Le dernier jardin, tome 1 : Éphémère

Super bon roman, mais j'aurais vraiment aimé en savoir plus sur la maladie! Et la relation entre les soeurs épouses est super intéressante à voir évoluer. Bref, un très bon potentiel... J'en ai fait la critique sur mon blog ci-dessous! :)
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Ce livre m'intriguait surtout de part sa belle couverture. Je ne suis encore que très peu entrée dans l'univers des dystopies, aussi je les découvre un peu au compte goutte. Ce n'est pas forcément le genre qui me plait le plus, mais j'entends tellement parler des perles qu'il semble convenir, que je finis souvent par me laisser tenter. Celui-ci ne fait pas exception. Heureusement j'ai apprécié cet univers et je me suis plongée facilement dans ce récit.

Rhine vit dans un monde bien différent du notre. Suite à des avancées technologiques, les maladies ont été éradiquées, seulement la contrepartie est rude: les jeunes filles meurent à 20 ans et les jeunes hommes à 25 ans sans que personne ne puisse rien faire! du coup, de drôles de dérives sont apparues, principalement avec les Ramasseurs qui enlèvent des jeunes filles pour les vendre pour des mariages forcés. Notre héroïne va se faire enlever et se retrouver la quatrième épouse d'un jeune homme qu'elle ne connaît pas du tout, Linden. Sa première épouse qu'il aime sincèrement est en train de mourir et le père du jeune homme a acheté trois nouvelles femmes pour lui, toutes très différentes les unes des autres: la jeune Cecily, la froide Jenny et Rhine la rebelle.

C'est ainsi que Rhine va plonger dans sa nouvelle vie, même si son seul but est de s'enfuir loin de là pour retrouver son frère. Elle va petit à petit découvrir ses soeurs épouses et son mari, ainsi que la première épouse avec qui elle se lie rapidement d'amitié. A sa mort, elle va découvrir avec horreur que le père de son époux leur cache bien des choses et qu'il a des desseins assez sombres, même si ses intentions semblent bonnes.

L'histoire en elle-même est intéressante. Elle démarre sur des chapeaux de roue et nous embarque sans nous laisser le temps de nous poser. le seul problème, c'est que cet univers si intéressant ne tient pas la mesure très longtemps. La vie tranquille au manoir, les réflexions répétitives de l'héroïne et les moments contemplatifs sont légions au milieu du livre, ce qui ralentit très fortement le rythme et nous déconnecte un peu de l'histoire. C'est dommage car j'aimais vraiment beaucoup le début!

Le gros point positif concerne les personnages. Quelque soit leur vision du monde et de leur vie, on arrive difficilement à les détester. La naïveté de Linden est ahurissante, les gamineries de Cecily exaspèrent par moment, mais ils ont tous un côté fragile, des envies d'ailleurs, des buts qu'ils n'atteignent pas, leur vie n'est pas rose quelque soit le côté d'où on regarde. Cet élément les rend humains, fragiles et proches du lecteur. On s'habitue à leur présence et un lien d'amitié se tisse avec eux en même temps que notre héroïne s'attache à eux.

Après beaucoup d'évènements sont prévisibles, attendus, et souvent pas assez développés. le huit-clos dans lequel se passe le récit crée une atmosphère lourde et palpitante, mais à trop enfermer les personnages, il empêche un avancement et nous laisse sur notre fin. de plus, j'aurais voulu en apprendre beaucoup plus sur cet univers et plonger plus en profondeur dans les recherches menées par Maître Vaughn. Peut-être que le tome 2 répondra à cette demande.

En bref, même si je m'attendais à plus d'action et de développement, ce livre est une très belle découverte qui m'a emportée sans difficulté. Les personnages m'ont beaucoup plu et j'espère tous les revoir dans la suite de l'histoire.

Un peu déçue par cette dystopie : tous les ingrédients sont bien là et l'intrigue semble intéressante mais c'est ce qu'en fait l'auteur qui plombe le reste. C'est très long et ce n'est qu'à la fin que l'action s'enchaîne ! L'incontournable histoire d'amour de toute dystopie ne m'a pas emportée non plus !
Et un détail qui m'a VRAIMENT mise très mal à l'aise c'est comment est traité le sexe : la petite Cécily, à peine 13 ans et déjà "engrossée" sans problème, la vision de la femme est assez sombre alors certes c'est le but d'une dystopie : montrer le pire avenir que le monde pourrait connaître mais j'ai quand même trouvé malsain toutes ces jeunes filles enlevées pour devenir des mères épouses prisonnières d'un homme !
Peut-être que ce livre m'a mise face à ma pire vision du monde !

