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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
J'ai tout aimé dès la première ligne dans ce roman. La plume, l'époque, le lieu, l'histoire.
Dublin, 1918 … en pleine guerre, la pandémie de grippe espagnole balaie tout sur son passage.
Julia Power, infirmière à la veille de ses 30 ans, prend soin de ses patientes dans l'unité Maternité/Maladies infectieuses. Avec délicatesse et détermination elle va devoir prendre les rênes du service, sa supérieure étant elle-même clouée au lit par l'influenza dans une autre partie de l'hôpital. Pour l'aider, on lui envoie, Bridie, une jeune bénévole, orpheline inexpérimentée mais dévouée, enthousiaste et courageuse.
Dans cette salle exiguë, elles vont affronter la fièvre, la douleur, le désespoir, l'incertitude, la pauvreté, la misérabilité de la vie. Chaque instant est un combat contre le squelette qui rôde à l'affût d'une nouvelle proie qu'il pourra emmener dans l'au-delà.
Emma Donoghue nous plonge dans un huis clos aux émotions puissantes et fébriles. Dans la chambre étriquée au matériel sommaire, Julia est confrontée au sort qui s'acharne sur les plus démuni et l'infortune qui éprouve même les plus nantis. Contrairement à l'être humain, la grippe n'a aucun préjugés, aucune préférence, elle emporte les jeunes, les vieux, les infirmières, les sans-le-sou, les mères, … les enfants, dans votre lit ou dans la rue, pianissimo ou le temps d'un trajet en tram. le point commun des victimes ? Elles passent par toutes les couleurs et luttent jusqu'à leur dernier souffle.



Propagandes et ravages sanitaires de l'Influenza, ce livre est un témoignage d'une époque, d'une lutte pour sauver des vies, un hommage au courage des femmes.

J'ai tremblé pour eux, Julia pleine de doutes qui embrasse sa vocation et déploie ses ailes, Birdie, espiègle et volontaire, Dr Kathleen Lynn, militante et engagée (personnage réel), pour ces mères et leurs enfants nés ou à naître, pour tous ces gens menacés par la maladie. C'est un livre bouleversant et terriblement bien écrit, le temps s'arrête quand on ouvre le Pavillon des combattantes et en même temps il s'écoule très vite. Ce roman est précieux, je ne peux pas en dire plus, il est mon coup de coeur 2021.
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Peut-être qu'ouvrir ce livre en faisant des parallèles avec une pandémie contemporaine serait se fourvoyer.
L'auteure situe de façon si naturelle dans le contexte que l'on se vêt du quotidien de Julia Powers, et, même si beaucoup de thèmes sont abordés, la réussite d'Emma Donoghue est de faire battre notre coeur en temps présent, de faire ressentir à notre peau le tremblement des émotions, de participer à l'action d'une impensable résignation.


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Alerte coup de coeur ! Avec « le Pavillon des combattantes », Emma Donoghue nous plonge au coeur d'un roman historique haletant, dont le lecteur ne sort pas indemne…

Trois jours. C'est le temps que nous passons aux côtés de Julia Power, infirmière irlandaise promue malgré elle au rang de responsable du service « Maternité / Maladies infectieuses » au sein de l'hôpital dans lequel elle exerce, alors que son pays est en proie à la pauvreté, à la rébellion du peuple contre le gouvernement britannique, à la Première Guerre mondiale et…à la grippe espagnole, pouvant frapper n'importe qui, n'importe quand. Aidée de Bridie Sweeney, orpheline recrutée face au manque de personnel et qui se révèle d'une incroyable efficacité, ainsi que du Dr. Lynn, médecin recherchée par la police britannique, Julia doit faire face à des cas complexes, des évènements bouleversants, des rencontres qui changeront à jamais sa vie, à la veille de ses 30 ans.

Quelle claque ! Dès la première partie, j'ai été happée par le récit, suivant Julia dans ses moindres faits et gestes, l'attention qu'elle porte à chacune de ses patientes, les accouchements qu'elle doit gérer (plus ou moins seule), les décès à reporter, les soins à prodiguer, l'asepsie qui doit être assurée pour chaque instrument réutilisable ; bref, les aléas de la gestion d'un service à risque, en temps de pandémie. Si Emma Donoghue décrit chaque acte médical avec précision et réalisme, l'auteure n'en oublie jamais l'humanité de ses personnages, que l'on voit évoluer avec empathie et bienveillance. Les dernières pages m'ont d'ailleurs brisé le coeur, tout en ouvrant une nouvelle porte dans l'existence de Julia.

