À l'aube du 2e siècle de notre ère, en Calédonia, les tribus scots sont confrontées à une invasion romaine. Elles s'allient pour l'occasion aux géants Fomôrés, derniers survivants d'un vaisseau échoué jadis près de leurs côtes.
Lucius, centurion romain et commandant en chef de la lXe légion, retient en otage Leta, fille du puissant chef de clan scot Galam . Entre haine et passion, leur relation toxique va conduire Leta à trahir celui qui avait fini par lui accorder sa confiance, précipitant les légions romaines vers une défaite cuisante face aux tribus scots et leurs alliés mythologiques, les géants Fomôrés.
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Éric CorbeyranLe Régulateur tome 5 sur 6
/5 28 notes
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Résumé :
- Tu as toujours été régulateur ? - Toujours, oui. - Tu n'as donc pas eu le choix... - Pourquoi dis-tu ça ? - Parce qu'il me semble que lorsqu'on a le choix, il est humainement impossible de tuer des gens pour gagner sa vie... - J'ai eu le choix une fois... Un jour, j'ai visité un lieu rempli d'espoir... - Tu parles de la zone interdite ? - Tu connais cet endroit ? - Je l'ai traversé plusieurs fois lors de raids sur Biapolis pour réapprovisionner nos réserves alimen... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5)
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Assurément le meilleur album de la série !!
Dans ce tome 5 nous faisons un retour en arrière sur la période précédant la Grande Intox qui a vu l'avènement de la Régulation.
Les parlementaires étaient incapables de prendre des mesures au rétablissement de l'équilibre tant économique qu'écologique. Les grandes compagnies transnationales retardaient la fermeture des activités les plus polluantes. Aux quatre coins de la planète les grands centres urbains étaient arrivés à saturation. Les métropoles étaient au bord de l'asphyxie et de l'anéantissement.
Le système avait atteint ses limites, la pollution sa cote d'alerte.
Des maladies nouvelles se comptaient par centaines. Les épidémies se soignaient à coups de fusil. C'est la que des organisations de régulation sont apparues et ont formé des jeunes à devenir régulateurs comme Aristide, Ambrosia.
Dernier intérêt de ce tome, l'arrivée de Cordelia, petite de 10 ans qui est parvenue à vivre dans ce nouveau monde de desolation, de trouver une forme de bonheur et d'optimisme. Ses échanges avec Aristide, toujours sous l'emprise d'Escula, seront certainement essentiels pour comprendre le T6 (suite et fin de la série)
Dans ce tome 5 nous faisons un retour en arrière sur la période précédant la Grande Intox qui a vu l'avènement de la Régulation.
Les parlementaires étaient incapables de prendre des mesures au rétablissement de l'équilibre tant économique qu'écologique. Les grandes compagnies transnationales retardaient la fermeture des activités les plus polluantes. Aux quatre coins de la planète les grands centres urbains étaient arrivés à saturation. Les métropoles étaient au bord de l'asphyxie et de l'anéantissement.
Le système avait atteint ses limites, la pollution sa cote d'alerte.
Des maladies nouvelles se comptaient par centaines. Les épidémies se soignaient à coups de fusil. C'est la que des organisations de régulation sont apparues et ont formé des jeunes à devenir régulateurs comme Aristide, Ambrosia.
Dernier intérêt de ce tome, l'arrivée de Cordelia, petite de 10 ans qui est parvenue à vivre dans ce nouveau monde de desolation, de trouver une forme de bonheur et d'optimisme. Ses échanges avec Aristide, toujours sous l'emprise d'Escula, seront certainement essentiels pour comprendre le T6 (suite et fin de la série)
Toujours sombre, aussi métallique, industriel, ce volume nous plonge dans les bas fonds de la cité, dans ses racines, dans son coeur, et nous permet ainsi d'en comprendre toute l'histoire. L'on nous révèle également l'origine des régulations et de leurs agents. Beaucoup de dialogue dans ce tome qui se veut plus intime, plus explicatif. La réflexion, l'introspection et le recul sont de mise et prennent le dessus sur l'action.
