Veronika décide de mourir

Un titre accrocheur c'est tout ce qui restera dans ma mémoire d'ici demain.

Rien dans ce livre, ne m'a permit de m'attacher aux personnages, ainsi qu'a leur souffrance. le suicide et la schizophrénie qui sont des sujets délicats, sont abordé ici d'une façon trop moralisatrice.

Oui la vie vaut d'être vécu ! Mais ici, je n'ai rien vu qui puisse me convaincre. Des phrases toutes faites sans réelle profondeur en comparaison des souffrances que doivent vivre les personnes qui sont confrontés à ce genre de situation.

Loin de désespérer, j'ai tourné les pages en attendant quelque chose qui vienne augmenter l'intérêt de cette lecture. En vain ! le sujet et le titre pourtant avaient attisé ma curiosité, mais une fois la toute dernière page tourné, j'ai éprouvée le sentiment d'avoir perdu mon temps.

Véronika une jeune Slovène décide de mourir car elle ne trouve aucun intérêt à sa vie tellement routinière. Elle avale donc des somnifères et se réveille dans un hôpital psychiatrique, La Villete, où on lui annonce qu'elle n'a plus qu'une semaine à vivre. Sa tentative de suicide ayant fatigué son coeur va s'arrêter de battre.
Durant cette semaine, elle va faire connaissance de trois personnes : Zedka internée pour dépression, Maria ancienne avocate de renom qui a décidé d'être internée suite à des crises de panique et enfin, Édouard, fils de diplômate, qui lui souffre de schizophrènie. En découvrant les états d'âme de Veronika, nous découvrons aussi l'histoire de chacun des protagonistes et la raison pour laquelle ils se retrouvent dans cet hôpital psychiatrique.
À travers ce roman, il ressort que les hommes en dehors de l'hôpital cherche à faire plaisir, à faire comme tout le monde et enfin de compte de ne pas vivre réellement. Il manque ce petit brin de folie qui rendrait la vie plus intéressante.
La lecture de ce roman est très plaisante mais je n'ai pas adhéré totalement à l'histoire. J'aurais pu arrêter sa lecture que cela ne m'aurait pas dérangé. Mais pourquoi des amis me l'ont conseillé. Qu'est-ce que j'ai loupé ? Rien, chacun à ses goûts et ses couleurs et comme le souligne le roman pourquoi devrais-je me sentir honteuse de ne pas l'avoir apprécié…

L'écriture de Paulo COELHO est toujours aussi jolie mais ce n'est pas un livre qui marque. Pourtant, il devrait.
Le suicide est un fait important, certaines personnes en souffrent et là j'ai eu l'impression que c'était pris à la légère.
L'auteur ne m'a pas fait passer d'émotions.

On ne peut pas dire que Paulo Coelho fasse ici dans la subtilité, alors que dès les premières pages on voit où il veut en venir. le retournement de situation de la fin (sans spoiler), n'en est clairement pas un. J'ai aussi eu du mal à comprendre pourquoi l'auteur s'était situé personnellement dans le roman, ce qui mis à part ajouter quelques pages à ce un ouvrage bien mince, ne présente aucune plus-value.
Sur le principe, présenter des idées d'apparence simplistes pour amener son lectorat à la réflexion est plutôt sensée. Les choses les plus évidentes peuvent parfois prendre tout leur sens lorsqu'elle sont présentées dans un certain contexte.
Lire la suite : http://www.bizzetmiel.com/paulo-coelho-emily-young-veronika/
Lien : http://www.bizzetmiel.com/pa..

Je donne deux étoiles à ce livre pour la beauté d'écriture de Paulo Coehlo. Ce livre est d'une grande richesse littéraire et doté d'une belle morale sur la vie et surtout le sens de la vie. Par contre, je n'ai pas aimé le déroulement de l'histoire et cela m'a paru un peu long, un peu trop de tirades peut-être. Je retenterai d'autres livres de Paulo Coelho !