Si le milieu médical occupe une place prépondérante dans ce livre (hormis quelques scènes dans l'appartement de Julia, le reste se déroule uniquement à l'hôpital), c'est finalement l'Histoire de l'Irlande qui est évoquée, durant une période de chamboulement, sur le plan politique, mais aussi sur le plan humain : l'Irlande ayant été sévèrement touchée par la grippe espagnole, tout en faisant face à une extrême pauvreté. de même, j'ai apprécié la vision féministe du personnage de Julia : célibataire à 30 ans, indépendante, la jeune femme développe des sentiments…pour une autre femme, à une époque où la femme doit donner naissance à 12 enfants si elle veut être acceptée par son mari.

Si vous êtes intéressé(e)s par l'Histoire et souhaitez faire la connaissance d'une héroïne battante et inspirante, n'hésitez pas et laissez-vous séduire par « le Pavillon des combattantes » !

A lire !
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Les chapitres de ce livre portent le nom des couleurs : Rouge, marron, bleu, noir
Ce roman nous dévoile la triste condition féminine, notamment pour les femmes enceintes et pauvres en Irlande au début du siècle dernier.

L'histoire se passe à Dublin en 1918, le pays sort de la grande guerre, mais une autre guerre fait des ravages, une ennemie sournoise, invisible, et silencieuse, la grippe.
Julia Power est infirmière dans le service  maternité et des maladies infectieuses. Courageuse, elle doit prendre, avec des moyens dérisoires, parfois sans médecin disponible des décisions pour sauver des vies. Une abnégation sans faille.
"Les patients d'abord,  l'hôpital ensuite,  soi même en dernier ".

Une héroïne.

J'ai aimé cette histoire pour les descriptions de la vie à l'hôpital très réalistes notamment les scènes d'accouchement.  Un livre très bien documenté sur les conditions de vie, ou de survie à cette époque.

Emma Donoghue, que j'ai découverte avec Room a une écriture saisissante et très réaliste.
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1918. Dublin. La Grande Guerre, mais pas que… c'est aussi en pleine pandémie de grippe espagnole, qui va, elle aussi, décimé la population. Nous allons suivre Julia Powers, pendant trois jours, dans une petite unité de maternité et maladies infectieuses. Julia est infirmière. Elle sera mise à rude épreuve, devant jongler avec les accouchements et cette grippe très contagieuse dont souffrent les futures mères. Un roman très intéressant, qui nous en apprend beaucoup sur les conditions de l'époque. Et que dire du personnage principal que j'ai adoré. Une femme forte, humaine, empathique, déterminée, héroïque presque. J'ai également beaucoup aimé le personnage secondaire de Bridie, jeune fille élevée chez les religieuses, qui découvre tout de la vie dans la maladie qu'elle sera obligée de côtoyer. Un roman fort, sensible, duquel se dégage beaucoup d'amour. Une très bonne lecture.
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En cette année 1918 deux fléaux sévissent dans le monde: la guerre et la grippe espagnole.
A Dublin, dans une pièce exiguë, l'infirmière Julia Power, la bénévole sans expérience Bridie et le docteur Lynn oeuvrent main dans la main pour aider des femmes malades à accoucher. La plupart sont pauvres. On assiste à un huit clos baigné de sang, de sueur, de cris.
Le chloroforme, le whisky, l'hydrochlorure de cocaïne et les glaçons sont la panoplie qui s'offre à ces trois femmes pour calmer les douleurs des corps, leur humanité adoucit celles des âmes.
C'est l'histoire aussi des enfants abandonnés dans les foyers et celle des"filles mères". Des vies faites de punitions, de violence, d'enfermement et d'humiliations.
Voici un très beau livre qui n'est pas sans nous rappeler" notre" pandémie et la guerre en Ukraine. Tout recommence .....
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Quelle claque ce livre !!!
Dublin, 1918, la Première Guerre Mondiale fait des ravages depuis 4 ans déjà et voilà qu'une nouvelle bataille est engagée, contre un ennemi invisible, un virus, une grippe dont le monde entier se souviendra avec effroi sous le nom de Grippe espagnole.
Dans un hôpital, une jeune infirmière Julia Power qui fête ses 30 ans en ce 1er novembre 1918, se débat avec quelques pauvres moyens pour faire tourner le service de maladies infectieuses réservé aux femmes enceintes dont l'extrême pauvreté est encore accrue par la guerre et ses pénuries et cette affreuse grippe.
Julia aura la chance d'avoir l'aide d'une bénévole Bridie, véritable lumière dans le noir de ces vies effroyablement broyées.
Mais Bridie a ses propres cicatrices que la vie n'a pas manqué de donner à cette fillette confiée à l'âge de 4 ans à des soeurs qui exploitent les enfants dont elles ont la charge dans leurs orphelinats, qui fera l'objet près d'un siècle plus tard d'un vrai scandale en Irlande pour lequel l'Eglise devra faire ses excuses.
Julia sera aussi secondée par le Docteur Kathleen Lynn, seul personnage réel de ce livre, qui a été une pionnière dans les soins en Irlande et une militante ultra du Sinn Fein ce qui lui vaudra d'être emprisonnée par la police britannique.
Un excellent livre qui se déroule sur trois jours dans le terrible huis-clos d'une chambre d'hôpital dans laquelle la vie côtoie la mort à chaque instant.
Juste un petit bémol, j'ai trouvé la fin un peu expéditive et un peu trop cliché, et j'aurai bien aimé connaitre un peu plus le frère de Julia.
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Une très belle découverte que ce roman sur fond de guerre et de pandémie.

