Les Annales de la Compagnie Noire, Tome 10 : L'eau dort - Première partie

(critique commune première + seconde partie; version complète sur mon blog)

Cet avant-dernier tome du cycle de la Compagnie Noire propose quelque chose de complètement neuf, vu que la fin du roman précédent a complètement rebattu les cartes en mettant au premier plan des personnages de deuxième, voire troisième zone jusque là. L'eau dort se résume donc à une quête de ce qui reste de la Compagnie, quinze ans après, pour faire payer les responsables, ainsi qu'à une mise en route du plan de sauvetage des disparus. Sauvetage qui donnera lieu à de nombreuses révélations explosives sur la nature exacte de tel ou tel peuple, personnage, dieu, organisation, endroit, bref qui vous donnera les clés de compréhension que Glen Cook vous a longtemps refusé. Ce livre est donc un incontournable du cycle, à lire absolument si vous voulez tout comprendre. Sa fin, riche en émotion, ouvre, une fois de plus, de fascinantes perspectives pour l'ultime tome, qui promet d'être aussi riche en vengeances longtemps attendues que certains épisodes bien connus d'un certain Trône de Fer.
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Je suis encore épatée par le talent de G. Cook à se renouveler, à nous donner envie d'aller toujours plus loin avec cette Compagnie Noire !
Encore plus de rebondissements, de surprises, si c'était possible.
Des secrets seront révélés, l'histoire d'Oncle Doj va enfin s'éclaircir un petit peu.
L'annaliste change encore, le ton change donc de nouveau, mais c'est toujours avec le même bonheur qu'on accompagne nos nouveaux héros dans leurs aventures, héros qui cotoîent, dans ce tome, le danger de vraiment très très près avec une virtuosité et une duplicité sans égale !
Je ne veux pas spoiler quoi que ce soit donc je n'en dirai pas plus, si ce n'est que cette saga est, et restera, un coup de coeur sur l'ensemble des tomes que j'ai déjà lus, c'est à dire 10, et ce n'est pas rien !
Un gros coup de chapeau à G. Cook, ainsi qu'au traducteur qui a rétabli le tir en deux tomes.

Après le séisme du dernier volume , il ne reste de la Compagnie Noire que les deux vieux sorciers et Sahra la femme de Murgen et son fils Tobo.. Taglios est sous la main de fer et le cerveau déjanté de Volesprit assistée de ceux qui restent des ennemis et traîtres (Mogba, Cygne…) . Mais une sournoise résistance laisse planer en permanence une énigmatique menace sur le pouvoir en place et présage un retour des disparus . Coups de com. magiques et sabotages assurés par Qu'un oeil et Gobelin et aide logistique de l'esprit de Murgen qui peut seul s'évader des limbes de la Forteresse sans nom. A noter que Roupille est devenue annaliste .

Critique commune pour les 2 tomes de l'eau dort.

Suite des aventures de la compagnie noire. Cette fois c'est Roupille qui prend les commandes des annales.
Je ne vais pas trop m'étendre pour ne pas spoil l'histoire qui à ce niveau est pleine de rebondissement mais la saga est toujours aussi captivante.

L'eau dort, elle va se réveiller, il faut toujours se méfier de l'eau qui dort à l'instar de la Compagnie Noire qui renait de ses cendres.

En effet, Toubib, Madame, Murgen et quelques autres compagnons sont coincés dans la pierre scintillante dans une sorte de bulle du temps. Ils vivent toujours, endormis, ne vieillisant jamais. Et cet état là dure depuis des années.

C'est Roupille ancien élève de Murgen qui prend à ma grande suprise la relève et pour le coup elle devient une pièce maîtresse de la Compagnie Noire. Elle s'entoure de Sahra, Tobo, le fils de Murgen, de Qu'un d'Oeil et Gobelin pour sauver ses amis.

Un grand coup de chapeau qui met à l'honneur les femmes en tant que chef d'armée !!! Dans ce tome, c'est Roupille qui s'y colle avec Sahra mais dans les tomes précédents c'étaient Madame ou encore la Rose Blanche. Jolie clin d'oeil.

Ce tome fait du bien (par rapport au précédent) et nous remet sur un bon rythme sur les aventures de la Compagnie Noire.

Vivement le prochain.