Oui, je suis un paysan catalan dont chaque cellule est ramifiée à une parcelle de son sol, chaque d’étincelle d’esprit à une période de l’histoire de la Catalogne, patrie de la paranoïa.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.