Dans le dernier Jardins, éphémère tome1, l'humanité a su trouver un moyen d'exterminer le cancer, ce qui a pour conséquence de fortement diminuer l'espérance de vie des générations suivantes. Que faire lorsque l'on sait nos jours limités? Comment évité l'extinction de la race humaine?
Les riches ont trouver la réponse en faisant enlever des femmes afin d'en marier plusieurs et de se reproduire avec elle. Rhine fait partie de ses femmes, elle est arraché à son frère jumeaux et poussé dans les bras de Linden. Jenna et Cecily, qui ont vécu le même enfer qu'elle, sont à ses côté afin de devenir ses ''soeur-épouse''. Que faire dans une telle situation? FUIR évidement! Malheureusement pour fuir et faut élaborer un plan et élaborer un plan ça demande du temps.

C'est donc dans cette attente que Rhine fait la connaissance de son domestique Gabriel pour qui elle va développer des sentiments forts. Elle apprend également à connaître ses ''soeur-épouse'', dans lesquelles elle peut ce reconnaître ayant des douleurs communes et tisser de fortes amitiés. On découvre aussi son mari Linden. Au fil des pages, je me suis attaché à ce jeune héritier, ce n'est pas lui le méchant de l'histoire mais quelqu'un d'autre qui tire les ficelle à sa place. Il est simplement naïf. Peut-on lui en vouloir d'aimer Rhine et de tenter de la rendre heureuse tout en soignant ses propres blessures?

Donc au moment de s'échapper, beaucoup de gens dans sa prison dorée compte sur Rhine et l'aime. Est-ce toujours une si bonne idée de fuir?
J'ai beaucoup aimé ce livre, mais je ne suis pas certaine de ma position face à la finale. Peut-être que Gabriel fut trop absent dans les derniers chapitres, mettant leur romance au second plan et par le fait même ramenant à l'avant scène Linden si tendre et adorable avec Rhine. Il ignore tout des plans horribles de son père et est si manipuler qu'il croit sincèrement agir pour le mieux et sauver ses trois adolescentes d'un sort désastreux. J'ai de la peine qu'il soit laissé à l'abandon avec Cécily, tout deux entre les griffes de Vaughn.
J'attends la suite avec impatience, peut-être que l'auteure saura me convaincre qu'il s'agissait bel et bien de la meilleure solution.

Je suis d'ores et déjà emballée par ce premier opus dont l'intrigue est bien menée et qui aborde des sujets de moralités qui sortent des sentiers battus : la mort, la polygamie, le deuil, les expériences scientifiques pratiquées sur sujets vivants, la liberté… Un texte agréable, une plume fluide, et un récit surprenant et intéressant...https://pauseearlgreyblog.wordpress.com/2017/03/13/ephemere-le-dernier-jardin-1-lauren-destefano/
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Un roman d'anticipation jeunesse qui ne m'a pas vraiment marqué, et si je devais qualifier cette vague empreinte qu'il m'a laissée ça se résumerat à un "bof".

Beaucoup de longueurs, de la romance en veux-tu en voilà, une intrigue qui n'avance pas et manque de solidité.

Bref pas de quoi fouetter un chat.

Je m'y attendais un peu mais ce n'est pas un coup de coeur

Autant être honnête, en matière de jeunesse et de young adult, je suis extrêmement difficile. Alors une saga comme le Dernier Jardin, vous serez quasiment sûrs d'avoir une note moyenne. Toutefois, oui je continue d'en lire pour dénicher des pépites comme Hunger Games, Journal de la fin du Monde, Pure, et autres que je trouve être du Young adult... Comment dire ? Pas de qualité mais qui correspond plus à mes goûts. En effet, je ne suis pas de ceux et de celles qui pensent automatiquement que quelque chose qui n'est pas de mon goût n'est pas de qualité.

Dans le cas du Dernier Jardin. Je n'ai pas eu mon coup de coeur, mais il n'empêche que le livre en lui même possède des qualités et je pense qu'il plaira à bon nombre d'adolescents. Moi, perso, il y a des trucs qui me gênent (comme la plus jeune épouse de 13 ans, Cécilia. Désolée mais moi cela me gâche la lecture). Bref. Il y a des facilités dans le récit qui me dérange comme l'obtention des petits surnoms par les épouses assez rapidement, l'héroïne qui commence à avoir un syndrome de Stockolm assez marqué par moment, des personnages assez caricaturaux tout de même. Ce sont des choses qui me font tiquer même si dans l'ensemble j'ai passé un bon moment. Faut pas non plus exagérer.


Pas trop de guimauve que ça pour une histoire de harem en fait

C'est vrai. C'est très édulcoré tout de même. Mais les trois nanas de ne se pâment pas d'amour tout le temps pour leur mari. le livre le montre clairement, on vit dans une perpétuelle représentation. Les jeunes hommes mâles veulent croire en la rémission de leur gênes (en gros une cure) et acceptent de procréer plus rapidement en ayant plusieurs femmes. Les dites femmes sont en fait de très jeunes filles qui ne sont pas consentantes mais qui font semblant de l'être sinon elles ont une balle dans la tête. le tout essayant d'être joyeux parce que les filles meurent à 20 ans et les hommes à 25 ans. Forcément, on s'accroche à ce que l'on peut pour se croire heureux.

