Tanâtos, tome 3 : Le mystère du Lusitania

février 1915 la guerre s, enlise dans les tranchées, des milliers d, hommes meurent, tandis que dans les salons les mantis continue leur jeux, ou avant chaque décisions ils pèse le pour et le contre. pour savoir qui sera loué en cas de réussite ou vilipendé en cas d, échec.
car il faut offrir ses réussites a ses supérieurs, et assumé leurs échecs a leurs places.
dans une île battu par les vents, au large du canada, les alliés essaye de mettre au point l, appolyon- 7 , ( l , ancêtre de la bombe atomique) qui devrait leur donner l, avantage sur les allemands.
tanatos lui continue ses machinations,
pour être le riche du monde.
il va mettre sur pied, un plan, qui va pousser les allemands, a coulé le paquebot Lusitania au large de l, Irlande.
faisait 1 . 200 morts dont 128 américains. mais il va échoué à forcé les défenses de la base secrète.
mais esse vraiment un échec ou une autre machination de sa part.
une intrigue plus sombre que les pressentendes.
c'est nerveux et l intrigue tient la route.
une bonne série, historique, sur la première guerre. a travers l, histoire authentique du Lusitania, une belle description des moeurs d'une époque révolue.
le point fort du scénario reste la poursuite entre le commissaire bernin,
et tanatos.on ne s, ennuie pas.

Après un diptyque où Tanãtos contribuait activement au déclenchement de la Première Guerre Mondiale, c'est une histoire complète que proposent ici Jean-Yves Delitte et Didier Convard.

C'est d'ailleurs au sein de cette première guerre mondiale que se déroule la nouvelle aventure de ce personnage à mi-chemin entre un super-héros masqué et une version machiavélique et cruelle de Fantômas. Une nouvelle fois, le génie du Mal compte frapper un grand coup, cette fois-ci, en s'appropriant une arme atomique. Si ce nouveau jeu du chat et de la souris entre Tanãtos et Louis Victor, le détective privé de l'agence Fiat Lux, est divertissant, le scénario a cette fois-ci beaucoup plus de mal à surprendre. Il faut dire que les techniques du maître du Mal sont maintenant connues (notamment celle qui consiste à prendre l'apparence de ces victimes) et que, du coup, l'intrigue ne parvient plus trop à surprendre le lecteur. de plus, la conclusion de l'histoire m'a un peu laissé sur ma faim.

En intégrant le naufrage du Lusitania, le plus imposant des paquebots anglais (coulé par les Allemands d'après la version officielle), à son récit, Didier Convard accentue l'encrage historique de cette uchronie steampunk et mêle habilement fiction et authenticité. Graphiquement, Jean-Yves Delitte s'en donne à nouveau à coeur joie au niveau des décors. le fond noir des planches et l'admirable colorisation de Frédérique Avril, contribuent à l'atmosphère prenante du récit. Je trouve par contre dommage que la couverture n'est pas dans la continuité graphique des deux précédentes.

Un one-shot moins réussi au niveau du scénario.

Atmosphère toujours aussi sombre voire désespérée. Un auteur toujours fâché avec l'orthographe : allieR en lieu et place d'allié...(relecture?). Où va-t-on. Et pourquoi je continue à aimer lire cette triste aventure ?

Sur la couverture, il y a un encart disant "récit complet".... mouais, pour le coup je suis moyennement convaincue, parce que ça ressemble plus à une introduction d'une histoire bien plus longue.
Cette histoire m'a beaucoup fait penser au second diptyque de Silas Corey.
Et encore une fois les dessins des personnages ne sont pas du tout à mon goût, trop semblables, avec toujours la même expression.
Comme la médiathèque ne dispose pas des tomes suivants ma lecture de la série va s'arrêter là.