Le 25 février 1954, Jacques Fesch entre, arme au poing, dans un bureau de change pour dérober plus de deux millions de francs. L'affaire tourne mal. Poursuivi par un agent de police, il tire et le tue. Ecroué à la prison de la Santé à Paris, il y restera trois ans avant d'être exécuté. Le 1er mars 1955, il écrit dans son journal : " J'ai entendu une voix qui n'est pas de la terre me dire : "Jacques, tu reçois les grâces de ta mort." " Ce choc produit sa conversion e... >Voir plus