Indigo

beaucoup de bruit et d'éloges pour rien.
histoire inexistante, banalité
j'ai écouté le livre audio lu par Cécile Cassel dont la voix n'est pas agréable non plus : va donc bien avec l'histoire ; mais quelle histoire ?
perte de temps assurée.

Ce roman Indigo est une véritable déception. Une fois que l'on a dit Qu'Indigo est la couleur bleue sombre des vêtements indiens ou encore la couleur d'un ciel orageux indien , on pense avoir tout dit .
Et bien non car il y a encore le jeux de mots Indigo
et Inde I go !.
Voilà vous savez forcément que l'action du roman ce passe en Inde. Plus particulièrement en Inde du Sud entre Tamil Nadu et Kérala.
Dans cette partie sud de l'Inde l'Alliance Française a organisé un festival culturel pendant 8 jours.
Quatre français , deux hommes et deux femmes viennent y participer.
Ils sont écrivains ou réalisateurs.
A ces quatre personnages s'adjoint Géraldine qui organise ce festival pour l'Alliance Française.
Chacun est venu en Inde avec son petit baluchon de questions existentialistes, de fantasmes sexuels, de vernis occidental.
Et pendant tout le roman , passant de l'un à l'autre au gré des chapitres, Catherine Cusset va disséquer les questionnements de ces Bobos en Inde.
Contrairement à ce qu'affirme la quatrième de couverture, Catherine Cusset ne nous fait pas découvrir une humanité complexe, tourmentée et captivante.
Je n'ai trouvé aucune empathie pour un quelconque personnage de ce roman et ils ne me laisseront aucun souvenir.
Meme pas le souvenir de l'Inde du Sud qui n'est qu'un prétexte aux aventures artificielles des personnages.
Quel dommage.





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"Y avait Roland, y avait Raphaël et puis Géraldine.....et même Charlotte, à bicyclette !!!...Comme aurait pu le chanter Yves Montand . de plus, Roland (par exemple), est venu avec Renata mais espère retrouver Srikala après avoir vécu avec Anne-Marie et Irina et puis Hélène ! Tant de personnages dans un si petit roman m'a donné le tournis: au bout de 50 pages, je ne savais plus qui était qui, qui était avec qui, qui avait aimé qui !
Donc, quatre français, invités à un festival culturel, se retrouvent en Inde pour une semaine: intrigue(s) sans intérêt, à la limite parfois du roman "à l'eau de rose", étude psychologique de bazar, pâle description de l'Inde et de ses habitants. Franchement où est passée,dans ce salmigondis de banalités, la Catherine Cusset d' "Un brillant avenir" ?

Quel ennui ! Un festival en Inde et voilà une belle occasion pour rompre avec la monotonie du quotidien des participants : sortons les armes du séducteur blasé ,des amourettes pour ex-midinettes casées, une femme fatale, quelques regrets du passé qui resurgissent et une vague menace terroriste censée pimenter le tout, quelques clichés occidentaux d'un pays dont on ne découvrira rien. On agite le tout , ça reste insipide, creux pour donner au final un très mauvais roman de gare.
Un conseil : ne perdez pas votre temps, Ignorez !

Ni le style, plat, ni les personnages ne sont parvenus à me faire apprécier ce roman. Décevant !

La quatrième de couverture semblait alléchante mais je ressors bien déçue de ce roman insipide dans lequel il ne se passe pas grand-chose sauf quelques parties de jambes en l'air qui ne semblent même pas ravir les personnages... On passe de l'un à l'autre dans cette histoire décousue où ils ne se rejoignent jamais vraiment, perdus eux-mêmes dans des remises en questions vaines et oiseuses sur l'amour, la vie mais aussi et surtout le sexe, dans une Inde pas très ouverte sur ce point précis. De ce grand pays coloré plein de saveurs épicées, on n'apprend rien de bien intéressant. Les personnages autocentrés ne sont pas profonds, pas assez fouillés, ils n'ont pas beaucoup de consistance, on ne s'attache pas à eux. Sans être choquée, je trouve que l'auteur aurait pu se dispenser d'ajouter certains passages très crus qui n'apportent rien à cette histoire, creuse et superficielle.