Mais bon, si ce premier tome se prolonge ainsi pour les autres, on tournerait très vite en rond. Mais d'après ce que je pense avoir lu des autres, cela change pas mal. Ainsi, ce premier tome fait un état des lieux de la situation actuelle, qui n'est pas glorieuse : à force de vouloir améliorer son code génétique pour être plus beau, plus fort et durer plus longtemps, le genre humain s'éteint petit à petit car sa génération future ne survit pas plus de la vingtaine. Ce qui ramène la vieille génération a toujours bosser pour un remède et la jeune à procréer le plus rapidement possible.

La métaphore avec les papillons est évidente et joliment tournée. Nous avons de plus une héroïne qui n'a pas vraiment vécu dans une prison dorée toute sa vie. Mais je trouve qu'elle devient vite l'héroïne idéale un peu trop facilement (mais cela vous le saurez en lisant la totalité du truc).

En bref, une lecture en demi teinte mais qui m'a fait passer la soirée gentiment. Bon, après, mon amoureux il n'avait pas à me demander de ranger le salon parce que je lui en aurai mis une. Mais promis, c'est lui qui a sorti les poubelles ;)
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Un total coup de coeur.
Dès les premières lignes j'ai accroché. On nous balance tout de suite dans l'histoire et j'ai su à la première page que j'aillais aimer ce roman.

Premièrement, mais quelle belle page de couverture. Il est facile de se laisser tenter par un roman dont l'image est si attirante.

Je n'ai pas de points négatifs à donner.
Je ne lis les résumés des romans qu'en décidant de les mettre dans ma PAL ( qui est énorme) ce qui fait que lorsque j'ouvre un roman, je ne me rappelles souvent pas de quoi il va parler. J'aime l'effet de surprise quand je commence une histoire sans savoir du tout où ça me mènera.

Pour Éphémère, ça à été une très bonne surprise. Je crois que toutes les femmes qui ont rêvé être une princesse, étant enfant, s'attacheront facilement à Rhine et à son univers.
Ce qui change par contre des contes de fées c'est que la vie de Rhine est loin d'en être un.

Ce n'est pas un roman pleins d'action, je le concède, mais ça ne m'a pas du tout manqué. J'ai été absorbée et attend avec grande hâte la sortie de la suite qui ne saura tarder.

Au cours de cette lecture j'ai découvert un roman qui a su faire rêver mon imaginaire, mais j'ai aussi découvert une auteur extraordinaire. Je me suis plu à lire ses lignes écrites d'une manière très habile. Elle a su, sans se perdre dans les descriptions, nous faire voire les couleurs et les images de ce quelle nous raconte de manière poétique.
Je crois que la traductrice de ce roman à fait un beau travail aussi car elle a su garder ces descriptions tout à fait mélodieuses, ce qui parfois disparaît avec la traduction.

En conclusion, ce roman m'a fait rêver, j'ai adoré cette dystopie et attends la suite avec hâte ainsi que tous ce qui sortira de la plume de Lauren DeStefano.

Le dernier jardin est une saga dystopique où l'humanité, après avoir cru apprivoiser la nature à l'aide la science, la voit se retourner contre elle avec l'apparition d'un virus qui sévit depuis désormais plusieurs générations, et qui condamnent les hommes à ne pas vivre au-delà de vingt-cinq ans, contre vingt ans pour les femmes.

Malgré une idée de départ somme toute intéressante, je n'ai pas accroché à ce premier tome, Éphémère. On y suit Rhine, une adolescente de seize ans, sélectionnée avec Cecily et Jenna pour devenir les épouses d'un gouverneur domanial, et ainsi assurer la reproduction de l'espèce humaine.

Le problème de ce livre, c'est que rien n'est développé, et qu'en plus, il y a des incohérences. Au tout début, on apprend que les générations suivantes sont encore plus saines et vigoureuses que la génération d'origine, à l'exception du virus qui les fauche à la vingtaine. Or, par la suite, on se retrouve face à un Linden de faible constitution, et il est souvent question de fièvre, de maladie… de même, il faut se reproduire afin d'avoir plus de cobayes et de sujets d'études pour tenter de trouver un antidote à ce fléau, mais on commence d'entrée par abattre une camionnette pleine de filles, parmi lesquelles seules trois sont destinées à devenir des mères porteuses ?

Tout au long de l'histoire, Rhine a pour objectif de s'échapper de la prison dorée dans laquelle elle a été enfermée. Si Linden, son mari forcé, ne se révèle pas particulièrement désagréable (il est plutôt bienveillant, crédule et facile à manipuler), elle doit affronter le « redoutable » maître Vaughn (le père de Linden), qui surveille les épouses et mène de sordides expériences au sous-sol.

