Par petites touches d'un des innombrables courts chapitres à un autre comme par sauts de puce on passe d'une île à une autre, Deville dresse le panorama historique de la Polynésie.
On espère cependant pour ses habitants que la vie dans le Pacifique est plus excitante qu'à la lecture de ce livre.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.