récit d'inutiles arguments sans véritable objet. le final utopique, plutôt convenu, maintes fois usité et plein de bon sentiments ne relève en rien la faiblesse de l'ouvrage, son manque d'originalité et son insuffisante attractivité. Dans l'absolu, cette suite ne s'imposait pas, au vu du résultat, elle ne présente, hormis l'aspect financier, aucune véritable raison d'être.

L'aventure continue...
J'attendais une suite à RP1 depuis l'avoir dévoré et je n'ai pas été déçu. Il y a une certaine logique dans les évènements qui s'y déroulent, à mon sens.
Les thèmes sont nombreux et je les nommerais pas ici pour ne pas gâcher les surprises mais le fan-service est au rendez-vous et moi, je suis gros client.
Maintenant, j'ai peur de l'adaptation ciné (et oui Steven a déjà acheté les droits...) car la co-ecriture du 1er avec l'auteur avait de quoi surprendre par moment (rappelez vous la course de voiture, la manière de récolter le 1 UP, ect.... Mais de bonnes nouvelles idées, par exemple l'Overlook Hôtel).
Bref, les lecteurs qui auraient des doutes, l'univers que vous avez apprécié est toujours là.
Mettez votre casque ONI et appuyez sur START.

Que c'est laborieux ! Autant Player One 1 m'avait séduit, autant celui-là est indigeste à tous les niveaux. Les références s'imposent dans la lecture toutes les trois lignes ! C'est gavant ! Ok, m'sieur l'auteur, stoppe la confiture!!! Ensuite, la narration est absurde. Un exemple : pendant des années, le nouveau mystère de Hallyday semble totalement impossible à résoudre. L'humanité entière cale ! Et pof, tout à coup, en 1 page, il est résolu ! Ensuite, l'auteur nous abreuve de morale wokiste dans un monde censé être futuriste. En gros, il transpose les problématiques des années 2020 dans un futur suggéré. A quoi bon, hormis pour nous prouver (vertu signaling) qu'il est dans le camp du bien? Bref, indigeste, absurde et narrativement pauvre. J'ai lâché avant la fin.

Toujours bon

Alors alors, difficile de ne pas le comparer au premier. Et bien sûr, étant donné que l'idée principale de Ready Player One est assimilée, ce deuxième tome parait un peu moins bon.

Mais avec du recul et en considérant cette oeuvre comme unique (parce que c'est à fait possible), vous passerez un bon moment.

J'ai eu du mal avec deux passages du livre qui se passent entièrement dans les univers très particuliers d'untel ou untel. Si, comme moi, vous n'avez pas forcément les références, la lecture n'est plus aussi agréable….
Pour le reste, des nouvelles idées, des nouveaux item, un LORE plus développé

Tout ce qu'on aime. Comme pour le premier tome, je recommande!

En ayant lu et vu le film du premier opus j'ai retrouvé les personnages avec plaisir et ça c'est cool. Ayant vraiment apprécié le premier et d'avoir eu ensuite la possibilité de regarder le film, j'étais impatient de commencer celui-ci.
Malheureusement j'ai trouvé ce deuxième volet bien moins captivant, l'intrigue “ronronne” et il y a vraiment, vraiment, beaucoup de références qui pour la plupart m'ont été inconnues.

Ready Player Two ou la suite de trop ? Geek dans l'âme, enfant dans les années 80, j'avais adoré le premier opus des aventures de Parzival et ses acolytes. Mais avec cette suite, quelle déception ! Bien que l'on retrouve les éléments faisant l'attrait de la première quête de l'easter egg, notamment de nombreuses références à la culture pop et geek, la mise en place de l'histoire est longue puis de nombreux passages sont à mon goût inutiles, multipliant des références tels un catalogue, sans rien apporter au déroulement de l'histoire. A éviter, je n'irai pas jusque là, mais si vous avez adoré être le premier joueur, être le second vous semblera bien plus triste.

Que dire de ce nouveau livre d'Ernest Cline ?

J'ai pris autant de plaisir à lire nouvel opus que j'en avais eu pour le premier livre. À peine la quête d'Halliday fini qu'une nouvelle commence. le temps de poser les nouvelles bases de celle ci, qu'on se retrouve plonger à la rechercher de l'âme de la sirène. Pendant la lecture de la quête, ni ponctuation, ni page, ni chapitre n'ont pu m'arrêté tant j'avais toujours envie de savoir la suite. Avec une fin qui as fait exploser mon cerveaux. Ce livre, autant que le premier, en vaut la peine.