Je mets redoutable entre guillemets, parce que lui comme tout le reste n'est pas particulièrement creusé. L'évasion de Rhine consiste à attendre, faire les yeux doux à son mari dans l'espoir de gagner sa confiance, et sa seule action concrète avant la fin du livre consiste en une tentative passablement stupide et insensée qui se soldera (évidemment) par un échec.

On attend, on attend… Tout cela pour une fin expédiée avec une facilité déconcertante. Sérieusement ? C'est tout ? Pire encore, je dois bien avouer qu'au fil des pages, j'étais devenue indifférente au sort de cette parfaite comédienne manipulatrice que s'avère être Rhine. Ce qui m'intéressait surtout, c'était Vaughn, ses sous-sols et… rien. Même quand Rhine va y faire un tour, je m'étais préparée à ce qu'elle y découvre des choses effroyables, mais non, elle se contente de déambuler dans les couloirs jusqu'à tomber sur la personne qu'elle recherche.

Si c'est une ruse pour nous pousser à lire la suite dans l'espoir d'obtenir (enfin) des réponses, c'est raté en ce qui me concerne, parce que ma curiosité ne l'emporte pas sur mon absence d'intérêt quant au sort des personnages, en particulier celui de Rhine, dont je suis à peu près certaine que les yeux vairons conduiront à une sorte d'immunité ou à l'antidote, et de Gabriel, qui est selon moi doté du charisme et de la profondeur d'une plante verte…

Seule Cecily se démarque un peu de ces deux-là, elle est souvent insupportable et versatile, mais au moins, cela la rend moins lisse. Malgré tout, je ne poursuivrai pas avec les tomes suivants, et je ne recommande pas non plus cette dystopie. Je pense qu'il est possible de trouver bien mieux.
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La couverture de ce roman est une pure merveille.

J'ai beaucoup apprécié cette dystopie. Alors c'est sûr, si vous cherchez de l'action toutes les 4/5 lignes, des héroïnes qui se battent comme stalonne, il vaut peut être mieux passer votre chemin et lire des hunger games ou divergente (j'ai adoré les deux je précise !)
Passer son chemin? Non, je pense au contraire qu'il mérite d'être découvert.
Au niveau de la narration, c'est le point de vue de Rhine, une jeune fille de 16 ans qui nous entraîne dans une histoire dramatique. je me suis mise à sa place tout au long du roman.
Cette dystopie se présente comme un huis clos.
Dès le début du roman, on est plongé dans l'horreur. Dans un monde, où tous les pays ont disparu (sauf l'amérique du nord), où le cancer a été vaincu mais remplacé par un terrible virus qui tue les jeunes filles à 20 ans et les garçons à 25, Rhine est enlevée avec d'autres jeunes filles et emmenée dans des conditions inhumaines dans une camionnette. A l'arrivée, elle fit partie des 3 jeunes filles sélectionnées pour épouser Liden et vivre chez lui dans un manoir de toute beauté. Rhine est déterminée à se sauver et à retrouver son frère jumeau alors que Jenna, 18 ans attend la mort et que Cécily 13 ans qui n'a connu que l'orphelinat voit dans sa nouvelle vie un conte de fée et ne rêve que de devenir la favorite de Liden. Les 3 jeunes filles deviennent des soeurs épouses privées de liberté. Des liens se tissent entre elles. Les filles vont découvrir que Liden est manipulé par son père (trop naïf pour poser les bonnes questions) et Rhine va finir par s'attacher un peu à lui.
J'ai vraiment eu peur pour Rhine ainsi que pour Gabriel, un jeune domestique dont elle est tombée amoureuse. Je comprends l'attitude de Rhine (on ne peut pas tout envoyer valser n'importe comment si on ne veut pas se prendre une balle dans la tête !).
J'ai beaucoup apprécié aussi Jenna. Cecily peut paraître agaçante mais ce n'est qu'une petite fille.
Le tome 2 nous apportera peut être des révélations: comment en est-on arrivé à cette situation? Quel est ce virus? Que fait vraiment le père de Liden dans son sous sol?
En tout cas j'ai hâte de découvrir le tome 2.
J'ai trouvé cette dystopie vraiment originale. Les femmes y sont maltraitées mais de tout temps, ne sont-elles pas les premières victimes? Je n'ai pas été choquée par la polygamie puisque ça fait partie du monde. Je trouve l'idée assez logique. (je n'approuve pas ce comportement bien sûr !) Je n'aurai pas aimé être à sa place, arrachée de chez elle et placée comme un beau bibelot dans un château de conte de fée dont on attend qu'elle fasse des enfants à la chaîne !.