J'avais lu ce roman il y a plus de 10 ans et j'en gardais un bon souvenir. J'étais dans ma période Paolo Coelho et je dévorais ses écrits. Alors je me suis dis pourquoi ne pas le relire. J'ai donc repris "Véronika décide de mourir". Mais il faut croire que le charme est tombé entre temps.
J'ai trouvé, en effet, l'écriture simple voire simpliste et l'histoire creuse. Il m'a manqué un élan attendu en vain.
L'atmosphère du livre est pesante.
Les personnages, ne sont pas suffisamment travaillés pour pouvoir s'y attacher, à commencer par Véronika. Sa souffrance m'a échappée faute de profondeur.
Par ailleurs, l'auteur fait une intrusion dans l'histoire vers la trentième page sans aucune plus value.
Quelques rares moments peuvent néanmoins nous amener à nous interroger sur certaines notions telles que la folie et la normalité et une fin intéressante voire surprenante sauvent un peu l'ensemble. Malheureusement, c'est resté insuffisant pour m'émouvoir.  
Je dois dire que là j'hésite à poursuivre mes relectures de Coelho notamment L'Alchimiste que j'avais particulièrement apprécié. J'espère ne pas en venir à la même déception. Je vous dirai.

Fouillis
Ce roman n'est pas clair. Il semble porter un message, voire plusieurs, mais tout est confus. le choix de trois personnages principaux, Veronika, Maria, Eduard, n'est pas fait pour simplifier la lecture.
Certaines parties auraient méritées plus de développements, de profondeur, je suis resté un peu sur ma faim (par exemple, a propos de ce qu'Igor nomme le Vitriol).
Pourquoi l'auteur se met-il en scène, au début du livre, prétextant d'une homonymie qui n'apporte rien ? Surtout pour ne plus jamais en reparler ensuite... Mystère !
J'attendais un rebondissement final à l'intrigue, quelque chose de surprenant, qui semblait même téléguidé, mais cela n'arriva pas. La seule impression qu'il en reste est celle de l'inachevé, et donc de la déception.
Même si cet ouvrage semble atypique parmi sa production, pas sûr que je tente une autre lecture de Coelho.

Je viens de terminer la lecture de ce livre, que j'ai apprécié, sans plus.
Il est intéressant notamment dans le fait que Véronika souhaite mourir non pas parce qu'elle est malheureuse mais parce que tout est toujours pareil, parce qu'il manque un peu de folie dans sa vie.
Sa tentative échoue, elle est internée dans un asile et va y côtoyer différents types de personnes : les vraies malades et ceux qui ne veulent pas affronter le monde extérieur et préfèrent rester à l'abris des murs de l'asile. Enfin, cela va apporter des nuances à son existence morne, elle va s'autoriser des gestes, des paroles, des pensées qu'elles avaient toujours refoulés sans vraiment savoir pourquoi.
La présence de la jeune femme va aussi apporter un souffle nouveau à plusieurs patients.
Oui, la routine que l'on se créée en pensant que c'est ce dont nous avons besoin se révèle parfois destructrice. Oui, la plupart des gens s'enferment dans un moule pour être semblable aux autres, pour être intégrer et finalement c'est cela qui va les abîmer doucement : ils ne savent pas être eux-même.
Mais peut-être que, lorsque le livre a été publié, cela était nouveau, aujourd'hui c'est banal, et je n'ai pas été plus emballée que ça ni par le récit, ni par la plume de l'auteur.

Bref, lecture facile qui ne va pas me marquer, peut-être aussi parce que j'avais déjà vu le film et que je connaissais la vérité.

2,5 étoiles.


Un sentiment assez mitigé en terminant ce livre. J'ai souvent eu une impression de "trop": trop de bons sentiments, trop de spiritualité/art de vivre bon marché, trop d'aspects assez prévisibles (le final ne m'a absolument pas surprise: même si j'avais un peu abandonné cette idée au fur et à mesure de ma lecture, j'y ai pensé dès le début), trop de personnages malheureux qui prendront finalement leur vie en main, trop... Tout cet amour de l'humanité qui transpire de ce livre en est presque écoeurant à mon goût. La popularité de cet auteur y est peut-être pour quelque chose dans ce jugement de ma part: je ne parviens décidément pas à adhérer à toute cette vague de livres pseudo-spiritualistes prétendant nous délivrer le secret du bonheur et de la vie.
Néanmoins, tout n'est pas "trop" dans ce livre non plus et il ne rencontre pas un tel succès pour rien: l'héroïne, Veronika, finit par revenir à la vie et à susciter un certain attachement de la part du lecteur, mais surtout elle ramène aussi à la vie d'autres personnages autour d'elle, une série d'êtres dont on apprend le passé et la "folie". Davantage que l'histoire de Veronika seule, il s'agit plutôt de celle de quelques personnages qui avaient peur de vivre: certains finiront par y parvenir, d'autres pas et resteront dans l'aveuglement.

Lu en Juin 2017
Une personne tente de se suicider et donne les raisons de son geste ainsi que la manière de le faire. L'histoire se déroule dans un asile où l'on perçoit différents sentiments, diverses questions sur le sens de la vie.