Les dessins sont moins bons, on reconnait à peine les protagonistes ( spécialement la mère d'Aristide Nyx, méconnaissable!) mais j'aime toujours le côté pesant, étouffant et malsain rendu par le choix des couleurs; c'est vraiment très impressionnant, les couleurs et l'atmosphère qu'elles créent se suffisent presqu'à elles même tant elles sont bien choisies.
Les dessins sont moins bons, on reconnait à peine les protagonistes ( spécialement la mère d'Aristide Nyx, méconnaissable!) mais j'aime toujours le côté pesant, étouffant et malsain rendu par le choix des couleurs; c'est vraiment très impressionnant, les couleurs et l'atmosphère qu'elles créent se suffisent presqu'à elles même tant elles sont bien choisies.
Voilà que l'on retombe dans les travers de la simplification. Ce qui était sous-entendu devient expliqué de façon didactique. Les dialogues sont épuisants de viduité, on ne trouve rien à mettre en exergue, tant c'est pauvre. Happé au départ par le scénario et l'ambiance des dessins, cette lecture me devient franchement pénible.
Côté dessin, ça reste appréciable, même si cela ne fourmille plus de détails, et que les personnages ne sont plus si bien définis (le héros et sa mère sont difficilement reconnaissables par instant). Les textures restent impressionnantes, rendent grâce aux matières supposées de ce monde mêlant bois et ferraille, les couleurs riches. Mais encore une fois, le scénario m'épuise, tourne à l'adolescent et au remplissage. Vivement le dernier tome, qu'on en finisse. Je crains malheureusement une belle déception. Je ne m'attendais pas à autant déchanter en arborant cette saga de Corbeyran.
Côté dessin, ça reste appréciable, même si cela ne fourmille plus de détails, et que les personnages ne sont plus si bien définis (le héros et sa mère sont difficilement reconnaissables par instant). Les textures restent impressionnantes, rendent grâce aux matières supposées de ce monde mêlant bois et ferraille, les couleurs riches. Mais encore une fois, le scénario m'épuise, tourne à l'adolescent et au remplissage. Vivement le dernier tome, qu'on en finisse. Je crains malheureusement une belle déception. Je ne m'attendais pas à autant déchanter en arborant cette saga de Corbeyran.
On approche de la fin de la série avec ce cinquième tome et, à ce niveau, je ne m'attends plus à une quelconque bonne surprise. Au contraire, la qualité de cette saga steampunk a tendance à se dégrader progressivement. le scénario suit un schéma classique pour ne pas dire simpliste. L'impression d'avoir déjà lu ce genre de BD un bon million de fois... Ça reste toujours un minimum divertissant. C'est déjà ça...
Cette série offre décidément (pour une fois ... surtout à l'époque où elle est sortie ! ) la part belle aux femmes/filles, c'est cool.
Ici l'Espoir est porté par Cordélia , une fille de 10 ans résolument altruiste/optimiste ...
Un tome qui recentre un peu la série sur les êtres et moins sur l'action-pour-l-action , ce qui n'est pas plus mal ...
En route pour le final ... ouvrons maintenant le tome 6 ...
Ici l'Espoir est porté par Cordélia , une fille de 10 ans résolument altruiste/optimiste ...
Un tome qui recentre un peu la série sur les êtres et moins sur l'action-pour-l-action , ce qui n'est pas plus mal ...
En route pour le final ... ouvrons maintenant le tome 6 ...
critiques presse (1)
Il y a à nouveau des scènes spectaculaires et d'autres plus réservées qui enchantent le lecteur. Les décors des "faubourgs" sont vraiment impressionnants. Les engins crées sont incroyables et originaux. Ils ont su donner vie à cet univers.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (2)
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La régulation n'est pas un métier qu'on peut chérir. C'est un devoir qu'on se doit d'accomplir. La régulation est une guerre censée rendre sa souveraineté au peuple, sa fierté aux démunis, et de l'espoir à ceux à qui l'on a tout pris.
Parce que je n y ai jamais cru. je suis un tueur, pas un reveur.
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