Les derniers jours de nos pères

livre mièvre et ennuyeux à une année lumière de l'excellente affaire Kleber

Déçu par ce premier Dicker (après avoir lu les derniers). Une intrigue bien ficelée mais dont le dénouement est trop rapide (et en plein milieu du livre), des lenteurs, des lenteurs et des redites ...

Une histoire longue, trop longue, sans saveur. Certains points un peu historique sont intéressant. Peu, voir pas d'attache avec les personnages. Je me suis accrochée pour finir le livre. Rien à voir avec le plaisir et l'envie de terminer le livre sur l'affaire Quebert.