Cela se passe à Dublin en 1918; l'Irlande est touchée par la guerre évidemment, mais aussi par la tension interne entre les indépendantistes et les pro-Angleterre. Julia Power est infirmière, dans l'unité de l'hôpital qui s'occupe des femmes enceintes touchées par l'épidémie de grippe. Un matin, elle a la responsabilité du service en l'absence de sa supérieure. Nous la suivons pendant trois jours, minute par minute, avec les patientes qui arrivent, celles qui repartent, les morts et les naissances. Trois jours longs, avec des moments parfois insoutenables mais où la cadence ne faiblit jamais. Comment trouver la force de lutter, entre son quotidien de vieille fille qui soutient de toutes ses forces son frère revenu muet de la guerre, et l'hôpital où elle croise encore trop de gens malveillants, considérant les femmes comme des bouts de viande prêtes à se faire engrosser?
Mais dès ce premier jour arrive Bridie Sweeney, une bénévole un peu gauche mais au coeur d'or, qui va vite s'avérer indispensable à la jeune femme. Toutes les deux, elles vont maintenir le service hors de l'eau.

Quand on sait que ce roman, tout de même assez épais, ne se déroule que sur 3 jours, on pourrait avoir peur de s'ennuyer. Que nenni! Les actions se succèdent, le rythme est soutenu, les préoccupations de Julia deviennent les nôtres. Et puis, en cette période de pandémie que nous traversons aussi, cela nous permet aussi de relativiser...
Les émotions se succèdent, les coups de gueule aussi, et les messages sont discrets. Il y a beaucoup d'humanité et de féminisme dans ce livre, beaucoup de douceur et de tendresse. Je mets un tout petit bémol car la traduction m'a paru parfois un tout petit juste.
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Le pavillon des combattantes est un livre fort. C'est une fiction et aussi un document sur une époque charnière où sévit la Grande Guerre de 14-18 qui sera qualifiée de "moderne" en raison de l'évolution des techniques d'armement et des stratégies militaires adoptées, c'est-à-dire une puissance de feu terrifiante et des tactiques offensives suicidaires. Des millions de soldats endurent des combats jamais imaginés jusqu'alors. Les grands blessés rentrent traumatisés, défigurés, mutilés, gazés, brûlés. le personnage de Tim Power, frère de l'infirmière Julia, représente la génération de ces jeunes gens dont l'esprit et le corps furent détruits. Les populations civiles tentent pour leur part de survivre au sein de pays dévastés où règnent la pénurie et une pandémie de grippe dévastatrice, d'une contagion redoutable.

Les premières pages du roman d'Emma Donaghue donnent d'emblée le ton de l'atmosphère accablante qui règne dans les rues délabrées de Dublin. Nous faisons connaissance de Julia Power, infirmière sage-femme à l'hôpital public de Dublin. Elle soigne les femmes enceintes frappées par la grippe, mises en quarantaine dans une unité de soins dédiée. Nous l'accompagnons dans sa lutte pour sauver ces femmes et leurs bébés durant quatre jours, quatre chapitres, chacun porteur d'un nom : Rouge, Marron, Bleu, Noir. Comptine atroce des couleurs qui se suivent sur le corps des malades selon le degré d'avancement de la maladie.

Le manque est criant dans les hôpitaux et dispensaires de la ville. Matériel, médicaments, nourriture. Médecins et soignants sont décimés par la grippe, mobilisés dans les hôpitaux du front ou revenus de cet enfer infirmes, souffrants. Ogresse insatiable, la guerre prend tout pour elle. Les équipes qui restent sur place sont insuffisantes, sous-équipées pour faire face à l'épidémie. Alors on réquisitionne les élèves, on rappelle les vieux médecins. Eux seuls ont autorité pour délivrer les précieux et rares médicaments. En leur absence les infirmières sont autorisées à donner un whisky chaud pour remplacer le chloroforme, y compris aux femmes enceintes quand elles souffrent trop. La guerre désorganise tout, demeure le respect des règles, des hiérarchies.

