Citations sur La passe-miroir, tome 2 : Les disparus du Clairdelune (446)
Je pense que vous avez... comment dire... une prédisposition surnaturelle aux catastrophe.
Ma place est là où j'aurais choisi d'être.
Vous voulez toujours mes opinions et mes conseils, mademoiselle ? Voici mon opinion : vous avez urgemment besoin d'être conseillé. Et voici mon conseil : écoutez toujours mon opinion.
Soyez impressionnante. Je ne vous dis pas cela pour vous angoisser. Je vous le dis parce que vous en êtes capable, j'en ai été témoin plus d'une fois.
Elle savait avec une absolue certitude qu’à l’instant où ils se sépareraient, elle ne connaîtrait plus jamais la chaleur.
« La première fois que je vous ai vue, je me suis fait une piètre opinion de vous. Je vous croyais sans jugeote et sans caractère, incapable de tenir jusqu’au mariage. Ça restera à jamais la plus grosse erreur de ma vie. »
« À cette seconde, elle sut enfin avec une absolue certitude où se trouvait sa place. Ce n’était pas au Pôle, ce n’était pas dur Anima. C’était à l’endroit précis où elle se tenait maintenant. Aux côtés de Thorn. »
« Vous m’avez voulu honnête avec vous. Vous apprendrez donc que vous n’êtes pas pour moi qu’une paire de mains. Et je me contrefiche que les gens le trouvent douteux, du moment que je ne le suis pas à vos yeux. »
« Si Ophélie avait retenu une chose dans la vie, c'était que les erreurs étaient indispensables pour se construire. »
« La vérité est un lourd fardeau, elle n'est pas à mettre sur toutes les épaules. »