Citations sur La passe-miroir, tome 2 : Les disparus du Clairdelune (446)
Thorn déglutit contre son épaule.
- Ah, et au fait : je vous aime.
Le passé n'était pas toujour beau à regarder, mais les erreurs des personnes qui l'avaient précédée sur Terre étaient aussi devenues les siennes. Si Ophélie avait retenu une chose dans la vie, c'était que les erreurs étaient indispensables pour se construire.
-p. 288 (format poche), Ophélie
Vous m'avez voulu honnête avec vous.
Vous apprendrez donc que vous n'êtes pas pour moi qu'une paire de mains. Et je me contrefiche que les gens me trouvent douteux, du moment que je ne le suis pas à vos yeux.
-p. 195 (format poche), Thorn
Nota Bene : « Scelle tes charmes. » Qui a prononcé ces paroles et que signifient-elles ?
Ce ne sont pas mes sentiments, se répéta-t-elle plusieurs fois. Ce n’est pas moi.
Si vous doutez encore de moi à l’avenir, lisez-la.
Je ne me rendais pas compte que vous me redoutiez à ce point.
Ophélie admirait profondément la Mère Hildegarde, mais elle n'aimait pas ces sabliers-invitations dont elle était l'inventrice.
C'était un moyen de locomotion qui ne manquait pourtant pas d'ingéniosité : il suffisait d'ôter la goupille pour déclencher le mécanisme de retournement, puis être aussitôt transporté à la destination prévue, et ce jusqu'à l'écoulement complet du sable. La quantité de celui-ci et la taille du goulet étaient proportionnelles à l'importance du convive, l'invitation pouvant ainsi varier de quelques minutes à plusieurs jours.
"C'est de votre coeur qu'il a réellement besoin, pas de vos mains"