Ainsi, Julia se retrouve seule infirmière spécialisée en obstétrique pour s'occuper des futures mères et des bébés à naître. Expérimentée, elle sait qu'elle doit obtenir de l'aide pour le bien de ses patientes. le manque de bras est tel que l'Église accepte de prêter à l'hôpital public des infirmières religieuses oeuvrant dans ses hospices. Au terme d'une longue négociation, Julia obtient de Soeur Luke, l'infirmière de nuit, d'esprit dogmatique et autoritaire, qu'elle lui envoie une stagiaire. Et c'est un ange qui entre dans son service, la jeune Bridie, dont on apprend peu à peu l'histoire terrible tout autant que répandue à cette époque. Enfin une femme médecin est affectée à l'hôpital, Kathleen Lyn, militante du Sin Féin, seul personnage non fictif du roman. Ces femmes vivent un quasi huis clos. L'intensité des situations, la proximité des corps font tomber les masques, les caractères se révèlent, dans leur clarté ou leurs zones d'ombres.

Écrit au présent, construit par des dialogues vivants, étayé de descriptions réalistes et documentées, le pavillon des combattantes est un récit brut, comme l'est la vie dans les conditions extrêmes. Il m'a touchée particulièrement, non par sa connivence avec l'actuelle pandémie de Covid19, mais en raison d'évènements passés.

Dans les années 50, l'accouchement des femmes est encore un acte à très haut risque. Il est courant, en cas de grandes difficultés à la naissance, qu'il soit demandé au père qui il faut sauver en priorité, de la mère ou de l'enfant. En dernière extrémité, cet enfant nait aux forceps, est ondoyé par la sage-femme qui, dans ce cas précis, peut se substituer au prêtre. Un donneur est appelé d'urgence en pleine nuit pour un don de sang à la mère dangereusement affaiblie. Don effectué de bras à bras. Ces évènements se déroulent dans une maternité à la pointe du progrès, pourvue en médicaments et pénicilline, antibiotique alors récemment mis à la disposition des médecins.

A l'époque de Julia Power, les virus sont connus mais indécelables aux microscopes et la pénicilline, évoquée en 1897, redécouverte en 1928, ne sera produite en quantité suffisante qu'en 1942. Les infections font rage et l'antibiotique sauvera de nombreuses vies.

Le pavillon des combattantes est un hommage aux chercheurs et aux soignants.
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Nous sommes en 1918, à la fin de la guerre qui a ravagé la ville de Dublin comme tant d'autres et qui se voit maintenant anéantie par la grippe espagnole qui ne cesse de se propager. Julia Power travaille en tant qu'infirmière dans un hôpital de fortune en manque de moyens dans un service réservé aux femmes enceintes touchées par la maladie. Elle a trois patientes à gérer seule et se voit rapidement débordée. Lorsqu'une jeune bénévole du nom de Bridie Sweeney est engagée pour l'aider, c'est à deux qu'elles vont tenter d'aider du mieux possible ces femmes épuisées par la maladie à donner la vie, ne comptant pas leurs heures. Un combat où la vie côtoie la mort à chaque seconde et qui marquera les deux femmes à jamais.



J'avoue avoir eu peur quand j'ai démarré ma lecture car j'avais rapidement compris qu'on y parlerait exclusivement d'accouchements difficiles (une thématique déjà bien angoissante de base) en plus d'un contexte sanitaire désastreux. Et pourtant ça a été un énorme coup de coeur ! Je me suis attachée à ces deux femmes au coeur immense, qui n'ont jamais cessé durant les trois jours que compte ce roman d'aider leurs patientes à souffrir le moins possible 😪 Je suis passée par toutes les émotions durant ma lecture qui alterne moments de tristesse, de joie et de véritable horreur (si le sang vous effraie passez votre chemin). Les combattantes sont aussi bien du côté des soignantes que des patientes qui pour certaines ont eu des parcours de vie terriblement douloureux. le métier d'infirmière est vraiment mis en lumière surtout dans un tel contexte de pandémie qui rappelle beaucoup ce qu'on a pu vivre ces derniers mois avec notamment le port du masque, les annonces gouvernementales qui changent sans arrêt et la population qui se sent délaissée et surtout pas protégée.



Attention cependant si vous êtes trop sensible ou pas habitué à regarder des séries médicales, vous risquez d'être vraiment choqué par certaines scènes. Les techniques d'accouchement et l'outillage utilisé n'étaient pas les mêmes à l'époque. C'est d'ailleurs assez surprenant de découvrir ce qu'on prescrivait aux femmes en ces temps-là alors qu'aujourd'hui c'est tout ce qu'on conseille d'éviter. Il y a des passages vraiment très sanglants et difficiles à lire donc si vous êtes enceintes je vous conseille d'attendre et de lire le roman plus tard 😅
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