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Citations sur Et puis, Paulette... (171)

Les chats, s'est simple, il ne les aimait pas. Fourbes, sournois, voleurs et compagnie. A peine bons à chasser les souris et les rats. Et encore, si on tombait sur un bon. Question obéissance, on savait d'avance que c'était zéro. Et pour l'affection, c'était quand ils voulaient. Possible aussi que ce soit jamais!
Résultat : le soir même du déménagement, la boule de poils s'est installée sur son lit, sans qu'il ose le chasser, il était si petit..., le deuxième, sous l'édredon, collé tout contre lui, le museau dans le creux de l'oreille, carrément trognon, le quatrième, il faisait ses griffes sur les pieds du fauteuil, sans que cela n'éveille en lui le moindre pincement, la moindre émotion, et arrivé à la fin de la semaine, il mangeait sur la table dans un bol marqué à son nom. Manquait plus que le rond de serviette pour que ce soit complet!
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C'est le neveu d'Hortense, il veut récupérer la maison pour la revendre. Il a un peu le droit, elle l'a mis sur son testament, mais normalement, il doit attendre leur décès à toutes les deux. Devant le notaire, il était d'accord et c'est ce qui a été convenu. Sauf que maintenant, comme il est pressé, il dit avoir signé des papiers pour qu'Hortense soit internée, à cause de ses problèmes de mémoire, il emploie bien le mot Alzheimer, pour les terroriser complétement. Et, bien entendu, ce n'est plus qu'une question de jours avant qu'ils viennent la chercher, donc Simone va devoir se magner le cul pour trouver un endroit où crécher, si elle ne veut pas finir à la rue! Texto ce qu'il leur a dit, le p'tit con.
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une couille dans le potage c'est une erreur
deux , c'est une recette
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Peut-être qu’à force de ne plus se voir, on finit par s’oublier.
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Tout en retournant à sa voiture, Ferdinand essaye de mettre bout à bout ce qui vient de se passer : il y a cette dame qui a failli mourir asphyxiée, qui vit dans cette toute petite maison, à deux pas de chez lui, depuis des années, il a dû la croiser des centaines de fois, sur la route, à la poste, au marché, ne lui a parlé qu'à peine, du temps qu'il faisait, de ses récoltes de miel... Et là, paf! il rencontre son chien... enfin, sa chienne... Mais, s'il ne s'était pas arrêté sur la route, tout à l'heure, pour la ramener, elle serait sûrement morte à l'heure qu'il est, cette Mme Marceline! Et il n'y aurait eu personne pour s'en soucier.
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Alors, tu vois, ma petite Marceline, je suis sur le départ.
Oui, Gaby, je vois.
Je ne croyais pas que ça arriverait si tôt, il y a des choses qui me manquent déjà.
Lesquelles? Dis-moi.
J'aurais aimé vivre une dernière fois le printemps, les bourgeons dans les arbres, l'aubépine, le parfum du lilas, le son des abeilles qui butinent...T'entendre jouer du violoncelle, aussi.
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Elle ne se rappelle plus trop où elles doivent aller aujourd'hui , mais elle fait confiance à Simone. Sa mémoire n'a pas de trous. Même pas besoin de prendre des notes. Elle se rappelle de tout. Si elles n'étaient pas ensemble , elle serait perdue. Complètement.
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Et là, en pyjama, au milieu de la cour, le fond du pantalon encore humide, il s'est demandé très sérieusement comment il allait faire pour expliquer au petit chaton combien ce serait mieux, oui, tellement mieux, s'il mangeait ce qu'il chassait.
Tuer pour rien, c'était du gâchis. Ça ressemblait trop à ce que font les hommes.
Quel intérêt ? Pas bon à copier, ça, mon minou.
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Parce que Mireille était allergique, il avait bien été obligé d'accepter de le garder. Oui oui, c'est d'accord, grand-père Ferdinand va s'occuper de vot' minet...
A choisir, il aurait préféré un chien. Même s'il avait juré, six mois plus tôt, qu'il n'en reprendrait plus jamais d'autre après Velcro. Parfaitement idiot, pas du tout obéissant, gardien passable, mais si affectueux. Ca compensait tout le reste. Ah lala, il lui manquait celui-là. Les chats, c'est simple, il ne mes aimait pas. Fourbes, sournois, voleurs et compagnie. A peine bons à chasser les souris et les rats. Et encore, si on tombait sur un bon. Question obéissance, on savait d'avance que ce serait zéro. Et pour l'affection, c'était quand ils voulaient. Possible aussi que ce soit jamais!
Résultat : le soir même du déménagement, la boule de poils s'était installée sur son lit, sans qu'il ose le chasser, il était si petit..., le deuxième, sous l'édredon, collé tout contre lui, le museau dans le creux de l'oreille, carrément trognon, le quatrième, il faisait ses griffes sur les pieds du fauteuil, sans que cela n'éveille en lui le moindre pincement, la moindre émotion, et arrivé à la fin de la semaine, il mangeait sur la table dans un bol marqué à son nom....
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Il n'avait que 8 ans, mais il avait déjà essuyé quelques grosses déceptions dans sa vie. Il se méfiait, sachant par expérience que les adultes étaient capables de tout. De changer d'avis sans prévenir, de revenir sur leurs paroles sans donner de raisons, d'arnaquer, d'empapaouter, d'entourlouper les petits, pas forcément méchamment, c'est vrai, mais comme si c'était une chose normale. en toute impunité et sans remords.
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