AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,18

sur 303 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Bien.
J'ai un vrai problème avec ce livre que j'ai lu très tôt, en décembre, bien avant que fleurissent dans les quotidiens et les hebdos des pleines pages d'interviews de Constance Debré et autres chroniques.
Restons sur ma lecture pour commencer.
Une femme raconte, dans une langue volontairement crue, directe et je dirais même vulgaire ses expériences sexuelles, celles d'une femme qui s'est rendue compte très tôt de son attirance pour le genre féminin, et qui se comporte comme un homme. Enfin comme un play-boy ou un goujat plutôt.
Pourquoi pas ? le problème c'est que ça n'a à mes yeux aucun intérêt littéraire et aucun intérêt tout court vu le traitement qu'en fait l'auteur (l'auteur ?).
Le seul intérêt réside dans la biographie de la dame, issue de la famille Debré et du fait qu'elle utilise ce roman (roman ?) pour régler ses comptes dans un style qui se veut "shocking", du style à décoiffer la bourgeoise...
Si on lit sans savoir qui elle est, on repose le truc en se demandant si c'est une blague... En tout cas, c'est l'effet que ça m'a fait... j'ai pensé à tous ces manuscrits que des auteurs envoient avec espoir dans des maisons d'édition et qui sont vaguement survolés, parfois même pas lus... et je me suis dit qu'il y a quand même des trucs qui ne tournent pas très rond.
Alors certains ne seront pas de mon avis. Peut-être prendront-ils plaisir à cette lecture ou trouveront-ils "époustouflant" cette façon de mettre les pieds dans le plat... Chacun ses goûts. Moi je persiste à attendre autre chose d'un livre.
Commenter  J’apprécie          546
‪Du cru, du brut, du cul. La crise d'ado d'une quadra à la vie aisée qui s'ennuie. Ses considérations sur le genre féminin m'ont exaspéré. Constance Debré, lesbienne misogyne : j'ai du mal. ‬
‪C'est acerbe, provocant, intime. Loin d'être indispensable, ceci dit.‬
Commenter  J’apprécie          70
Je n'ai pas apprécié ce livre, non pas parce que c'est une fille de … mais parce que j'avais écouté les interviews et notamment chez Ruquier ( je confirme : Moix a dit n'importe quoi, il n'a pas donné son avis, il a déversé sa haine) et j'étais intéressée par le fait qu'elle cherche à ciseler ses textes.
Mais finalement, j'ai trouvé son style plutôt pauvre.
Et ce coté « aristo que l'ennui de la vie rend méprisant » m'a plutôt fatiguée
Ce livre relate surtout l'ennui, la découverte de l'homosexualité affichée… quelques phrases provocatrices, histoire de marquer le lecteur, l'impression qu'elle est hors de sa vie.
L'impression aussi qu'elle n'a rien à raconter
….bof bof bof !!!
Commenter  J’apprécie          40
Après une quinzaine d'années de mariage et un garçon, la narratrice se tourne vers les femmes, Comment elle les abordent comme elle franchit le pas et comment ces nouvelles histoires se construisent.
J'avais lu ou entendu une belle critique sur ce livre et sur la façon dont le désir y est traitée. Quelle déception ! Où est la fulgurance ? le plaisir ? Où sont les émotions ? Noyés dans des propos cyniques et coléreux, moroses et dépriment. Un roman autobiographique où l'actrice se cherche et nous perd dans les hauts et ses bas.
Un roman où les relations entre femmes sont traitées de manière phallocratiques, comme un produit de consommation.
Le style est percutant voire provocant, pourquoi pas mais le fond une misère.
Lien : http://keskonfe.eklablog.com..
Commenter  J’apprécie          40
Acheté sur une impulsion à la caisse d'une librairie où il était mis en avant près du terminal CB, lu en une nuit (d'insomnie).
C'est un peu la destinée de ce genre de livre en ce qui me concerne.
Parce que le roman autobiographique est par définition un exhibitionnisme, une pornographie et que je trouve ça finalement sans intérêt, ni littéraire ni sur le plan des idées.
Parce que crier son mal de vivre, le cracher sur la page blanche est un parti pris de mal écrire, volontairement sans filtre, sans recherche de style, sans structurer un texte ou une pensée, sans étudier avec subtilité les rapports des personnages entre eux. Bref, sans faire l'effort intellectuel attendu chez tout écrivain.
Parce que même si l'auteure crache dans la soupe familiale, on peut dire qu'elle la mange quand-même. Ses oncles ont réagi à la sortie du livre, en faisant certes involontairement la promotion, mais la promotion quand-même. Son seul nom fait vendre ce qui serait sans doute passé inaperçu venant d'une illustre inconnue.
Parce que le paragraphe sur son grand-père est le seul bon passage littéraire du livre, mais qu'on a un peu le sentiment qu'il est là pour faire le buzz.
Alors au premier abord ce petit livre réussit à vous choquer, mais tout bien réfléchi, c'est un livre mauvais, dans le sens "qui fait du mal".
Commenter  J’apprécie          30
J'avais entendu parler de ce roman et de lire le résumé, je m'étais dit que cela allait me plaire. Et finalement, je n'ai pas beaucoup accroché. Peut-être est-ce la plume de Constance qui ne me correspond pas. Mais bon, ceci n'est que mon avis, il peut très bien plaire à bien d'autres personnes.
Commenter  J’apprécie          20
Je n'ai pas apprécié ce roman, je l'ai trouvé vide. le style d'écriture se voulait brut mais au contraire je l'ai trouvé prévisible sans grande originalité. C'est dommage car au début du livre j'aimais bien mais au fur et à mesure je me suis lassée.
Commenter  J’apprécie          20
Un ton désabusé et froid, avec beaucoup de vulgarités, mais le découpage en petits chapitres donne du rythme, et on admire de temps en temps quelques beaux aphorismes.
Commenter  J’apprécie          20
Je viens de terminer la lecture de ce roman et je reste très partagée. D'un côté, j'ai aimé cette façon d'écrire simpliste , provocante et sans chichis ainsi que cette facilité à raconter sa vie sans aucun filtre ! Et d'un autre côté je me suis très vite lassée par toute cette haine .... tous ses jugements sur la vie qui reste selon moi injustes et sans appel.
Commenter  J’apprécie          10


Lecteurs (662) Voir plus



Quiz Voir plus

Les écrivains et le suicide

En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.

Virginia Woolf
Marguerite Duras
Sylvia Plath
Victoria Ocampo

8 questions
1726 lecteurs ont répondu
Thèmes : suicide , biographie , littératureCréer un quiz sur ce livre

{* *}